Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO

Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO
Blog laiSsant les autres fins chercheurs de RLC... suR Le Carreau (très é-troit) commis sur PloMBé-lobé de l'un-KoNu sanS Plan B pluS impar-able, en signant et singeant carré-ment sur le bureau un ratiss-age contextuel PluS large, holistique et HIStorique de l'affaire à absoudre l'oint de soucis sordides tel un sang-lier surgissant en tonnant sans sourciller de Chênes Le Râteau à Ras Le Chapeau borsalinO Du turban écru qui n'est f(e)UTre cuit de SerPe hier en lambeaux de rênes façon lex à taux réduit sablé d'un 8 clos mercuriel de lemniscate qui docte obre en carré L'est d'a-nalemme dans les annales de l'espace et du temps, Rainette Le Chat teigneux Nique au LA Poussif ce crêt de voile acté dans l'éther nuitée du sacré au ça crée réciproque-ment admis ton d'out-rage à BI-blIOthèque aire de mots crus sans écarter l'épate, car l'essence ciel pour kiss piqua en l'erse d'épis sûrs est sans tort de faire parler d'écho sans rengaine la déco des toiles et d'étoiles en toute connais-sance de cozze à passer y forme qu'au do(u)ble vaut vert d'alambic en cloche reste un simulacre d'amBiValence ainsi cousu d'un D.on M.ystérieux si cossu en son tuf de spoulga et coque de bruit hier au camail nourri de staff à l'affable et monacal occulte isthme qu'un pOtlatch s'en fAIlle et qu'à cet égoïste et terrible lice égosillée d'invective dualitaire, l'irénisme à l'ET IN ARCADIA E-GhOst lui(t) vaille à l'unisson INDIGO un pré en bulles à l'uni-vers pont y fit cale en file ou tri d'un binoculaire monologue en noir et blanc et en coule oeuvre du vrai éradiqué d'un sablage en vrac filtré-tamisé au travers le chas d'une aigu-ille et versé dans une boîte de paon d'or fourrée à l'air-mine de ver-ité divers-ement grisante à l'enton-noir vertueux de la plu-part des faux-semblants et des monts noirs peu ou prou graalesques de la tête aux pieds comme n'oserait pas un pléon à esmer ras le dia-bolo de pinces envers la transe pas rance de leur capture, abysse à l'aBuS deVenu Sienne...

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Ecclésiaste 1/11 : " On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard."
(Cependant que les plus motivés pourront peut-être retracer le passé à partir d'éléments épars disposés figurativement et intentionnellement ou non par ceux qui auront vécu avant ?)
- FELIX QUI POTUIT RERUM COGNOSCERE CAUSAS ? -
Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire dil.et.tante de l'occident en ce lieu se concentrent et concernent entre autres les grands alentours, ci-dessous les différentes pages de ce blog, cliquables :

28/06/2012

Quid des ailes de Pégase autant pliées ad-agio chevalerie du tempo j-ad-is en Dante Allighieri la Divine Comédie ?

Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire de l'occident se concentrent en ce lieu (et concernent entre autres les grands alentours...)

Un "Florentin" aguerri : 1265-1321, peint par Domenico di Michelino
Ordonnance de l'Univers dans la Divine Comédie.
* J. : Jérusalem ; E. : L'Enfer ; * D. : Le Diable ;

P. : Le Purgatoire ; * C.C. : Le chemin caché ;
* J.E. : Le jardin d'Éden
Une évocation du tableau des Bergers d'Arcadie ?
Au centre : Alpheratz, le "lien" entre Pégase et Andromède
Initialement le patronyme de Dante comporte deux "L", puis un seul ensuite, et à remarquer la proximité des lettres entre ALLIGHIERI et LE GUERCHIN, au hasard ? DANTE a vécu à cette période charnière d'avant et après 1300, et son oeuvre "Commedia"  (avec 2 M) aurait été composée entre 1307 et 1321. L'adjectif « divina » fut utilisé pour la première fois par Boccace dans son Trattatello in laude di Dante (Petit Traité à la louange de Dante) en 1373. Dante aurait été très largement inspiré par le sanglant conflit qu'il a lui-même vécu en Italie, opposant les Guelfes (Guelfi) et les Gibelins (Ghibellini) (1125-1300).
La réflexion du Baron :
Que Dante détienne un N en son centre et Le Guerchin à la fin, soit, mais le fractionnement Le Gue-rch-in est assez riche d'autant plus que les deux lettres finales sont aussi celles de Poussin...

25/06/2012

Rhedae & redhead, aux Dés JeuX nés de langue celtique ce roux coulement de sillons creusés par Blanque et Salz dans l'arêne de l'Aude là, rousse quille en-voie Hélène de Troyes au filAGe en rouet de laine à s'y perdre haleine ?

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Le court-ronronnement de Célestin V, rousse la barbe d'un personnage ?
Et toujours et encore les BergeRs D'Arcadie, dans leurre bocage...
R=18, D=4, Tot-al 22 (V), et ainsi donc à remplacer les R & D (les 
deux comme dans NoRd et SuD) par V dans RHEDAE = AVDE H(ermès ?)
La lutte de Jacob avec l'Ange (Eugène Delacroix 1861, Saint-Sulpice)
Vitrail à Bugarach,
Rousse La Coquille en
n-avigation au levant ?
RheDae, 13 cases et INRI ?
Roue et roux qu'aux deux fortement à la hune... et presque un demi-rond de çéd-ille effectué par l'Aude de Couiza à Axat, passant par Quillan...(cf. carte du post 21/06/12)
La réflexion du Baron :
Marie Madeleine & Et in arcadia ego, 14 lettres en chaque expression dont 8 en commun et celles-ci au plus simple de-puis la première citée : Arie Adei...
Quille, Quenouille, Grenouille...et boule de B-illa-rd : "Et pourtant elle tourne", elle aussi ? Perçu R pour Rétrograde et D pour Direct (relativité GAliléenne) ?
Mais D & R rappellent aussi le "Delta du Rhone" évoqué dans le cryptogramme Sot Pecheur...

23/06/2012

Elfe n'a guère magie qu'en phase de gibbeuse ligne, à l'une attendrissante de plaine si mont de l'autre est envers ? Capri et Mora les deux singes (anagramme : signes) de Saunière, Mora pour Roma ou ROyaume de MAjorque et Capri pour câpres ou corne, quant aux initiales MC = Milieu de Ciel en luth pour navigateurs et autres templiers ?

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Carré de Lune : ordre 9, cases 81, constante 369, tot. : 3321
Une certaine quarte... que n'aurait pas dédaigné Boudet ?
Mars d'un côté et Vénus de l'autre ?
Sceau de la Lune (à quatre quartiers et treize points ?)
Boussole Ba-Gua aux huit trigrammes + le centre...
Le Bugarach et ses contreforts au sud, vu depuis Fenouillet
Le carré de la Lune (d'ordre 9) est le plus grand carré dit planétaire, le plus petit étant celui de Saturne (d'ordre 3) lequel peut s'incrire 9 fois dans celui de la Lune, à rappeler que celui du soleil est d'ordre 6...
Les huit nombres du cube façon Dürer (cf. post 06/06/12 : 22,23,26,27,38,39,42,43) voient cinq d'entre eux se poser sur les diagonales (dont quatre sur la même) de ce carré de la Lune (au hasard ?). Le total de le carré à 3321 n'est pas sans rappeler la hauteur du Bugarach officialisée autrefois à 1230 m. Ses diagonales sont réductibles numérologiquement en cases de 1 à 9 pour l'une (écart 1 à chaque case) et à neuf cases de 5 pour l'autre (écart 9 à chaque case), remarquable aussi la verticale centrale avec toutes les terminaisons en 1 (également numérologiquement réductible de 1 à 9).
Gerbert d'Aurillac, pape de l'an 1000 sous le nom de Sylvestre II et mathématicien introduisit le premier les chiffres arabes que nous connaissons en lieu et place des chiffres romains, mais ces grilles ou carrés existaient-ils préalablement avec d'autres signes que les numéros ? (Gerbert et Bergère, une similitude ?)
Les carrés planétaires dits magiques sont au nombre de sept (de 3 à 9, soit 1 à 7 modulo 2), en référence au Septenaire ancien, et au moins "fourni" en cases correspond l'astre au pas le plus lent perçu de la Terre, et inversement pour le plus rapide, ainsi ordre 3 pour carré de Saturne à 3x3=9 cases (impair, au centre 5), ordre 4 pour le carré à 16 cases de Jupiter, ordre 5 pour le carré de Mars à 25 cases (impair, au centre 13), ordre 6 pour le carré du Soleil à 36 cases (et total des cases 666), ordre 7 pour le carré de Vénus à 49 cases (impair, au centre 25), ordre 8 pour le carré de Mercure à 64 cases (échiquier), ordre 9 pour le carré de la Lune à 81 cases (impair, au centre 41).
La réflexion du Baron :
Quatre carrés sont composés d'un nombre de cases impair, et trois d'un nombre pair, avec cette parité se profilent affres d'isiaque idée en quinconce ? En toute synchronicité le carré de Saturne à centre 5 se confond avec le carré chinois Lo-Shu (prononcer Lo-Chou avec le Ch de Pech) qui produit en octogonal la boussole Ba-Gua (sonorité un peu comme...Bugarach, et anagramme hors R et Ch), qui aurait été inspiré-organisé par des éca-ille-s de ca-rapace de tortue...
Le ba gua zhang ou baguazhang (八卦掌; pinyin: bāguàzhǎng), littéralement « paume des huit trigrammes », en Chine le bleu est paré des vertus de la plante médicinale "l’indigo", de son utilisation en fabrication des papiers huilés à dessins, et en teinture du fameux "bleu de Chine". C'est l'indigo (moins cher) qui remplaça le pastel en occident, et les 8 trigrammes qui génèrent par combinaisons 64 hexagrammes sont à rapprocher de l'échiquier ou/et du baptistère ?

21/06/2012

Cette carte disSImule-t-elle les plus grands secrets et trésor(s) d'occi-dent en relation expli-cite avec le plus grand ensemble mégalithique au septentrion, pomme bleue et pierres figées du même enDOssé passent-elles en sUiTe ?

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A l'Est de Quillan : incertain triangle par RLB et RLC ? (cliquer pour agrandir)
Et tympan de la basilique Sainte-Marie-Madeleine à Vezelay (dans l'Yonne)
Autre latitude : incertain cercle reconstitué, et au référentiel tropique (solstice)
Au nord des constellations des Balance, Scorpion et Sagittaire, et au sud d'Hercule
Pape dit "à la pomme bleue", RLB
3 Dés Station X à RLC ou
un DominO cassé et 1 dé ca ?
"AXIS IN MEDIETATE SIGNO". Le Pape représenté sur la toile à RLB pourrait être Sixte Quint, pape de 1585 à 1590 ( Entre Pie IV et Urbain VII ). Quant aux armoiries de Léon (ou Lion, cf. Marc) XIII figurant à RLC :
'' LUMEN IN COELO '', mais parlant de Rome ou des constellations  ?
La réflexion du Baron :
Cependant que la meilleure traduction à donner au fameux palindrome SATOR AREPO TENET OPERA ROTAS est encore : Le SEMEUR à sa CHARRUE TIENT par son OEUVRE les ROUES, avec des nuances interprétatives possibles, et les lettres R et CH s'y retrouvent autant que la consonnance "Roue" et l'ensemble peut renvoyer à l'idée de sillon (Redhead ?)...

20/06/2012

Quetsches et Mira-belles se piquent à l'Est en été à la Saint-Jean sur cette double pol-arité de Mars : Yin ou Yang, autant que le ca-du-cée de MerCUre PER-sis-tAnt, qu'un carré de Pégase JouXte Andromède et piétine ou foule en si-lence triangle d'été telle une montagne inversée à ca-vernes, et à châsser le naturel il Re-vie-Nt au GA-lop...

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Bugarach, Sol et sous-sol en FA-ille dièse...

Figues...les feu-ille-s sont comme une main ?
Pégase, et quelque chose des Fenouillèdes, par l'ent-remise d'Andromède ? Pégasmodée ?
Plus au nord que Capricorne et Verseau... le Cygne et la Croix, Pégase et le Cheval ?
Le calage des Cygne, Aigle et Lyre... triangle d'été
BERGERE PAS DE TENTATION QUE POUSSIN TENIERS GARDENT LA CLEF PAX 681 PAR LA CROIX ET CE CHEVAL DE DIEU J'ACHEVE CE DAEMON DE GARDIEN A MIDI POMMES BLEUES  : Zêta, Hêta, Thêta, trois têtes (celles de Cerbère ?) dans la constellation du Dragon ? (cf. post précédent), morte épée de la stèle de Blanchefort est-elle serpe en terre ?
La réflexion du Baron :
Questche, Mira-belle et...Reine Claude (duchesse de Bretagne, épouse et cousine de François Ier, et fille du roi Louis XII et d'Anne de Bretagne, sans héritier mâle), héritière du duché de Bretagne, elle fut fiancée à l'archiduc Charles d'Autriche (le futur Charles Quint) mais annulation par les États généraux de 1506, au profit du jeune comte d'Angoulême, le futur François Ier auquel Claude était promise depuis une disposition restée secrète, datée du 30 avril 1501 à Lyon, et non publiée, qui déclarait nulle toute union de Claude de France avec un autre prince que le futur François Ier (intervention pontificale ?)

18/06/2012

De Courge à Orgues où le son de céd-ille fit son effet pour l'anagramme à ce mode s-trident clavier d-égo-té à guet tapant maracasses à la rascasse, les poids sont de fond pierres et Neptune en coin dérivé au séant si bel en posé y dont Asmodée en ce corps pion d'échiquier au cube amaré verse eau depuis l'amont accord de vil dévale en oued :

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Neptune tyran d'eau ou ASModée-Atlas à l'
eau de sphère coquillage au frais enfreint ?
Dragon, Constellation (Draco)
Qu'à un instant tient
la belle allure, mais
hue les deux à dia...
Epeire (Diadème ?)
Mystérieux vitrail "aquatique"
dans l'église de... Bugarach !
Cardou devant et Bugarach au fond, là où le sol se tisse de monts à énigmes
au fond à droite : Le(s) Fenouillèdes, la Fenolheda (en Occitan)
Ruines du château de
Bugarach, côté Est
Volume de la sphère
34 serait déci-dément d'aise à RLC, c'est le double de 17, de doux bleu il est aussi agile isiaque : 3² + 4² = V², mais de là à le retrouver ainsi vol humé de se faire au cube... C de coquillage ou corbeille à quoi tique, mais telle-ment coi en coin ?
Quinconce déployé en cinq doigts ou cinq griffes...de dragon ailé,
mais un décalage en dra-pé ou en dérapé de rotule ?
De plus 77x7 =343, les trois chiffres inclus dans la formule citée, d'ailleurs la finale 43 est aussi celle d'une suite de nombres cités à propos d'un cube dans un post précédent. Et Neptune (la planète) ne fut découverte officiellement que dans les années 1830-1840.
La réflexion du Baron :
Ne pas confondre Altaïr (de la constellation de l'Aigle) avec Altaïs (de la constellation du Dragon) mais ces deux étoiles sonnent bien avec...Atlas, leur lettre finale respective cadre avec RenneS, et Aigle & Dragon ad hoc avec Dragon Ailé (d'état de zèle ?) ! ceci sans oublier que 3² forme le carré de Saturne et 4² celui de Jupiter, que 3+4 = Sept y manie l'ordre ou l'Orbe...?

15/06/2012

Blanche-fort : Soix-ante se(p)t ou Septante Foi-x en com(p)té à goût roux de fortune donné pas d-rôle au Verbe ? Socrate, Platon et Aristote, trilogie épis-co-pâle de cette fois au pRo-blême : Septenaire, Serpentaire et Septante, « d'argent à une croix d'azur cantonnée de quatre aigles nu vol déployé de gueules becquées et membrées d'or », feu-illes de courge entrelacées d'emblème accompagnant ILPADELT, céleste oBScure DEvise imbue de L'arcHe ?

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Septante arrangé 4 x 10 + (8 & 7) x 2 quinconces
Serpentaire n'est Ibis au damier becqué, pas 
plus que Pie, ni Aigle, ni Paon, ni E-tour-n-eau
Jean de Montagu (ou Montaigu), surintendant
du Roi Charles VI (fin XIV°, début XV°)
Quinconce (quincunx), par 5 ou V aux dés...
à la somme de sept des deux côtés opposés
Bas du tableau é-pié de cour-on-ne-ment de Célestin V au solide so-cle au pied leVé ...
Si c'est onze, c'était diX en fait pour durer au centre du carré de constante 34 à V d'hypothèse nue isiaque sans nuisibles paumés dans nuits si bleues...
Que PRemier ne soit Dernier, est-Ce là l'essentiel du pinacle au dais plumé ?
CELESTIN V et SERPENTAIRE, anagramme Penta-Sérier : Si l'av-enture tient en delta pli pour ilpadelt au secret-taire que le rouage derrière la tête en ton censuré dé-pend et dé-peint en é-tour-die couronne ?
Le séjour de Jean de Montagu en Avignon (suite à l'incident de Charles VI au Mans) et d'où il aurait ramené sa devise ILPADELT, reste très étonnant dès lors qu'il se situe en pleine époque du  Grand Schisme d’Occident...
Ce qui laisserait à penser que ses armoiries, devises et annexes soient en fait une reprise d'un secret pontifical exprimé de façon différenciée à Rome, et destiné à une programmation figurative et explicite en français à partir de traces capturées au passage de la papauté en Avignon dans l'axe ouvert Rhin-Rhône et reconnu officiellement pendant plus de septante ans...
Ainsi le tableau du couronnement de Célestin V (daté du XVI° siècle) peut-il, en deça et au delà de ce XIV° siècle qui aura vu les papes défiler en Avignon, évoquer à la fois ses deux périodes extrêmes millésimées centenaires : 1°) vers 1300 avec peu avant : Célestin V, et peu après : la chute des Templiers et 2°) vers 1400 avec Jean de Montagu et ses péripéties, et peut-il devant tous ces éléments relater des sous-entendus et spécialement concernant les Templiers et un RouX-sillon qui les concernerait plus que tout autre endroit sur Terre ?
Stations XIII et XIV à RLC dé-voilant cubages d'infos à ces sujets, et ascèses où-à-ille-s ? Ressemblance Montagu-Antugnac (différence Mona-c ou coma N) ?
Mais au XIII° siècle, ce féerique ainé 43×π×R3 dragon reléguant à son puî un simple apanage, voire pire si vert de rage a-t-il pu réduire en cendres une clause templière tacitement incluse dans le traité de Corbeil sur la création (et pour cause ?) du royaume de Majorque et fortement anticipée par son prédécesseur ?
La réflexion du Baron :
Les deux fleurs de LyS en bas du tableau de Célestin V pourraient bien représenter sur le dallAGe vu comme des touches de clavier et entre les armoiries de Montagu, les notes A & G ou La & Sol (comme dans GAlamus ?), et les sept touches sur le sol et sous le socle (5 blanches et 2 noires) de Si à Fa évoquant l'ordre des altérations bas-haut ou bien d'un pas-sage de gamme mineure à celle majeure ? Ici donc le Sol fait Jeu égal-ement MontAGu-tient (aussi) ut ?
Et les touches Do-Ré-Mi (avec les altérations) sous le socle peuvent-ils faire allusion ou illusion au DoMréMy de Jeanne d'Arc, laquelle se produira peu après Montaigu, et avec Charles VII au XV° siècle où s'immisçant la guerre civile entre Armagnacs et BourguignonS à soulAGer, une palette de pas si lisse besogne ?

13/06/2012

Rennes-le-CHâteau, JeuX, RiCHe RuCHe chez Le GueRCHin à faire Ré-apparaître la Corbeille sans raccourci par Marcoussis et autre liber-alité à diagonale du carré cUBe GRande Arcane d'Abe-ille re-Lais au mi-el d'en Ri-béral, SeIZE sente tout un programme de taille que d'alli-ance en lest à port ligua de cette cueillette "Et in Arcadia ego" :

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Ruche, Toit-Couvercle, Cadres et Rayons de Cire ?
Apis Mellifera fait mouche à 7 carrés d'as-tres 3 à 9 en douce
à ce qu'il fa-ille les avoir de tête en cadrAGe au pic en dard ?
entre France, Roussillon et...Monségur ?
Ange, en joue ou enjeu ?
Damier CRéneLé ?
Juxtaposés d'Avant et Après, d'étroits changements du moule de 8 x 8
venus et cupides ont laissé les diagonales déjà pré-cadrées en place à 45°...
ILPADELT (la devise de MontAGu) contient (entre autres) les quatre lettres d'ALET les bains, qui fut au XVII° le diocèse du frère de Nicolas Fouquet (François), et les quatre autres lettres DIPL peuvent constituer le début de DIPLodocus (DIPL-Aude-oc-us ?), un musée des dinosaures se trouvant à Espéraza, alors outre le fait qu'il soit possible de retrouver ainsi le mot LOCUS, ces deux lieux sont très proches géographiquement de Rennes-le-CHâteau. L'objection majeure consistant à indiquer que le mot diplodocus n'existait pas aux XIV° & XV° siècles du temps de Montagu sous Charles VI, mais que son montage s'est peut-être fait éthymologiquement (ou autre) d'une façon pour le moins intéressante, voire...terrible, par Dionysos et part des anges ?
La réflexion du Baron :
Si c'est bien ALET visé dans la devise citée, c'est donc que l'intérêt à y porter daterait déjà du temps jadis où c'était un grand évêché, avec Rennes à La Clé ? D'autre part Montagu comporte Mona-g-ut en ses lettres et le nom ressemble fort à Monségur, avec en commun G-u-m-o-n si proche de Gnomon, et comme différences TA et SER, proches des verbes ser & estar (Esp.), et du carré SAToR, mais aussi de...Monserrat, tout ceci (en tout ou partie) à quéri-r au hasard ?

11/06/2012

Marie Madeleine et Marcoussis : un FAmeux trois-mâts à l'ILPADELT wisigothe et Sept y manie là barre à mine ? Le S de fermesse est-il si proche de là cédille misant sous-sol à l'Ite Missa Est de Fenouillèdes-Aspres char-nière ?

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Gravure ancienne du château de Montagu à Marcoussis
Gravure ancienne du Couvent des Célestins à Marcoussis
Lecture verticale Montaigut en
Ex-Voto au salut de Charles VI...
codicille ou Rex Mundi code is this ?
La Roque d'en Talou (1258)
Pour la petite histoire : un TU-RC qui était à la suite de François 1er en visitant Marcoucies, vit en ILPADELT une expression Syriaque : "Dieu est mon Esrance", soit SPes Mea Deus (et non : épées Mas Deu), mais une autre traduction viendrait du bas-breton (région d'où était originaire Montagu) : Ilpadelt = Il durera (padelt serait le futur conjugé du verbe...durer !). Une énigme qui a du réinvestir cer-tains au XV° et XVI° siècles : LE DesTin ? Pas de doute, chacun le sien...
La réflexion du Baron :
Marques où sis frontière France-Aragon se bornent à pierres pas niées de Corbeil, encore visibles le sont au nord des orgues, c-ourges, aubergines et potirons.

09/06/2012

Peccadille des gens de cour à l'affiche du pape ou/et des rois démarque mémoire en solde du temps là résurgence à l'endos du passé, royaume de France fut-il bi-en fille ainée de l'église pour le meilleur et le pire fait pour Durer à ce pli et en quatre de jupe itère à dense de vent très décevant buffet Bugarach, pique grosse de cor Aïda ou point ? Albrecht Dürer a-t-il réouvert une brèche agée si dure du temps plié en seize cases de taille près cloche et sablier ?

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Fantomatiques Bugarach et Pique Grosse par Dürer ? Enjeu MELENCOLIA§I,
extrait en bas à g. : Rabot et tenailles, rotas et tenet, et ceinturé Col du Linas ?
Carte du ciel par Dürer, fin XIV° début XV°....
En descendant le Col de Saint-Louis par Parahou...Pêle-mêle en col y'a ?
Blason de Bugarach, à diagonale ?
Tranché d'or et d'azur.
Au pied Nord du Bugarach avec ses deux sommets :
un mont GrAve et un mont AiGu, à hue et à dia ?
Echiquier et Croix... et Damier Crénelé ?
Par la croiX et le cHeval d'échelle et mat, le code à réduire figure-il au carré de Dürer (i.e. dur de tête ?) : si un quatrième tableau avait été occulté par Saunière,  il s'appellerait peut-être MELENCOLIA§I, mais de spleen ce serait grave erreur ou bavure que gravure soit répertoriée dans les tableaux ou presque fresque ? S'en suit ce "ET JE VOUS SOULAGERAI", un rien beau de l'air tell le chant du coq aux aurores...et rabotures...
Objection faîte que le cube caché d'échiquier en huit éléments numérotés précédemment : 22,23,26,27,38,39,42,43 commence par 22, un nombre cher à Saunière et aux arcanes du tarot, et se termine par 43 (Isis ?), et outre que bu & ach soient inclus dans l'objet initial.
Les deux nombres du début et de la fin sont déjà en place dans les diagonales de l'échiquier avant les modifications pour établir le carré dit de Mercure...
Ces huits nombres ont aussi cette donne numérologique : 2+2=4, 2+3=5, 4+2=6, 4+3=7, 2+6=8, 2+7=9, 3+8=11, 3+9=12, à noter l'absence du 10 ou X, mais retrouvé tel-le-ment bien au Pech de Bugarach (Bijoux, Genoux...), caillou roué-joué déjà évoqué sur ce blog, sauf qu'il est plausible d'associer à ces sept mots les huits nombres cités avec huit lettres dont les quatre en double "CH", l'un pour les lettres de "chou" et l'autre scindé en deux : le C de caillou et le H de hibou, le R serait celui ambigu de jota, la lettre mais aussi la danse (hotar, sotar), en rapprocher de ROTAS, une autre ambiguité est présente entre les "CH" et les X...à associer aux nombres en croisement de diagonales vus plus haut, un Bugarach tant codé aux dés...
La réflexion du Baron :
Voile acté sur Vénus et Cupidon (de Cranach), et drap entier enrobé sur les genoux de l'ange (de Dürer) es-tam-pillés tous deux d'avant le XVII°, en saint axe !