Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO

Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO
Blog laiSsant les autres fins chercheurs de RLC... suR Le Carreau (très é-troit) commis sur PloMBé-lobé de l'un-KoNu sanS Plan B pluS impar-able, en signant et singeant carré-ment sur le bureau un ratiss-age contextuel PluS large, holistique et HIStorique de l'affaire à absoudre l'oint de soucis sordides tel un sang-lier surgissant en tonnant sans sourciller de Chênes Le Râteau à Ras Le Chapeau borsalinO Du turban écru qui n'est f(e)UTre cuit de SerPe hier en lambeaux de rênes façon lex à taux réduit sablé d'un 8 clos mercuriel de lemniscate qui docte obre en carré L'est d'a-nalemme dans les annales de l'espace et du temps, Rainette Le Chat teigneux Nique au LA Poussif ce crêt de voile acté dans l'éther nuitée du sacré au ça crée réciproque-ment admis ton d'out-rage à BI-blIOthèque aire de mots crus sans écarter l'épate, car l'essence ciel pour kiss piqua en l'erse d'épis sûrs est sans tort de faire parler d'écho sans rengaine la déco des toiles et d'étoiles en toute connais-sance de cozze à passer y forme qu'au do(u)ble vaut vert d'alambic en cloche reste un simulacre d'amBiValence ainsi cousu d'un D.on M.ystérieux si cossu en son tuf de spoulga et coque de bruit hier au camail nourri de staff à l'affable et monacal occulte isthme qu'un pOtlatch s'en fAIlle et qu'à cet égoïste et terrible lice égosillée d'invective dualitaire, l'irénisme à l'ET IN ARCADIA E-GhOst lui(t) vaille à l'unisson INDIGO un pré en bulles à l'uni-vers pont y fit cale en file ou tri d'un binoculaire monologue en noir et blanc et en coule oeuvre du vrai éradiqué d'un sablage en vrac filtré-tamisé au travers le chas d'une aigu-ille et versé dans une boîte de paon d'or fourrée à l'air-mine de ver-ité divers-ement grisante à l'enton-noir vertueux de la plu-part des faux-semblants et des monts noirs peu ou prou graalesques de la tête aux pieds comme n'oserait pas un pléon à esmer ras le dia-bolo de pinces envers la transe pas rance de leur capture, abysse à l'aBuS deVenu Sienne...

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Ecclésiaste 1/11 : " On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard."
(Cependant que les plus motivés pourront peut-être retracer le passé à partir d'éléments épars disposés figurativement et intentionnellement ou non par ceux qui auront vécu avant ?)
- FELIX QUI POTUIT RERUM COGNOSCERE CAUSAS ? -
Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire dil.et.tante de l'occident en ce lieu se concentrent et concernent entre autres les grands alentours, ci-dessous les différentes pages de ce blog, cliquables :

LES SECRETS ALCHIMIQUES DE CHAMBORD


1)° L'étrange relation entre la Comtesse de Chambord et Rennes-le-Château :

La Comtesse de Chambord en 1886,
née Marie-Thérèse de Modène,
princesse royale de Hongrie et de Bohême,
veuve du Comte de Chambord.
Un couple "BOURBON-HABSBOURG"
Marie-Thérèse, princesse de Modène, princesse royale 
de Hongrie et de Bohême, et archiduchesse d’Autriche-Este, 
épousera en 1846 Henri d'Artois, comte de Chambord, 
prétendant légitimiste au trône de France sous le nom d'« Henri V ».
L'Abbé SAUNIÈRE aurait bénéficié de dons substantiels, et l’identité de la première de ses donatrices est intrigante, il s’agit de la Comtesse de CHAMBORD. La Comtesse aurait en effet versé une somme importante pour l’époque, qui varie selon les auteurs entre mille et trois mille francs-or à l’Abbé SAUNIÈRE en 1886, alors que celui-ci était en difficulté.

En effet, en Juin 1885 Bérenger SAUNIÈRE arrive à Rennes-le-Château où il vient d'être nommé curé de la paroisse, mais en Octobre de la même année il fait en chaire, au moment de la messe dominicale, un violent prêche anti-républicain. La sanction est immédiate de la part des autorités de la République, tout ceci se passait avant la Loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905, et  les relations étaient extrêmement tendues entre la jeune République Française et l'Eglise.
Le traitement de l'Abbé est suspendu...En conséquence il doit donc quitter provisoirement Rennes-le-Château pour devenir répétiteur au séminaire de Narbonne. Ce n’est qu’en Juillet 1886 qu‘il réintégrera sa cure.
Or, il revient à Rennes-le-Château plus riche qu’à son départ puisqu'il est alors en possession d’un don relativement conséquent et dont il est mentionné qu’il a été fait par la Comtesse de CHAMBORD.

Marie-Thérèse d’ESTE-AUTRICHE, devenue Comtesse de CHAMBORD par son mariage était une potentielle reine dans la France de l'époque. Elle était la veuve d’Henri d’Artois, Duc de Bordeaux, Comte de CHAMBORD et seul prétendant légitime au trône de France pour ceux qui étaient partisans du retour de la royauté. Petit-fils du Roi Charles X, il était en effet le dernier des BOURBON. Elle-même appartenait à la famille des HABSBOURG-LORRAINE puisque son père François IV d’Este était le petit-fils de Ferdinand d’ Autriche, lui-même frère de Marie-Antoinette et de Joseph II ( Empereur d’Autriche de 1780 à 1790). Elle était donc l’arrière petite-nièce de la Reine Marie-Antoinette, née Antonia de HABSBOURG-LORRAINE.
Par ailleurs la Comtesse de CHAMBORD était une femme dont l’intense pratique religieuse touchait au mysticisme. A titre d’exemple elle avait fait reconstituer dans son palais de Gorizia une réplique exacte de la grotte de Lourdes afin de pouvoir y prier le plus souvent possible ! L'affaire de la grotte de Massabielle à Lourdes date de 1858, elle était donc récente.

A noter enfin que le don reçu par l'Abbé SAUNIÈRE a été effectué fin 1885 ou début 1886 et que la Comtesse de CHAMBORD est décédée le 25 Mars 1886 à Gorizia ( ou Goritz), dans le château qui lui appartenait, le palais Lantiéri. Cette ville aujourd'hui en Slovénie faisait à l’époque partie de l’empire austro-hongrois des HABSBOURG, au même titre que toute la province du Frioul-Vénétie.
Elle a donc disposé de bien peu de temps pour faire ce don, par ailleurs la distance entre l'Abbé et la Comtesse était considérable tant par l’éloignement que par la différence des conditions, toutefois la réalité et l’origine du versement ne font aucun doute. Le versement de cette somme à un prêtre inconnu de la campagne du Languedoc était-il uniquement une manière d’aider un curé simplement parce qu'il il était royaliste et qu'il avait été sanctionné à ce titre ?

N'y avait-il pas un autre message dans ce don qu'elle réussit à faire peu de temps avant sa mort ? Et surtout à cette époque entre les guerres de 1870 et de 1914. La défaite de Pavie en 1525 et son contexte aurait inauguré une longue inimitié et méfiance des Français envers les Habsbourg (bon gré mal gré quelques mariages qui suivront entre les deux "camps")...
Voir l'Observation § 1 en début des annexes en bas de cette page...



2°) Donjon de Chambord et donjon d'Arques, et combien d'autres arcs dont celui(t) fonda-mental pour la Renaissance et jusqu'en arc-à-die ou art cadi :


Le donjon d'Arques, flanqué de quatre tours en coins (fin XIII° siècle), et
d'une toiture à quatre pans, peu après la création du Royaume de Majorque...
En 1294 court pontificat du Pape Célestin V, anagramme chiffré de 1492
eux-mêmes anagrammes chiffrés de 1429 (Jeanne d'Arc(ques ?),
peu après le séisme de la Chandeleur en 1428...
1,2,4 : une progression géométrique, 9 : un carré (3²),
1,2,3,4 : la tétraktys, à la somme de 10 ou l'assomme du X romain.

PUIS QUE AVES VEU CE BEAU MISTAIRE,
 JE VOUS SUPPLIE DE LE TAIRE*
Do-Rémi, Do-Ré-Mi, Domrémy, Don remis ? Un Do qui en outre de rince
sonnerait comme l'aune au mât topé (!) du puisatier d'eau ?
(en Miss Terre à l'alibi d'eau telle une main devant une Serres-hure ?)

Des arcades
L'an 1500 : Arc de voie lactée avec corde d'axe des solstices
de Licorne à Sagittaire, référentiel sidéral (constellations),
une nouvelle lune d'apogée avec éclipse de Soleil dans cet
alignement solsticial, LN de 3 cordes à un Arc et une date :
11-12-1499, sans le 13, pourtant que 9² au 81 lunaire.
C'est ainsi que l'on retrouve 3 lunes sur la tapisserie de
Lune 1°) d'apogée 2°) d'éclipse et  3°) de solstice
N.B.: Décalage normal étoile polaire de plus de 500 ans.
La corde passe par le centre du cercle de précession
 en Dragon (façon IO ou oeil de la Joconde)

Eclipse du 11 Décembre 1499 axée solstice en tropique,
du calendrier Julien avec dérive séculaire, les 10° d'écart,
20 à 30° Sagittaire (s'agite ère, ça gîte ère), justifient
bien ici le calendrier grégorien à suivre en 1582.
Noter le trigone en signes de feu et l'absence d'astres du
septénaire en signe d'eau, outre le fait que l'ascendant
en Lion s'arc-boute vers le fond de ciel en Scorpion.


En décembre 1499 un événement céleste (probablement prévu et anticipé) se produisit qui modifia les repères culturels en ouvrant des perspectives, l'ensemble relaté en lecture ornementale sur la tapisserie de la dame à la Licorne à l'isiaque formule en attente sur la TENTE :
Tapisserie de la Dame à la Licorne
Solstices, sol se tisse et tisserands, tisse rangs.
A gauche de l'Ascendant au fond du ciel, un arc de Lion à Scorpion.
Trois éléments de Lune Noire sur la Dame d'A-tours, qui porte une tire-Lyre,
un ovale pour l'ellipse au sol, et arbre de Printemps P pour Périgée, à droite :
arbre d'Automne A pour Apogée (côté Licorne), puis 3 arbustes d'été (des T),
et 3 arbustes d'hiver (i vair). Et le Signe du Cancer tente ce qu'il faut lyre...
Peut-être aussi que la Licorne évoquerait un Hippocampe à émerger ici 
d'un cap à l'autre, d'une mer à l'autre ? (Apogée = appeau j'ai)

La voie lactée forme un arc dans la voûte céleste, elle démarre dans la constellation de la Licorne entre Sirius et Procyon (grand et petit chiens) à gauche d'Orion dans le ciel nocturne un ensemble bien visible les soirs d'hiver, elle passe par les pieds des Gémeaux et de l'autre côté va rejoindre le zodiaque au Sagittaire, au milieu du ciel en circumpolaire elle passe notamment par Cassiopée en forme de M ou W, et ce invariablement.
Peu avant l'an 1500 et durant l'éclipse de soleil qui précéda le nouvel an il fut repéré que l'axe des solstices en sidéral (constellations) formait exactement une corde à cet arc de la voie lactée.
La tapisserie de la Dame à la Licorne (Alma de Hallali corne ?) date de cette époque.

Vrai que l'on trouverait une faux comme un arc sur les sceaux de Mars et Vénus, voir plus loin, et que cet arc conjoint aux deux va justifier une modification d'un canton ou quartier au donjon de Chambord.
(à suivre...)

3°) Les carrés magiques dans le donjon de Chambord, et leurs dérivés :
Les diagonales et sous-diagonales occupent des cases dont les numéros sont déjà en place,
dans le carré de Mercure ou échiquier et explicites du sceau de Mercure (voir §6).

Carré de Mercure à 64 cases et son déployé en rectangle de 65 cases via
le paradoxe de la diagonale continue, illusoire puisque s'agissant d'un losange
(aplati) de cotés 2x5 et 3x8 deux fois, losange figuratif et explicite de cette case...
La disposition en 5 x 13 du rectangle (=65) permet d'y inclure au centre
le carré de Mars à 5x5 dont la constante est précisément 65
(voir plus loin : carré de Mars)
Mais ce déployé à case +1 losangée permet en fait à partir du nombre mercuriel 8
d'obtenir le 13 lunaire (sidéral) et le 5 vénusien (pentagramme) et martien (côté 5)
autour du V romain graalesque, le tout (3,5,8,13) cadré dans la séquence de Fibonacci.
La diagonale est à la foi(s) une fente et une feinte de losange avec un "i" de différence
pour une case fantôme ou fente-home...
Le féminin vénusien et lunaire se trouve ainsi évoqué avec le masculin martien
insinué dans un contexte initial mercuriel : c'est du freudisme avant l'heure,
il est médiéval et pragmatique, expression schématique d'une réalité biologique et
culturelle qui produira un marqueur temporel  plus élaboré que l'architecture 
mégalithique originelle * * : la construction de Chambord à la Renaissance.


Le PS (Pourpre et Sinople) des obliques et diagonales en héraldique,
évoquent l'aine la lettre M, et également une étraVe en navig-ation :
émaux = aime eau... comme Gémeaux proche de Emaux.
 Les 2 obliques forgeant clairement un V avec 2 N dont un inversé.
Un 13° signe pour mémoire 0° entre Scorpion et Sagittaire : SerPentaire
A noter qu'entre Pourpre et Poupe : 2 "R", deux ères ?


Cependant que si le donjon (central) s'inscrit bien dans un carré
de Mars de côté 5, le donjon + les tours s'inscrivent dans un carré
de côté 7, celui de Vénus, qui laisse d'ailleurs trois cases de "vides"
quatre fois, comme quatre barres de T reliés au centre, façon
croix de Jérusalem (jeu ruse à l'M du dessin  PS au-dessus,
et de la croix éponyme ci-dessous ?)
Le donjon à 5x5 et ses 4 tours s'insèrent sincèrement dans
le carré de Vénus en 7 x7 et laisse apparaître les barres
des 4 T la croix de Jérusalem


Croix de Ste Madeleine (Mât de l'aine)
en statue à RLC ?

Uriel (à droite) sur la Vierge aux rochers de Léonard de Vinci (Louvre), 
où il serait question d'une diagonale et de rocs : 
petit et grand rauque sur échiquier ? Rouge de Mars et Bleu-vert de Vénus.
C'est son genou gauche en rond rouge à droite (je-nous), il est accroupi,
à la façon d'un Our-s. Quatre "personnages, comme sur la tapisserie de la
Dame à la Licorne (voir Observation § 4 plus bas).
Avec Uriel de Vinci faisait-il allusion à Bùri (comme Buriano) ?



Le cas (!) du paradoxe de la diagonale continue
suggéré sous le manteau et sur la fresque à RLC
Carré de Saturne, à relier entre eux et dans l'ordre naturel les
neuf chiffres on obtient un sceau avec un losange entre 2 et 8
dans la diagonale. Egalement les nombres pairs dans les coins
(comme les tours du donjon de X-en-bord), autour de la case
5 centrale (V romain graalesque, comme le double escalier).
Une diagonale liée une première fois au losange, 8 & 2
initialement dans le carré naturel de 7 et 3 (c'est étroit),
passant par le V romain au centre, immuable.
8 & 2 à retrouver plus bas avec Oct. 1582
2 & 8 amènent aussi au 28, lunaire et
sont ici en symétrie axiale de diagonale 4,5,6...

Carré de Saturne aux points remplaçant
les chiffres, remarquer la case 8 en bas
à gauche, une relation avec Chambord

Le 8, le lemniscate, la bande de Moebius
figure 32 fois à Chambord

Et qu'un 8 ressemble à un 2 de deniers,
sans dénier qu'il ressemble aussi à l'S
de nos pluriels, et que deux S inversés
et superposés forment bien un 8

Carré naturel initial de Saturne :
une croix + avec les nombres pair
(V romain au centre)
une croix en X avec les impairs
(V romain au centre également)
Double raison d'être du V romain,
comme pour créer un losange
ou même un contrevair,
et un double es-ca-lier central
formé de contrevairs évidés
au centre ?


Un sablier c'est étroit (7 & 3) au centre, 
ça ressemble à un 8, à un lemniscate debout 
(deux bouts ?), autant qu'à un diabolo et à la
constellation d'Orion, qui reflète si bien le
phénomène de la précession des équinoxes.
Et qu'en plus il contient du sable...
Orion révélateur du mouvement précessionaire
(équateur au milieu, hémisphères dessus et dessous)

2 & 8 en feuilles de courges nouées
ILPADELT - Marcoussis


S  de pluriel sans deux nier mais liés dans l'unité.
Comme quatrième archange, Uriel  « la Lumière de Dieu »
est ajouté aux trois archanges nommés pour représenter 
un des quatre points cardinaux
(généralement celui représentant l'été).
St Uriel, est-ce un des archanges de Saunière à l'entrée,
celui du milieu, visé au-dessus du cartouche BS,
entre eau et air (O & R) ?
Que d'aucuns parlent du Château de Chambourd
ou Chambovrd écrit à l'ancienne, pour ajouter
un V graalesque entre O & R ?
(Our, en sumérien : urim)
X-amb-OR, X-amb-O-V-R

Carré de Mercure-échiquier à RLC,
intégrant un 3 x 3 de Sat(o)urne,
64 - 9 = 55, soit V & V,
et 64 cases, autant que d'hexagrammes
du Yi-King en Extrême-Orient...

Depuis des temps immémoriaux l'humain observe les astres le jour et la nuit et leurs mouvements (ce qui le pousserait peut-être à se poser des questions existentielles ?) et il a pu au fil des temps à force d'observations assidues et répétées dont il a conservé des traces répertorier une échelle hiérarchique de célérité scellée-rituelle de l'astre le plus lent au plus rapide, en vitesse apparente perçue depuis la planète Terre, ainsi :
- Saturne indice 3, - Jupiter indice 4, - Mars indice 5,
- Soleil indice 6, - Vénus indice 7, - Mercure indice 8,
- Lune indice 9,
et d'associer un carré correspondant et respectif à chacun.
Cette notion de vitesse apparente sera reprise similairement bien plus tard (au XVIII°s.) dans une formule de la distance au soleil (équivalente et inverse : plus petite distance = plus grande vitesse) avec la loi de Titius-Bode.
Il s'agit avec ces carrés des prémices et supports d'une approche intellectuelle et pragmatique des astres en répertoriant sur ces schémas des modulations et modifications qui vont pouvoir exalter un ordonnancement et exhausser un répertoire de  caractéristiques cycliques et symboliques, les lettres et les chiffres occupant les cases de ces carrés sont eux-mêmes à considérer en hiéroglyphes dans les formes et les valeurs accordées comme  l'expression de réalités (les V,A,N,M,T,Z notamment sont édifiants), à toutes fins d'une meilleure approche et de la compréhension du fonctionnement du monde et du cosmos, le tout dans une perspective de technicité, de spiritualité et de pouvoir.
La référence restant alors les cycles respectifs des astres, ainsi que "préconisé" dans ROTAS (roues) du palindrome Sator...
PS : L'invention de l'imprimerie ne date que de la moitié du XIV° siècle.
Il ne faut donc pas trop chercher où est l'effet et où est la cause, les deux peuvent se confondre dans une (divine ?) synchronicité opportuniste, c'est ce que peuvent exprimer les sceaux des carrés planétaires, avec même des objections et interactions entre eux et d'autres concrétudes.
Ainsi le fait est que le 5 romain (V) est au centre du carré de Saturne, que c'est le nombre élevé au carré du carré de Mars tout en étant afférent au pentagramme de Vénus dont la première lettre est V, le 5 romain.
A noter que les 1 et 2 ne sont pas concernés comme échelons, ils ont en effet des caractéristiques d'opérations importantes exigeant là une certaine neutralité, concernant leurs Sommes et leurs Produits respectifs.

Le carré de Saturne a une constante de 15, le quattrocento est le quinzième siècle, 1500 marque le début de la renaissance française, et 1515 date la victoire à Marignan de François 1°, et Saunière dans son église crée des alignements ou des opposés d'un total de 15 pour chacune des stations du chemin de croix arrangées par 2.
Lemniscate orthogonal au résultat octogonal,
 huit directions et un centre,
= 9 points, façon eScarBoucle

Le carré à 9 cases n'est pas exclusif de l'Occident, en effet en extrême-Orient avait cours le carré Luo-Chou, similaire, qui serait inspiré d'une carapace (ventrale) de tortue :
Ventrale carapace de tortue
A l'époque médiévale en effet les liens avec l'Asie se faisaient intensément et notamment avec et par la route de la soie, ceci jusqu'à la chute de Constantinople au milieu du XV° siècle, laquelle aurait accéléré la recherche d'un ailleurs plus occidental puis son extension avec la découverte du Nouveau Monde.

De 64 (où 6 + 4 = X) à 65 (où 6 + 5 = 11et donjon de X-en-bord : 
la re(co)nnaissance  du X du + des "T" modifiés, mis en bords, 
implique 1 & 1 comme étant 2  Gémeaux enroulés comme 
dans le caducée de Mercure ou le double escalier autour 
du fut central, comme 1 + 1 = 2 et l'imparable unité de 1 x 1 = 1
Gémeaux, pluriel : 1 seul signe, PoissonS aussi, mais celui de la
Balance possède 2 plateaux, par... Platon ; (en bout de Cène)
Cf : les deux plateaux ?

C'est aussi qu'avec le 2 inséré parmi 1& 5 et 3 & 4 (les deux
premiers constituant 15 constante de Saturne et les deux autres
constituant 34 constante de Jupiter, mais aussi l'évocation du triangle
isiaque (Pythagore) pour 3,4,5 à retrouver plus loin), on obtient  la
tétraktis pythagoricienne posée sur le V romain graalesque.

Arbre de vie kabbalistique et tétraktys

Le svastika, origine indienne : svastika ou swastika, 
mot sanskrit dérivé de subien ») et de astiil est »), 
ka étant un suffixe adjectival.
Le svastika, symbole bénéfique et d'origine très ancienne, se retrouve dans de nombreuses civilisations et symbolise la révolution du soleil et les forces cosmiques. C'est un symbole universel à évoquer les saisons mais aussi la précession des équinoxes, ce décalage des repères des solstices et équinoxes avec les étoiles dites fixes, avec un schéma où s'inscrit bien le palindrome Sator à la croix TENET, et le donjon de Chambord. Le carré Sator étant lui-même significatif d'un svastika occidental.
Le svastika c'est aussi un schéma qui évoque la constellation d'Hercule, sauf pour une branche peut-être, et avec une consonance adéquate de précession cette constellation est située juste au-dessus du Serpentaire.

Il faut bien signaler aussi que Louise de Savoie (la mère de François Ier) avait subi l'influence de Cornelius Agrippa, très féru des carrés magiques kabbalistique qu'il ressortait au grand jour à cette époque de la Renaissance Française.
Une autre esprit qui se voulait universel, cosmopolite et chrétien, Guillaume Postel fut également au XVI° siècle le représentant français le plus caractéristique de la kabbale chrétienne.

Ainsi le 8 synthétise très pragmatiquement avec ses deux "ronds" l'alliance de l'écliptique (signes) et de l'équateur céleste (constellations) autant que les hémisphères nord et sud.



Le huit de l'analemme : à Midi aux solstices et aux équinoxes, méridienne de certaines églises,
où le sol se tisse d'un huit, comme le sac de la fresque à RLC, cordon en clé de Sol se tisse...
Salamandre savec la queue en S et en 8 à Chambord. Le "S" du pl-uriel, lequel commence à deux et est aussi
 l'initiale de Serpentaire, quant au 8 si c'est d'abord le nombre des côtés du carré de Mercure (8²), c'est aussi
 l'escarboucle, le lemniscatde l'infini, le sablier, Orion en 8 représentatif du phénomène de précession, 
l'égalité de deux ronds ou plateaux (zodiacaux) reliés entre eux, soit un 8 très polyvalent de forme...
Vidéos sur Chambord disponibles ici : *******

4°) L'astrologie, les 4 saisons et plus en corps par le Château de Chambord, le culte solaire et d'édifiantes codifications :

Eau et Air = O & R = OR
Poissons à Verseau en
ère précessionnelle
Les V & A forment un N inversé

PoissonS façon Yin-Yang,
 avérés V'ére

Saisons, relations jour-nuit
en croissance et dominance,
signes fixes des saisons

Poissons (en in-ver-sés) du zodiaque du
Capitole à Toulouse sur croix Occitane
et numérotés 1 comme à décliner les ères,
la deuxième étant celle du Verse-eau...
au moulin ?
Voir dans annexe  en bas de page :
Observation § 2
- L'objection de la précession

TÉTRAMORPHE DE L’ÉVANGÉLIAIRE D’AVIGNON,
XIème SIÈCLE : Le Taureau de Luc, le Lion de Marc
l'Aigle de Jean, l'Homme (-ange) de Matthieu,
et l'Aigle de Jean correspond au Scorpion ! :
Un modification à justifier aussi celle de la tour nord
au donjon de Chambord ?

Tour de verre (de vair ou de vert automne-aigle-scorpion)
au nord du parc de Saunière à RLC

Le Scorpion, autrefois l'Aigle mais une
ressemblance avec l'écrevisse (arcane XVIII)
(XVIII = XV & III)


Une lyre, et sa forme caractéristique en U, les
lyres de l'antiquité avaient pour caisse de
résonance (en bas) une carapace de tortue


Le lys s'écrivait autre-foi(s) lis,
puis troqua son i contre un y comme dans lyre,
c'était initialement un iris des marais.
Ulysse et guère de trois ? (Terribilis est...)


Croix Ânkh


Diable, diagonale et
corps nus cornus
Conculcabis ou coñcul-K-bis


Lune, écrevisse, blason
et tours, petit et grand chien
Procyon et Sirius

L'esprit (air) et la matière (terre),
pommes bleues ?
Les A & V (barré) forment un N

17 Jan-v-ier, ocre et bleu sous le V de vert
et le V (5 romain) de la quintessence...
Trajet du V... à la chair(e) à RLC

Quatre signes fixes des saisons
quatre évangélistes, la madorle
"auréole" du Taureau de chair
(et de chaire à RLC)

Luc en fond de chair(e) à RLC
(à la recherche de son anagramme ?)

Tandis qu'au-delà de la diagonale 4,5,6,
 l'alliance entre le feu et l'eau peut
s'accomplir avec 1,2,3 et 7,8,9,
de même que celle entre eau et air
(O & R), ou feu et terre (cendres)
avec les mêmes cônes en icone,
et enfin entre air et terre, où les 
liaisons entre 1 & 3 et 7 & 9 (!)
seront envisagées, tout ceci ramenant
au losange obtenu diversement...


Tétramorphe d'Arles sur Tech,
Taureau en bas de la mandorle
(terre) et aigle en haut (air mais
d'eau, O & R d'Hermès ?),
en forme de losange

Constellation de la Lyre,
essentiellement formée d'un losange
irrégulier, gavé du paradoxe de la
diagonale continue aux 2 x 2 segments,
la forme de la Lyre (constellation)
ayant pu influencer la modification
effectuée sur le donjon (coin Véga)
et l'ajout de l'oratoire à Chambord.


L'iris des marais


Le K des 4 éléments aux couleurs
des saisons et au cadrage
2,3,5,8 pour 2/5 et 3/8, la
proportion 3 à 5 de haut en bas
est conforme à la croix astrale, le
centre décalé étant l'étoile polaire.
Remarquer le point vernal, là
où pointe le vert, et les inégaux
chauds-froids des jours-nuits
(référence Tao et Poissons),
pourtant que le tarot de Marseille
ne contient que peu de vert (vair),
en vain ? Case tord, tort ou
case d'or et K du C de MerCure ?
Un K représentatif également
du cas des 3 ordres de
l'ancien régime

Autre concept de losange céleste
Trois signes d'hiver avant le point vernal,
et trois états de la matière, donc sans signe de feu
qui peuvent former un W ou un M, 
et ici face à Régulus du Lion

Item des quatre éléments, où le feu et l'eau sont les plus aptes à
former un losange et l'air et la terre un contrevair, mais pas v-rai 
que le mél-ange de ces deux couleurs primaires donne le vert ?


Chambord (donjon), Salamandre, Losanges et Ronds...
Le losange à l'initiative du contrevair

Le losange fait allusion à la vir-tu-alité de cette case en plus impen-sable à obtenir sur un carré pourtant pourvu de quatre quartiers comme autant d'éléments aristo-platoniciens en perspective de quintessence, et spécifiquement sur celui de Mercure en 8 x 8, laquelle est en fait accessible (accès-cible, carré-ment) dans un rectangle de 5 x 13 (de réf. 8 par Fibonacci triade 5,8,13 voir tableau Fibonacci ci-dessous -) sous forme d'une diagonale illusoirement continue à lire (!) dans l'épaisseur du trait et comprenant en fait quatre segments d'un losange irrégulier (2/5 et 3/8 l'ensemble x 2), donnant ré-alité à cette "pragmatique" (?) 65° case (5 x 13=65) obtenue in extenso de triade à partir d'un échiquier à 8 x 8 = 64 cases (on retrouvera le 8 ci-dessous 32 fois à  Chambord (le point fictif Lune Noire projeté sur l’écliptique effectue sa révolution en 3232 jours). Cette 65° case vir-tu-elle du carré puis ré-elle en diagonale sur le rectangle en sillon-néo-losange évoque le sexe féminin, le losange était l'insigne héraldique des damoiselles, quand au rond qui est en-corps plus explicite de la fécondation et de la gestation, c'était l'insigne héraldique des gentes dames à la Renaissance (voir aussi la tapisserie de la Dame à la Licorne avec les diagonales sur les oriflammes). Beaucoup de tétramorphes ont la forme d'un losange, avec notamment de bas en haut : Taureau de terre (Luc et son anagramme), et Aigle (de Jean, en principe animal d'air en haut...dans un signe d'eau), terre et eau autant que de tropiques celui au sud est de terre (Capricorne) et celui au nord est d'eau (Cancer), deux "C" (voir plus loin : Léda, et également le sceau de Vénus).
D,I,A pour nommer les trois au plus large du centre, la 65° case est constituée de l'épaisseur d'un trait blanc, 
un sillon, et avec DIA réduit à DO c'est 64 cases, A & I confondus forment une cloche de vair
 avec son battant, ce qui relève encore d'un référentiel sexuel et même coïtal.
.
L'idée de la création et de la procréation comme structure essentielle était toujours présente et présentait des modes figuratifs suffisamment suggestifs d'évidences et appropriés de logique de bon sens au point qu'elle semblait validée d'une légitimité spirituelle d'autant que les signes et les cycles venaient du ciel (le référent-ciel). L'association du losange et du rond donne la  mandorle (amande), ainsi dans l'arcane XXI du tarot (le monde) où l'OR y est de laurier.
Le fou a remplacé l'éléphant dans le jeu d'échecs, il est la seule pièce à avancer en diagonale uniquement, ce qui peut insinuer le losange et un rapprochement avec le mot "foune" sans être fort (fore) de café (en grain) D'Outre-mer...
C'est ce qui est exprimé avec le Bichon maltaiS sur un banc ou cheval d'arçon (alliance Vierge et Balance et coussin or-ange rectangulaire) prêt à être sacrifié par le Lion qui tient (en filigrane)le "poignard" du Bouvier : Arcturus (arc-tu-ruses) au-dessus de Spica (Périgée = péri j'ai ou geai).
C'est ainsi que la demande ou perspective initiale d'une case en plus sur un carré relève de la recherche de la quintessence, essentiellement dans le carré de Mercure où les quatre quartiers sont "pré-équipés" de sous-diagonales, chacun d'eux détenant 16 cases à la façon d'un carré de Jupiter, ces quatre quartiers ou cantons représentent les 4 éléments et au centre de l'ensemble dans une neutralité mercurielle : la quintessence à dévoiler, ce qui sera fait sous forme d'un rectangle de 65 cases à la Fibonacci, à partir des quatre éléments en K (voir schéma plus bas à droite). Noter pour 65 que 6 + 5 = 11, pour un couple, ou encore des Gémeaux qui à chacun son étoile.
A noter que le nombre 65 est aussi la constante du carré de Mars et 64 le nombre de cases du carré de Mercure (ou échiquier). Le carré de Vénus étant à 49 cases (7x7) outre que 4+9=13, et de constante de 175 (17 & V, 17 JAn-V-ier ?).
Pour Vénusien arrimé aquatique et arrivé à quoi tique : l'étang d'art sans gland est le V ?
Le losange sera repris dans le jeu de cartes modernes par le carreau, lui-même en remplacement des deniers (deux nier à ne faire plus qu'un) du jeu de tarot, le tout en référence à l'élément Terre.
Il sera repris aussi dans la notion de contre-vair où chaque extrémité consiste en un demi-losange.

Un losange (régulier) était aussi utilisé entre deux carrés par les astrologues pour établir un horoscope de naissance (au centre était inscrit généralement le nom et la date de naissance) :
Astrologie médiévale, carrés, losange et triangles


Pourtant que l'Aigle et le Scorpion sont deux constellations bien différentes, 
mais l'Aigle peut être le marqueur du solstice entre Sagittaire et Capricorne, 
à la Saint-Jean d'hiver (Noël, no ailes et le sol se tisse ?), le Sagittaire est le
signe qui reçoit la voie lactée sur l'écliptique, laquelle part de la Licorne 
entre grand et petit chien (Sirius et Procyon) aux pieds des Gémeaux,
(voir autre carte un peu plus bas à droite)
 et la constellation de l'Aigle est en forme de T ou de croix Ânkh

Le Scorpion remplace l'Aigle (déchu ?) dans le 8° (!) signe, séparé du 9° (Sagittaire) pour l'entrée vers l'intérieur du zodiaque par le Serpentaire, le O zodiacal devenant alors un...Q (!). Aucun degré sur le zodiaque n'est prévu pour ce 13° signe mentionné pour mémoire, il est en fait hors écliptique.
Pourtant que l'aigle est l'attribut évangélique de Saint-Jean, que l'on retrouve à fêter deux fois par an : celle de la Saint-Jean d'été (24 Juin) et de la Saint-Jean d'hiver (27 Déc), toutes deux très proches des solstices. A noter le rapprochement phonologique entre l'église et l'aigle-lys...
La constellation de l'Aigle jouxte (sous la Lyre) celle du serpent, rien d'étonnant que le serpentaire apparaisse comme le 13° signe, le plus souvent orienté avec Ophiuchus au-dessus du scorpion.
Les modifications accordées à la nomenclature de la voûte céleste pouvant être significativement métaphoriques d'événements historiques. Ainsi le serpentaire (aigle-échassier et mangeur de serpents) suppose que le bec de l'aigle (Altaïr) accepte par-foi(s) un retournement vers le serpent, dans le sens de la précession. C'est le croisement de l'écliptique (en beige) avec l'équateur céleste (en bleu) qui détermine les équinoxes, et les plus grands éloignements les solstices (voir carte plus bas à gauche).

La carte du ciel d'été (des T) qui préfigure
la Joconde, où le scorpion est l'accoudoir,
et IO devenue une génisse

Sceau de Karolus Magnus (Charlemagne)
Le cas d'un losange dont une case
Joug de boeufs, comme pour relier deux zodiaques ensemble, l'un Tropique (signes)
et l'autre Sidéral (constellations), TS ou ST comme dans le palindrome SaTor

Le semeur (sator) sans dévier (arepo) tient compte (tenet) dans son action (opera) des cycles (rotas)
Il s'agit bien sûr des cycles du soleil et de la lune (saisons et lunaisons), donc du temps qui passe et qu'il fait, ceci dans une société agraire, mais aussi des cycles des autres planètes comme repris notamment dans la permaculture...
C'est le christianisme qui a instauré ce concept scientifique et culturel agraire des solstices et équinoxes en instantané sur fond de constellations bien palpables et repérables initialement puis devenues signes comme notions mémorisées en abstraction du fait du décalage de celles-ci dû à la précession.
Villandry, carrés et rectangles de potagers


Licorne dans le ciel du soir en hiver, pas très perceptible
mais Sirius, Procyon, Orion, Aldébaran et les Pléiades : oui,
ainsi que les Gémeaux plus au nord-est., N.B.: 
L'équateur céleste passe actuellement par la ceinture d'Orion

Tapisserie de la Dame à la Licorne
Oriflamme de petit roque (rauque)
idée de deux triangles "supérieurs"
dans le K ci-dessus mais aussi pour
la fameuse DIA-gonale de l'oriflamme de la Lyre.
Constellations Licorne et Lyre axées solstices vers 1500.
.

Tapisserie de la Dame à la Licorne
Oriflamme de grand roque (rauque)
DIA-gonale effective.
Ce même oriflamme "fendu" flotte à la façon plus
ou moins d'un svastika sur certaines de ces tapisseries
(spécialement celle évoquant le goût).
Licorne, le goût, go-Ut, et
svastika comme ce vase tiqua... au K.
(vase ci-dessous, le go-ût)
Tapisserie Licorne, sens du goût, détail.

Licorne : la Vue, miroir style camée
Solstices (3&8) et équinoxes (4&4) emplacements réels
sur plan de la voûte céleste
au début du XXI° siècle (actuellement), où l'on retrouve
l'idée des carrés de Jupiter (16) et Mars (25) en bas pour
 les trapèzes du K ci-dessus, cliquer sur image pour agrandir.
Etoile polaire excentrée écliptique 3/5 cause inclinaison pôles.
N.B.: Du temps de François 1er l'axe des solstices
passait par Véga de la Lyre et partait des Gémeaux en haut,
l'axe Sirius-Véga étant envisageable (VerSus) :

Axe des solstices aux XV° et XVI° siècles,
décalage précession : 1° d'écliptique tous les 72 ans, et
depuis l'an 1000 : de l'aigle au serpent et donc serpentaire,
c'est ainsi que cet axe formait une corde tendue sur l'arc
de la voie lactée partant de la Licorne, passant de suite
par les Gémeaux, spécialement par Castor (case tord, sator)
puis par la Lyre et jusqu'au S'agite ère,
ce qu'exprime la tapisserie de la Dame à la Licorne,
le donjon d'Arques date de la fin du XIII° siècle.
Noter le décalage de l'étoile polaire (7° environ)


Camée : Prince trônant, couronné par deux Victoires,
sur fond marron, un adjectif qui ne s'accorde pas au pl'Uriel.

Ordre du Camail (ou du Porc-épic, voir plus bas)

Camail, Camaïeu, Grisaille, Clair Obscur

Carrés et rectangles de Fibonacci, cinquième ligne : 3,5,8
c'est l'étoile polaire excentrée qui impose au zodiaque ces trois nombres :
la barre transversale des équinoxes se situe à 3u. du haut et à 5u. du bas
sur un axe des solstices de 8u, l'intersection est l'étoile polaire, tout ceci
sur une planification de la voûte céleste (comme ici à gauche).
Image du haut : au-dessus de la transversale des équinoxes à 2 x 4
la hauteur est de 3, avec une invitation au deux triangles isiaques.
(oriflamme de droite Licorne)


Licorne (tapisserie), singe anagramme de signe,
et zodiaque au-dessus, préconisant l'égalité des signes
à gauche et tournant le DOs aux constellations inégales à droite.


Licorne et échecs : Où dans Scorpion et Poissons l'on retrouve PionS et PS
et que l'on Verse eau sur le 3°(absent) qu'enserre de vert l'écru c'est assez :
crabe ou écrevisse, voire homard (l'écru de la Licorne).
La ligne de séparation à quatre cases de chaque côté se situe donc entre
Scorpion et Sagittaire : l'accès au Serpentaire à l'intérieur du zodiaque.
Le décalage des signes se fait à droite (et ouvrant donc le milieu),
la Licorne est le K pris corne et le Verseau (ère) remplace les Poissons.
En fait c'est le reflet de l'axe des solstices aux XV° & XVI° siècles
(voir plus haut à gauche), et du décalage du point vernal à l'équinoxe.
Les 7 arts libéraux (3+4) , Trivium : grammaire, dialectique, rhétorique.
Quadrivium : l'arithmétique, la musique, la géométrie, l’astronomie.

5°) Carré de 5x5, à la foi(s) carré de Mars (à constante 65) mais aussi palindrome Sator...
Carré de Mars et losange de nombres impairs,
les nombres pairs étant "renvoyés" au quatre coins
(comme les tours du donjon d'Arques et de Chambord)

REIMS forme une flèche axée sur le N...
(flèche visant le V graalesque ?)

Caducée de Mercure, où deux serpents
s'enroulent autour d'un bâton central,
comme les deux escaliers autour du
fut central à Chambord
Variation du carré de Mars à partir
du palindrome Sator en plaçant la croix
 TENET disposée naturellement en
croix cardinale ici en X (en gris).
Obtenu à partir de l'ordre naturel des
nombres du carré de Mars
associés au carré Sator
(1,2,3,4,5...pour S,A,T,O,R)

T dans les coins et TENET en X
Apparaissent les mots ARA et ERE

Les quatre T du milieu de chaque côté
se retrouvent en bord, en coins, comme
les quatre tours du donjon...

Une inversion en haut à droite des A & O
axée ET permettra d'obtenir le mot TAROT
et presque le mot teapot 
(s'agite...ère et T...hier) 


Ainsi aurait du se produire le
donjon de X-en-bord, c'était
le plan initial prévu et débuté
avec les fondations, cependant
ensuite ce ne sera pas tout à fait
ça avec une des tours (au Nord)
Le palindrome Sator au N central, lui-même
centre de symétrie, palindrome à lecture ornementale
saisonnière par quatre quartiers, ouvrant seconde
lecture par modifications à la renaissance

Carré de Mars et Carré Sator, affublés d'un alphabet de 25
lettres quand I & J confondus, N toujours au centre, case 13

Le carré de Mars s'inscrit en 5 x5 dans l'ancien carré de Mercure
devenu rectangle à 65 cases (5x13) par le paradoxe de la diagonale
continue, 65 étant aussi la constante du carré de Mars
4x5 =20 cases restant de chaque côté...
Initialement seul le donjon( 5x5) central avait été envisagé,
est-ce ce schéma qui a présagé des extensions qui suivront ?

2 M pour Mars & Mercure comme pour 
Marie-Madeleine, calembour : Marri Mât de l'aine,
aux 2 mains jointes formant carré évoquant diagonale.
Extrait fresque sous l'autel à RLC

Initialement le plan du donjon de Chambord au sol devait représenter un svastika, ce moulin des astres des quatre principales étoiles de référence des constellations du zodiaque (Régulus, Antarès, Fomalhaut, Aldébaran), "moulin" qui tourne avec le phénomène de précession des équinoxes (plan initial à droite). L'axe de rotation ceNtral est l'escalier, à double révolution en fonction du caducée de Mercure :  La raison voulant en effet que le zodiaque tropique ou saisonnier ou des signes (Tenet en croix grecque) cohabite en toute logique avec le zodiaque sidéral ou des constellations (croix en X, Tenet à croix en X et quatre tours en bout du X comme quatre saisons avec chacune une étoile qui la parcourt dans le temps.

Kundalini et chakras à Chambord ?
kuṇḍalinī : serpents et dragons
En Inde, le zodiaque est toujours resté
sidéral, la référence s'effectue
aux constellations et non aux signes.
Escalier double de Chambord, à la fois pour exprimer un mouvement rotatif
de précession des équinoxes et faire allusion au caducée de Mercure, mais pas seulement à celui-ci ?

Escalier en case centrale 13 du carré de Mars, ou N sur carré sator, si importante ? (vidéos : ***)
 Le tout influencé par la route de la soie et intégrant la notion hindoue de kuṇḍalinī
 et ses deux courants qui régissent la vie : prāṇa, et vīrya ?
Le caducée (K du C) de Mercure est-il en Occident l'équivalent de la Kundalini en Orient ?

6°) Le sceau de Mars (et pas seulement) dans la modification (canton nord) & l'extension (oratoire) autour du donjon :
Le sceau de Mars
Deux diagonales divisent le plan en quatre parties,
deux sont similaires à une troisième et la quatrième
 évoque la lame d'une faux ou encore un Arc(ques).
C'est du déjà vu ce 3 + 1 dans les pages
"couleurs" et "alchimie" de ce blog
(les trois états de la matière 
et les trois couleurs primaires)

Feux de Salamandre (S-alma-andre)
et faux du sceau de Mars dont la pointe
vise le vair de l'automne, à l'inverser 
en rêve ou pour de v-rai ?


Un arc qui se retrouvera dans l'oratoire en coin
de tour de la façade des appartements royaux,
Feux, V-rai, Vair et Faux...
Cet arc d'oratoire en relation avec les sceaux
de Mars et de Vénus et avec l'arcane XIII
du tarot (13, un nombre lunaire), la façade
 du château s'en trouvera asymétrique avec
cet oratoire enté (!) en coin sur une tour.


Le sceau de Vénus présente des similitudes avec
celui de Mars : division en quatre parties du plan
par deux diagonales dont un secteur affublé 
d'une faux qui pointe le coin à modifier.


Ere des poissons, figuratif Yin-Yang en 
pertinence de relation d'opposition différentielle 
du rapport en jeu des croissances jour-nuit 
dans l'année, et au centre en haut à droite 
la possibilité du Serpentaire.



Armoiries des Médicis, aux XV° et XVI° siècles :
D'OR à cinq tourteaux de gueules, 2, 2 et 1;
en chef un sixième tourteau d'azur chargé
de trois fleurs de lys d'or, 
ce sixième tourteau reprend les armoiries
du Royaume de France, avec l'autorisation
de Louis XI pour services rendus à la couronne.
Remarquer les deux "8" en bas.


Porc-épic, ici couronné, emblème de Louis XII,
avec des pointes remontant aussi ici à droite...
Devise : QUI S'Y FROTTE S'Y PIQUE


Louis XI et l'Ordre de Saint-Michel
"IMMENSI TREMOR OCEANI"
Le sceau de Mercure

La régularité du sceau de Mercure tranche avec celui 
de Mars. Mercure est une planète au domicile diurne 
attribué au Gémeaux et en nocturne à la Vierge


Ainsi le fameux F comme François ou Feu indiquerait 
avec cette inversion axée le procédé pour en retrouver une 
autre (lettre ?) en occupant vertement le coin en question, 
à moins que s'agisse de la première lettre de Fécondation...
PAR CE SIGNE TU LE √'AIN-CRAS...


3 huit de cordée et un quatrième en bas pour le noeud 
de la corde (de l'accord ?), les fleurs du lys correspondent
 en nombre avec les cases visées dans le F ci-dessus.
Le bout des branches du F sont biseautées comme pour
suggérer une notion de début de diagonale, pointée
coin supérieur droit.


Le Serpentaire (Serpent + Ophiuchus) laisse dépasser
un "bras" sur l'écliptique, entre Scorpion et Sagittaire, pour
placer le 13° signe sur l'écliptique zodiacale pour mémoire.
Bien visibles ici : l'écliptique zodiacale tropique
et l'équateur céleste de type sidéral au-dessus,
lequel traverse "plein pot" le Serpentaire.
Ciel visible tous les soirs d'été (des T ?), et afférant
à la Joconde

Croix ou Lys spatial pointant vers le ciel
au-dessus du lanterneau du donjon à Chambord,
le Lys des Médicis de Florence ?
Le lys s'écrivait autrefois lis,
comme dans Mona Lisa.

Ordre de chevalerie du Porc-épic,
25 chevaliers, autant que de cases
du carré de Mars et du carré Sator
"COMINUS ET EMINUS"

Portrait de François Ier portant le collier
de l'Ordre de Saint-Michel

Alors que la construction de Chambord est commencée, François Ier est fait prisonnier début 1525 en Italie suite à sa défaite dans la bataille de Pavie - (François Ier est le troisième souverain français à être capturé sur un champ de bataille) - Le prisonnier royal est embarqué pour l'Espagne, où il sera détenu par Charles Quint pendant un an en attendant le versement d'une rançon par la France et la signature d'un traité (traité de Madrid, 14 janvier 1526) l'engageant à céder ou restituer le duché de Bourgogne et le comté de Charolais, à abandonner la revendication de l'Artois et de la Flandre, enfin à renoncer à ses prétentions sur la péninsule italienne. Libéré, il laisse son épée à Charles Quint, mais ses deux fils aînés âgés de 7 et 6 ans restent détenus en Espagne. Ils seront relâchés en 1530 contre le versement de la rançon.
Donc pendant un an François Ier a eu plus que le temps de réfléchir et de faire le point entre autres sur ses connaissances religieuses, culturelles, et sur Chambord en construction. Ainsi ce serait en revenant de son séjour forcé à Madrid qu'il aurait décidé une modification sur le secteur de la tour nord du donjon.
A moins que pendant son absence d'aucuns se soient penchés sur les modifications à effectuer...
Plan initial à symétrie centrale, l'ensemble évoque un
svastika, ce moulin sidéral, mais le quart nord va se
retrouver inversé dans une symétrie axiale :
Tout le quart nord se trouve inversé suivant une symétrie axiale
coin-centre en demi-diagonale, chaque tour représentant
 une saison dans chaque quart déterminé par la croix TENET
Comme si le N (de Nord) devait aussi être in-ver-sé.
Chaque tour représentant une saison dans le zodiaque tropique
et qu'envers en vert au vair (!) l'eau tonne comme une note d'eau
(DO), fixée à l'endos dans la pierre.
Une inversion telle que le signe de l'aigle devint scorpion ?
Ainsi est-ce le quartier et la tour de l'automne qui se trouvent inversés, la couleur de cette saison est celle de l'eau (vert... ou vair ?), son signe fixe le scorpion, et dans la constellation de référence se situe Antarès (ente-Arès, ente pour la diagonale, fente, feinte, et Arès pour un col des Pyrénées ou du pire aîné ?)

L'arc à droite de chaque sceau de Mars et de Vénus peut faire allusion tant à Arques qu'à Jeanne d'Arc (1429, anagramme chiffré de 1294 (Célestin V) et...1492 plus récent, quatre chiffres intéressants à voir sur le carré de Saturne).
Les sceaux de Mars et de Vénus indiquent clairement tous les deux en bout d'une même diagonale une faux pointant le coin supérieur droit d'un zodiaque tropique (trop-pique) , ce qui expliquerait tout à fait l'idée de fécondation dans le secteur automnal avec le scorpion comme signe fixe, scorpion qui se trouvait être autrefois l'aigle (voir page scorpion de ce blog).
Le secteur automnal comprenant également le clivage entre Scorpion et Sagittaire où pointe entre les deux "S", sans degré et pour mémoire le Serpentaire, ouvrant vers l'intérieur du zodiaque et la coupole céleste en supra-déclinaison de l'écliptique, allant jusqu'en circumpolaire.
Le Serpentaire est par excellence le signe de la Fécondation et de la gestation, c'est entre autres pour cette raison qu'il figure en option ou pour mémoire seulement sur le zodiaque, puisqu'il est inclus-reclus plus vers le centre, tout en ayant une accointance sur l'anneau zodiacal pour mémoire. Il autorise ce calembour : serpe en terre, ce qui pourrait renvoyer aux sceaux de Mars et de Vénus, la serpe ou la faux, tout comme à l'arcane XIII éponyme du tarot, que l'on retrouve après inversion du quartier mentionné avec les T ainsi mis en bords (voir le 3 et son carré 9, 39 un peu plus l'oint).
Précision ; les deux zodiaques, le Tropique des signes et le Sidéral des constellation (S & T, comme St de Saint, mais aussi de SaTor...les idées reçues plein pot au palindrome et dont on ne se plaindrait, se trouvent liés et reliés autour du fût central sous forme de deux escaliers comme le caducée de Mercure.

Les deux côtés d'une fleur de lys peuvent-ils être assimilés aux deux zodiaques (signes et constellation), aux deux escaliers, à deux gémeaux, à deux émaux, dont l'unité serait représentée par le mât central ? Une influence des Médicis à Chambord, le lys rouge ou de gueules ou garance étant le blason de Florence depuis le XI° siècle.
Le Lys de Florence (Firenze, où le N et le Z s'accordent bien
de leur biais inversés en diagonales "complémentaires")
F de François, F de France, F de Florence, F de Firenze,
F de Fleur de Lys, F de Fleur d'Ulysse
Teinte garance, même consonance à la fin que Florence,
Firenze = Fire-nze, un nez pour du feu ?
Louis XI, en remerciement aux Médicis, mais trois lys d'or sur fond d'azur,
c'était, excusez du peu, le blason du royaume de France...
Un ordre de chevalerie à 25 membres (oui, 25 au hasard comme le carré de Mars et le carré Sator...) était apparu à la fin du XIV° siècle (1394) : l'ordre du Porc-épic (le nom de Porc-épic contient "or" mais aussi "épi", voir plus loin, et deux fois P & C (comme Pollux et Castor), à mettre en relation avec les petit et grand roque aux échecs pour l'emplacement optionnel des...tours !, une autres subtilité consistant en les trois voyelles : oie et leur emplacement dans le cadre des roques). Un autre ordre de chevalerie, celui de Saint-Michel, fut fondé à Amboise le 1er août 1469 par Louis XI. L'ordre du Porc-épic fut supprimé en 1498 par le roi Louis XII qui lui préféra l'Ordre de Saint-Michel. Il décida néanmoins d'en récupérer et porter personnellement l'emblème du Porc-épic et la devise, et en décorera ses armoiries et sa monnaie. François Ier son successeur portera le collier de l’ordre de Saint-Michel, en sa qualité de grand maître.

Cet ordre du Porc-épic faisait-il allusion à la Maison de Porcellets, si chère à la Provence et à l'Ordre des Antonins (initiales O & A) au Moyen-Age, qui vienne (!) s'établir pas loin du Vercors (Vair-corps ?) et du Dauphiné (Dauphin ?). Difficile à savoir et encore plus à vérifier, cependant que Saunière posera bien un porcelet (façon sanglier ou sang-lier ?) aux pieds de la statue de St Antoine Ermite en son église. Il convient également de se souvenir que le XIV° siècle avait été marqué dans ce secteur par la présence de la papauté en Avignon.

L'ordre de Saint-Michel (qui avait son siège au Mont Saint-Michel) est lui plus explicite quant à ses "relations" au Dragon et à la constellation éponyme qui détient le pôle de l'écliptique et pièce maîtresse de la précession des équinoxes, la Joconde de Léonard de Vinci y étant partie prenante en lecture ornementale avec sa tête et surtout son oeil gauche en qualité de centre de précession (voir le paragraphe §8 plus loin sur ce blog).
La Florence des Médicis aujourd'hui sous le ciel d'Italie. Deux reines de France proviendront de cette Maison, postérieurement à François Ier : Catherine, épouse d'Henri II (1533) et Marie, épouse d'Henri IV (1600)
C'est en 1532 que la République florentine deviendra le duché de Florence, et en 1569 le grand-duché de Toscane 
Sceau de Mars, si explicite en diagonale montante
 (7 & 3 que Sat(o)urne), et si proche d'un trèfle

Le disque de Nebra, âge de bronze  (- 3 600 ans)
Les observations célestes les plus anciennes ayant
répertorié des cycles astraux datent du mésolithique
(- 10 000 ans)
Sceau de Vénus

Voile actée du vitrail à la nef
et à la Hune en escarboucle
dans l'église de Bugarach
où vertement la mer...
(d'où la rou-ille qui accompagne
sous peu la SouPe de Poisson)


Façon anneaux borroméens à RLC
dans la grand'rue

Carré naturel initial à 9 cases
comme sur les portables et les claviers
Cependant que la simple faux (piquante) des sceaux de Mars et de Vénus constitue pour de vair (vert scorpion vers ce corps pion) et pour de vrai un argument assez léger à aile seule pour suggérer à modifier de symétrie axiale le quartier où se cantonne l'automne, et François Ier devait détenir d'autres éléments plus convaincants sur les bases de cette époque de sortie du Moyen-Age, éléments dont il convient ici de rechercher les traces :
Déjà le carré naturel à 9 cases dont est issu par modification le carré de Saturne fournit-il une vraie indication sur sa droite par la faux courbée extérieure autour du 6 : 3 et 9, et 3 au carré c'est 9, 3 + 9 c'est 12, un nombre soli-lunaire, celui d'émoi du nombre des mois (synodes), et 3 & 9, c'est aussi...39. Et là ça peut faire tilt :

- 39, c'est 13 x 3, et 13 est un nombre lunaire, celui des tours (!) de Lune complets autour de la Terre en une année, et 3 c'est le nombre du carré de Saturne, des fleurs de lys du blason de France, des anneaux borroméens, autant que celui de la trinité et que le nombre de personnes d'un couple qui accueille un enfant.
- 39 en nombre de semaines c'est la durée d'une gestation dans l'espèce humaine (une semaine = 7 jours, 7 nombre du carré de Vénus). Et 7 x 39 = 273 jours, soit 10 cycles lunaires entiers de 27,3 jours, pour un cycle féminin similaire en régularité communément arrondi à 28 jours en occident (27 ou 3 x 9 en Inde). Le 10, ce X romain, ce X des diagonales des carrés ou mises en fentes et en feintes de paradoxe dans les rectangles, ces X des sceaux de Mars et de Vénus, le X se parerait donc d'une lecture ornementale à ce point bien-fondée tant réaliste de charme et de chair ?
- 39, c'est un diviseur commun intéressant les cycles de... Mars et Vénus !
Mais avant plus de développement, une observation concernant la diagonale 3,5,7 du carré naturel de 9 cases : elle contient à la fois le nombre du carré de Saturne (3²), celui de Mars (5²) et celui de Vénus (7²), outre le fait que le 9 constitue avec cette diagonale un apex, et 9 est le nombre du carré de la Lune, 9² (à remarquer à l'occasion la proximité du mot neuf avec la nef de la navig-ation, soit un neuf sans u, et à l'ancienne sans graalesque v). Autant dire que l'on retrouve dans cet apex les 4 astres cités pour les besoins et besognes du 39, mais qu'en plus une suggestion en cône 6,1,8  fait face à cet apex, laquelle insinue le 1,618 du nombre d'or ou divine proportion (1.61803398875, et où les décimales après le 0 contiennent 39 mais on évitera d'en rajouter de la sorte, d'autant que suivent deux 8). Par contre avec l'apex et 6,8,1 il est possible d'évoquer le fameux artefact composé composté écrit de PAX 681 de RLC. Ce cône 6,1,8 est aussi intéressant à exploiter en 18,6 de la révolution des noeuds lunaires ou potentiel écliptique et en 18 relatif à la notion de Saros. Et ça s'arrose que 39 est par ailleurs le double de 15 (constante du carré de Saturne) auquel on ajoute le carré de 3 (3²) dont le double (de 3) est 6, mais aussi la somme des trois exposants 1,2,3 de 3 (3,9,27 ; 27 étant le cube de 3, trois nombres qui peuvent ramener à 273). Et 39 c'est aussi la somme de cinq nombres premiers consécutifs (3 + 5 + 7 + 11 + 13).

Chambord dans son parc naturel de chasse célébrerait la faculté de l'humain à se caler intellectuellement, voire spirituellement sur les cycles naturels de la création, ce que TENTE d'indiquer et tend aussi à préconiser le palindrome Sator depuis longtemps.

Mars, Vénus et Cupidon
Mars et Vénus, avec le diviseur commun de 39 :
- La révolution synodique de Mars est de 780 jours (779,94 très exactement), pour un tour complet de la Terre par un observateur situé sur celle-ci.
- La révolution synodique de Vénus est de 584 jours (583,92 très exactement), en toute subjectivité terrestre également.
- Tant et si bien que de diviseur commun à 39 : 780 / 39 = 20 et 584 / 39 = 15, soit un quotient de 20 pour Mars et 15 pour Vénus, avec une différence de 5 (le V romain graalesque) ou d'un quart, quoi de mieux dans le principe de genre pour aborder l'épilogue à justifier la modification d'un quartier de donjon quand il a trait à la saison automne commençant (après le dernier signe d'éTé de la Vierge) par le signe Vénusien de la Balance (aux deux plateaux formant un 8, et signe d'air-R, et V-air Vénus d'air) se prolongeant par le signe Martien du Scorpion (signe fixe de la saison et signe de la sexualité par excellence ouvrant en fin de signe la porte au Serpentaire, et signe d'eau-O) et se terminant par le Sagittaire (s'agite ère et ça gîte ère accessoirement signe de feu), la porte d'entrée du Serpentaire et 13°signe se trouvant pour mémoire entre Scorpion et Sagittaire...
- Sans oublier et déjà vu plus haut avec la Lune que 273 / 39 = 7, soit une semaine (sème aine ?)
Tout ceci ressemble à du Freudisme avant l'heure, soit, mais justement avec un F comme François Ier ou le Feu de la Vie, avec ou sans l'avis d'une s-alam-andre : Vénus de la Balance + Mars du Scorpion (aigle déchu déjà évoqué en §4), et Lune...du Serpentaire et 13° signe.
- Mars indice 780, Vénus indice 584, mais aussi Lune indice 273 autour d'un même nombre 39 composé de deux chiffres dont l'un (3) est élevé au carré (3²) pour obtenir l'autre (9), figurant sur le carré naturel initial de Saturne et évoqués directement par les sceaux de Mars et Vénus. Les cycles de Mars, Vénus, Lune comme trois anneaux borroméens afférents à la sexualité -génitalité ?
(en outre : 780 + 584 + 273 = 1637, année de conception de Louis XIV)
- 20, c'est XX en chiffres romains, et 15 c'est XV, et la différence en V du Vénus-pentagramme* (aux 5cycles de 19 mois tous les 8 ans) qui implique donc 8 ans moins 2 jours (2 & 8 encore et 28 en corps) en V (5) du centre du carré de Saturne et en côté 5 du carré de Mars, et XX couvre un potentiel de 4 éléments en 2 V et  2 lambda (Λ) contre 3 pour XV (VΛV), et qu'il s'agisse donc au manquant du lambda feu qui n'est pas état de la matière et concernant la salamandre, faux et feu, vrai et vair, et où prend tout son sens le mot quartier en quart-tiers et modification d'un quartier-canton du donjon de Chambord et adjonction d'un oratoire. De plus XX + XV = XXXV, 35 et 3 + 5 = 8, ou l'infinie descendance.
Un 35 qui rappellerait par ailleurs le sanskrit Om (inscrit dans Chambord et Chambour ?).
Om en sanskrit à l'allure du 35,
et quelque ressemblance formelle
avec le sceau de Mars ?

Et le 39 encore beau... jura mais un peu tare qu'on ne l'y prend dret plus ou qu'on noeud lie prend de raie plus ? Pourtant qu'une faux en filigrane s'incrusterait poussivement à cru c'est assez d'ego sur un tableau de Poussin !
Le XV vénusien ici pouvant rappeler la constante du carré de Saturne (15), et V de différence évoquer le montant à ajouter à la constante 34 du carré de Jupiter pour obtenir 39, la constante 34 (3&4) de Jupiter insinuant une dimension isiaque optimisant le V.

Ainsi Chambord dans son architecture célébrerait-il l'union des deux zodiaques (le Tropique, devenu abstrait longtemps après l'instantané initial mais utile saisonnier de référence et le Sidéral, naturel, palpable, devenu décalé du premier et reconnu comme tel) comme des Gémeaux indissociables dans une unité d'escarboucle à 9 points dont 1 central et sans huis clos pour la plupart, mais également le couple H & F comme élément créateur de vie en corrélation avec les rythmes connus et répertoriés du cosmos à l'époque, le tout en conformité avec les structures occidentales et chrétiennes de la sortie du moyen-âge en fonction de connaissances idoines.
La société agraire célébrait avec des rituels les rythmes qu'elle connaissait et utilisait, l'église les sacralisant comme des bienfaits de la création pour l'humain, ex : Pâques en référence à l'équinoxe de printemps, Noël référent du solstice d'hiver.

Car ainsi fonctionnait le pouvoir royal et religieux, ou même le pouvoir en général depuis l'antiquité : qui contrôlait le temps qui passe en le comprenant avec et par la connaissance des cycles naturels incluant d'abord le rythme des saisons avait la main mise tant sur une programmation agraire optimisée pour des résultats tangibles qu'une influence sur les agissements des humains et notamment celui consistant en la gestation, d'une perspective naturelle et lunaire sexuée éther haut à XIV stations. Aussi bien ordonnancée de concrétude d'esprit et calée sur les cycles naturels comme un ordre des choses à sanctuariser la pensée devenait alors magique, le "ça crée" devenait sacré, et le devin bien anticipé et géré devenait le divin.

Cotylédons de graine
en germination, formant un huit ?
Cotyle est don, voir la statue
de Ste Madeleine à RLC

Le K des 4 éléments pour se retrouver
"couleur saisons" a pivoté d'un 
quart à droite, comme une nef en
instance d'un feu de Saint-Elme
(et une référence à Alma ?)
T de Tropique et S de Sidéral, comme S de Spirituel et T de Temporel, comme dans SaTor : ST & ora, l'antique palindrome SATOR était d'une grande subtilité quant aux saisons, tant par son contenant que par son contenu. Son plus ancien exemple connu a été découvert dans les ruines de Pompéi. Sator, un mot si proche du mot Saros.
Les enluminures des très riches heures du duc de Berry au début du XIV° siècle avaient à la fois valorisé les 12 mois et leurs préoccupations agraires autant que dénoncé le décalage calendaire aux étoiles, le temps n'était plus en conformité avec le schéma de l'espace cosmologique initial. Il fallait donc surtout après les grandes découvertes recaler le temps de référence avec les étoiles utiles à la navigation dans une vaste mise à jour tenant compte du décalage dû à la précession, c'est la nef et le neuf, celui de 1492, le neuf et le n'oeuf.
Ce qui sera effectivement fait en Oct. 1582, voir le paragraphe §8 plus bas.
Emaux obliques en héraldique,
gémeaux de nef, de neuf et de n'oeuf
(1294, 1429, 1492)
Le sable en héraldique,
évidence des cases et donc des
différents carrés astraux

A noter que le coin pointé par les deux faux des sceaux concerne le vert de l'eau de l'automne et ce n'est pas une couleur primaire, ce qui pourrait aussi justifier cette modification-inversion-asymétrie concomitamment à un changement de couleur pour un émail. Par ailleurs le coin de départ de la faux concerne le rouge du feu de l'été, et si c'est bien là une couleur primaire, par contre ce n'est pas un des trois états de la matière. Mais ces deux teintes citées de prasine et garance (anagrammo-phonologie à sine-par et gare-anse) dans leur dénomination primitive et agraire sont celles concernant les émaux aux graphiques obliques évoquant le V du graal, et utilisées dans les bâbords et tribords des feux de... navig-ation (anagramme : ?). Et de l'amer à l'amère où un S(i)X tance entre 3 et 9 à la hune du 39 : 369 est la constante du carré de la Lune et la faux comme un croissant de Lune le long de cette verticale, alors Mars, Vénus, Lune, une trilogie pour la mère et la Mer, où le sceau de Mars contient le N avec sa diagonale normative (norme hâtive ?) et le sceau de Vénus induit le N inversé à la diagonale in-ver-sée, les deux en partie supérieure fo-mentant un M... évocation de l'aiNe en deux demi-diagonales posées sur deux jambes, (...TU LE 'AIN CRAS), chaque demi-diagonale issue l'une (!) d'un N et l'au-tre (!) d'un N inversé. Ce qui en calembour après le "Ut est ruse" pourrait donner "Je ruse à l'M ou à l'aime", concernant la forme de l'aiNe sur pieds (dans le genre calembres d'aine).

C'est donc ainsi que les feux de navigation (en mer) se définissent par la négative (intellectuellement ?) mais paradoxalement et naturellement dans une célébration de la création en V d'étrave à partir des deux règnes reconnus de l'Antiquité, animal et végétal (sang et chlorophylle) : le feu de bâbord (de ton, lequel brûle, ou de bâton de gouverne à l'ancienne, situé à tribord mais tenu à bâbord) comme déjà vu concerne une couleur sans correspondance avec les états de la matière, et que celui de tribord ne concerne pas une couleur primaire cependant qu'elle est aussi additive de deux autres qui le sont (d'où tri-bord), et remplaçant ainsi la troisième couleur primaire à en prendre son nom de sinople dont l'orientation oblique en imprimerie est idoine à former une proue (en V) avec le pourpre. Une trilogie de vert (de vair ?) suggérée directement par le sceau de Vénus évoquant le trident de Neptune dans sa partie supérieure, qui rappelle d'ailleurs la disposition des anges de l'entrée de l'église à RLC au cartouche BS en-dessous (S de Sceau, et Bulla Sigillum, Bulle (pontificale) à Sigillum ?).

Le Bon Symbole ferait passer en contrebande des éléments de l'inconscient vers le conscient dans l'expression de réalités vécues et telles qu'elles ont pu être perçues, alors ne pas se priver des lectures ornementales ou des schémas figuratifs, d'autant que ceux-ci peuvent contenir certains éléments au titre que l'art fut très souvent utilisé à des fins de protection et de dissimulation des informations ou des opinions, voire même plus intrinsèquement : la détention de représentations psychiques universelles, orientées ou non à l'occidentale par exemple.

Les structures de la navig-ation,
avec le sceau de Vénus à la recherche
d'une trilogie à l'uni-ver-selle ?
Bulla Sigillum = Bulle à Sigillum =
Bulle à Six (ou assis) gilles hume (ou home)

Léda et le Cygne, collection Spiridon
Ecole Léonard de Vinci
Offices de Florence

Sceau de la Lune, quatre phases
dont une en haut croissant en U
comme sur le sceau de Mars

Donjon de Chambord et Oratoire :
le coup du trèfle à quatre feuille et la queue,
5 départs du centre, dont la quintessence en
plus des 4 éléments sur 4 tours
dont une in-ver-sée

Alchimie Lune*

Hexagone armillaire
1492 : All you need is globe



Anges de l'entrée à RLCet sceau ou saut de Vénus
ou quand la terre se fait éther (au centre)
et la faux en-ver-s et en filigrane (à droite)
vrai de vair dénudé à minauder (station X à RLC).
Rappel : eau (vert) et air (bleu) = O & R = OR,
marron = mar & on (-r ou ère) couleur sans
pl'Uriel, vairon initialement = bleu et marron
vairon = vain & or Los angelos, losanges de
Bon secourS, Bain de fourmiS, aBSinthe ?

Carré de la Lune, à la constante de 369
et au quatrain (!) central.

La laitière de VERMEERaux couleurs des quatre
éléments, et seulement bleu et vert pour la table,
et devant une fenêtre à carreaux (XVII° siècle)
Cependant que 2 verts figurent en manches (!) sous la
poitrine et que le vert de la table pointe sans équivoque
sous le tablier, ne laissant aucun doute planer pour le
vert-vair de Mercure en Mère-cure chez Vermeer.

Epi (Spica Virginis), peu ou prou en
forme de V, de proue, et... Porc-Epic

Alchimie Vénus*

Les 64 hexagramme du Yi King (obtenu
par combinaisons des 8 trigrammes),
il est l'équivalent en extrême-orient du
carré de Mercure en Occident


CHAMBORD STRUCTURANT LA NAVIG-ATION
Saisons aux couleurs en relation avec les éléments des signes fixes
Le vert n'est pas une couleur primaire, le feu n'est pas un état de la matière,
et pourtant adoptés par les nefs, la faux formant la poupe et au centre la proue.
Pour preux (!) chevaliers, pourpre et poupe, : deux R (aire + ère ?) de différence...
Un nouveau-né est un poupon, Mars eut piaule et marsupiale...
La faux à l'affût et le vrai croissant de Lune.


Et qu'à ce stade avec une couleur d'un coté il conviendrait de trouver pour l'autre côté à trois couleurs fondues en une seule où les deux autres disparaissent éludée par la première un signe qui l'aida (et sans trompette d'Aïda). Le mythe à quoi tique de Léda et le cygne détient la solution adéquate : Zeus prit la forme d'un cygne pour séduire Léda à la faveur de la nuit, selon Homère. De ses amours avec le dieu, elle conçut deux enfants (Hélène et Pollux), qui naquirent dans un œuf, alors que Clytemnestre et Castor, enfants de Tyndare, naquirent dans un autre œuf. Les deux premiers, demi-dieux furent immortels mais pas les seconds, simples humains dont les initiales commencent par un "C" comme celui que l'on retrouve deux fois à gauche de la diagonale Hiver-Eté sur le sceau de Mars, dirigés vers le Printemps en groupé façon haut de coeur ou bas de pique des cartes modernes ou toute autre forme suggestive... à partir d'un 3 dans tous les sens, ou en corps d'un 3 inversé (ε) comme εpsilon, anagramme : Sinople ! De l'εpsilon à la trilogie en dévers, et deux "C" comme initiales de Couleurs (gaude et guède). Un troisième "C" isolé mais orienté de façon différente (ouvert en haut, comme un U, ou une lyre) se trouve en Haut entre Hi-ver et Automne, avec des H comme Hélène et Eau comme automne (au vert (!) de référence). Il semblerait bien qu'il se retrouve sur certains tableaux (de cette page de blog entre autres) comme un attribut alchimique très féminin de ceinture : le U de Utérus (présent en haut des sceaux de la Lune et de Mars (marsupiale), et à retrouver dans l'énigmatique formule ultérieure OUOSVAVV), utérus autorisant le calembour "UT est ruse" (de Lyre), à une époque où la note DO remplacera le UT (de Guido d'Arezzo) dans la période moderne, déjà en cours au XVI° siècle. Par ailleurs Hélène provoque la consonance LN, initiales de Lune Noire, liée aux notions de Périgée et Apogée lunaires (ou grand aXe) dans la révolution lunaire anomalistique, avec une ellipse évoquant par elle-même la forme d'un... oeuf !
Le mythe de Léda était très au goût du jour à la Renaissance tout comme les quatre saisons en peinture et musique le seront un peu plus tard.
(à suivre...)

Quant à la pointe de la faux, ne faut-il pas là y voir le pré-miss-e d'une (phallique) Licorne (qu'a pris corne ?), avec une tapisserie contemporaine du début de la construction de Chambord, autant qu'une référence pythagoricienne isiaque (Mon Seul Désir = 3,4,5 = Aer, Aqua, Terra, où l'AT (athée ?) des deux extrêmes se fondent dans l'Aqua (baptismale ?),  2 A de Au diA bleu Vaut Vert ?), rappelant A&T de Sator comme de Hathor où arraisonné, l'arc de la faux se situe en zone 3,6,9, vert-i-cale saturnienne & de constante lunaire et face à une potentielle diagonale de 5 ? Faut-il (!) donc dans le 3,4,5 isiaque annexer sys-tématiquement un six et un neuf (un ter(r)eau de T'rois de sexe et de n'oeuf), 3x6 = 18, saros et axe nodal ?
ECCE AGNUS DEI : 4,5,3, référence isiaque, inscrite en bonne place à RLC, et sur un bandeau en forme de M.
ScEauX Pêcheur, et n'aut-o-nier de l'arc-he impér-i(s)-sable,
ou quand la canne à pêche est ar(c)quée, comme à droite des sceaux
de Mars et Vénus...



(à suivre...)

7°) ChambOrD, le X-ATO de X-en-bord ou X amb OR, monument scellement de l'Opus Davidicum :


Où l'on retrouverait les 2 auXiliaires ÊTre et AvOir ?
Et si c'était le carré SATOR qui avait déterminé
de fond et de forme ces deux auxiliaires ?
ça tord la barre du N à l'inverser

Le serpentaire est un échassier-rapace (Afrique), 
noir et blanc comme une pie ou un échiquier,
outre le fait que c'est un mangeur de serpents
comme son nom l'indique et qu'il puisse ainsi ramener
par son nom aussi à une dimension sexuelle et génitale.
Il est parfois appelé secrétaire à cause des plumes comme
à disposition sur sa tête (pour l'écriture d'autrefois).
A gauche : conculcabis leonem et draconem
A droite en bas : Fennec (feu & nec), renard (rusé) des sables ? De faux à fox ?
Le sable en héraldique ayant trait aux carreaux et donc aux carrés.

Mali : grande outarde - otis tarda
La grande outarde (sans M) est un grand oiseau pie-brun aux pattes puissantes,
les mâles sont les plus lourds oiseaux au monde capables de voler.
Entre deux cygnes du zodiaque (Scorpion et Sagittaire) : Le Serpentaire
Face à Face et effet miroir (mire oire ?)

Les Dogons du Mali restent un peuple mystérieux, ils semblent avoir une culture astrologique avancée, cependant que leur installation aux XIV° et XV° siècles dans la région qu'ils occupent est presque contemporaine de la Renaissance italienne, et le nom de Bandiagara et étonnant, puisque contenant dia & ara, deux termes intéressants : dia pour diagonale et diable et ara pour l'oiseau de couleur et Ara-gon, qui ramène d'ailleurs à Do-gon et à la note Do qui remplacera Ut.
De plus il est fait mention du Mali et de l'oiseau O(t)is sur l'illustration de l'Opus davidicuM.
Donc tout ceci peu avant la construction de Chambord.

8°) Chambord préfigurerait entre autres Oct 1582 de la réforme grégorienne :

La Joconde, une carte du ciel des soirs d'été
Le rictus de la Joconde est en fait un R'ichtus, une allusion à 
la relativité sidérale et sidérante de l'Ere des Poissons, 
à l'éPaulé-jeté alter au fil (!) du temps ?
Couronne boréale, Ponte Buriano, Burro Ria : 2 "r" en un "n", 
pour Buri-ano (anneau) zodiacal, d'Arezzo-dia-cale, Arezzo et Sator.
"cuitil ne lui resta que l'arête" (au gui l'an neuf ?)
Comme l'oeil gauche de la Joconde


L'oeil gauche de la Joconde est le pôle de l'écliptique, 
ici en rouge au centre, c'est en fait le centre du cercle
formé par les étoiles polaires au cours du temps de 
l'année dite platonicienne d'environ 26 000 ans 


La silhouette de la Joconde est celle 
d'un fantôme de trou de serrure du temps

La question de la précession était d'actualité aux XV° et XVI° siècles pour plusieurs raisons (à suivre...)
- Les très riches heures du Duc de Berry et son calendrier
- Les grandes découvertes et la navigation en général.

Tout ceci amènera au passage du calendrier julien au calendrier grégorien.


L'oeil gauche de la Joconde est ici en rouge
 (centre du cercle des positions étoiles polaires
sa tête est essentiellement constellation du Dragon.
L'accoudoir en bas est la constellation du Scorpion.
N.B.: Les constellations du Dragon et du Serpentaire
(Serpent + Ophiuchus) sont les deux seules à avoir
tête et queue (caput & cauda)


- François Ier avait été candidat en 1519 au trône du Saint Empire romain germanique, est-ce pour cette raison que la façade de Chambord est orientée sur un axe Île d'Aix (dia-gonale x) d'un côté,  et de l'autre : Fontainebleau, Reims, et...Hambourg ?



Annexes de la page :

Observation § 1 - L'objection ThUlé - Drang nach Osten, et l'hypothèse Hohenzollern :

Blavatsky et compagnie...
Une phrase bien salée et un cartouche bien sucré,
BriceletS / brise les à mare (du bénitier) ?
L'adiaBatiSme de BormanuS
et des BasilicS façon rinceaux
ou salamandres d'Alma-sandres...
Il est difficile de passer sous silence le spiritisme ambiant de la seconde moitié du XIX° siècle, époque de Saunière. Et la phrase du début tend la perche suivante (outre "TU LE" invitant à THULE, posé comme une tuile signalée) :
- Le G dans la phrase de l'entrée est la 7° lettre de l'alphabet et est ici à la 8° place, qui devrait être tenue par le H.
- Un décrochage de l'encorbellement apparaît pour le milieu de la phrase, isolant 9 lettres au centre : SIGNE TU LE
- A remplacer le G par un hermétique H et en plaçant le H entre T et U ainsi que l'indiquerait le doigt de l'ange, on obtient : SINE THULE (sine = "sans" en latin) et la THULE (-Gesellschaft) était une société secrète apparue officiellement au début du XX° siècle (1918) avec un certain Sebottendorf (un pseudo en fait, qui contient SB et...Tenet) et de plus se revendiquant des Hyperboréens (BS à nouveau). L'aigle est un symbole important dans l'héraldique germanique. Le reste de la phase en place étant : PAR CE VAINCRAS. SINE THULE (SANS (la) THULé) pourrait donc être une indication concernant soit les chevaliers teutoniques soit une évocation-invocation anti-germanique au vu du positionnement de ce diable ailé évoquant un aigle, à moins que ce ne soit improbablement le contraire, cependant que se développait à cette époque le pangermanisme. Cette césure du TU, du UT par un H pouvant indiquer une réminiscence du Drang nach Osten (note DO à remplacer le UT qu'il conviendrait de se remémorer le système de la gamme musicale anglo-saxonne ?). A ce point que l'énigme Saunière pourrait concerner non seulement les codifications templières, et celles du classicisme mais aussi d'autres de l'époque plus contemporaine (BS : Bismarck ?), l'expression latine initiale (IN HOC SIGNO VINCES) sans "LE" dans sa traduction concernant essentiellement une bataille : celle de Milvius. Mais ce H pourrait-il être celui des... Hohenzollern ? (PAR CE SIGNE...et Parsifal ?)
Maison de HohenzoLLern
Château de Hohenzollern,
un parallèle du genre nid d'aigle à établir avec RLC ?

C'est que dans le contexte de l'époque fin XIX° S, ne peut être éludée la question d'une éventuelle collusion entre Saunière et la maison de Hohenzollern (par sa branche catholique Sigmaringen), en effet celle-ci connaissait à cette période un tournant dans son histoire (N.B. : La Souabe, en allemand Schwaben, toujours le cartouche BS par Sb). Léopold von Hohenzollern-Sigmaringen (1835-1905) fut le chef de cette maison en cette fin XIX° début XX°, et sa candidature au trône d'Espagne avait déclenché la guerre de 1870 entre la France et la Prusse alors qu'un autre de la même branche (Carol 1°) était devenu roi de Roumanie dès 1866. Saunière n'avait-t-il pas eu fin XIX° des contacts avec des pays d'Europe centrale où la famille des Habsbourg régnait sur l'empire d'Autriche-Hongrie ? Les Hohenzollern auraient-ils pour des raisons politico-royalistes joué un rôle dans l'ancestrale querelle Bourbons-Habsbourg en installant une tête de pont vers l'Espagne à Rennes-Le-Château ? Certes ce n'est pas établi mais c'est envisageable, aucune étude n'ayant été effectuée sur le sujet, non plus qu'une interférence entre les Hohenzollern et la Thulé, alors cette nébuleuse de l'Est en restera au stade de supposition mais annotée pour mémoire, comme une aptitude à ne point ignorer dans ce cadre de RLC toute réminiscence du Saint Empire Romain Germanique. A ce stade il convient également de se remémorer les visites d'un certain Jean Orth à Saunière...

Frédéric II de Hohenstaufen
Frédéric I °dit Barberousse
"Kommt her zu mir alle, die ihr mühselig und beladen seid !"

En tout état de cause ne peut-être ignorée la maison de Hohenstaufen notamment dans la seconde moitié du XIII° siècle, avec le contexte des luttes entre Guelfes et Gibelins, non plus que l'affaire des Vêpres Siciliennes, l'ensemble marquant l'histoire de l'occident jusqu'au XIX° siècle. Frédéric II fut le premier des Hohenstaufen à porter (entre autres) le titre de Roi de Jérusalem (le 18° du nom) et fit construire le Castel del Monte dans le sud de l'Italie (Royaume de Sicile).

Mais avant cela Frédéric I° Barberousse von HOHENSTAUFEN au XII° siècle avait nommé  Herrade de Landsberg abbesse de Hohenburg au sommet du mont Sainte-Odile de 1167 à sa mort, abbesse qui y applique la règle des chanoinesses de saint Augustin. Fille spirituelle de Relinde, l'abbesse à laquelle elle succéda, elle a quarante-six chanoinesses et douze converses à gouverner sous la direction des Prémontrés. Située ainsi au carrefour de la réforme de l'Église et de la tradition impériale, cette moniale, par ses dessins notamment, est un magnifique témoin de son temps. Pour l'instruction de ses religieuses, elle rédigea Le Jardin des délices (Hortus deliciarum, 1159-1175), ouvrage unique en son genre de six cents pages in-folio de citations de la Bible, des Pères anciens, et des auteurs récents de son temps. Ces extraits sont entrecoupés de poèmes et d'hymnes accompagnés de leur notation musicale, ainsi que de trois cent trente-six dessins, qu'on ne connaît plus, depuis la destruction du manuscrit dans l'incendie de Strasbourg en 1870, que par des copies prises au XIXe siècle.
Le couronnement du Pape Célestin V (ou apparaît Barberousse à droite)
Extrait d'un article pondu par l'Express à propos de l'affaire de Rennes-Le-Château :

"L'une des thèses les plus répandues et retenues aujourd'hui par l'écrivain Gérard de Sède, qui fut le premier à écrire sur 
le sujet, est celle d'un document dynastique concernant les Habsbourg et peut-être le Vatican. Un secret gênant qui aurait permis à Saunière de faire chanter la famille impériale autrichienne. A preuve, les visites d'un «Monsieur Guillaume» au fort accent germanique et qui n'aurait été autre que l'archiduc Johann de Habsbourg. Une thèse étayée par l'accusation d'espionnage qui pesa, un temps, sur Saunière, lorsque éclata la Première Guerre mondiale.

La piste Habsbourg connaît des variantes plus délirantes: dans le salon vieillot de la villa Bethania, Henri Buthion, qui possède et habite le domaine Saunière depuis vingt-sept ans, a eu le temps de faire le tour de la question. Ce monsieur très vieille France en arrive à la conclusion suivante (mais pas définitive): ce sont les attributs sacrés du Saint Empire (dont le casque de l'empereur Constantin, pas moins) que l'abbé aurait trouvés dans la crypte de son église. Pas étonnant que les Habsbourg se soient montrés reconnaissants envers le curé."


Castillo de Bellver (Palma de Majorque) XIV° siècle
L'octogonal Castel Del Monte, sud de l'Italie XIII° S.
C'est ainsi qu'il convient de se tourner vers un monument italien inédit et mystérieux construit au XIII° siècle par l'Empereur du Saint Empire, Frédéric II de Hohenstaufen : Le Castel Del Monte (qui contient D & M).
Un rapprochement peut-être fait quant à sa forme avec le Castel de Bellver à Majorque...
Le terme Del Monte est à rapprocher du nom d'une rivière dans le piémont Italien, et qui arrose Borgo San Dalmazzo et Coni dans la province de Cuneo, il en sera parfois question sur ce blog, province traversée donc par la rivière Stura di Demonte et le torrent Gesso. A Coni la vieille ville est bâtie selon un plan en damier (façon échiquier). La ville de Saluces (en italien Saluzzo, en piémontais Salusse) est située dans cette province de Coni...
Peu après la construction de ce Castel et après le décès de Frédéric II de Hohenstaufen eut lieu l'important épisode des Vêpres Siciliennes sous Charles d'Anjou qui induira la croisade d'Aragon...
Et à la fin du XIII° siècle apparaîtra Louis d'Anjoupour le royaume de Naples.


Tea for two, et porcelaine de Bavière ?
AchTung et à tes souhaits : le T de Thulé ou TU L'Est pas...haS Been ? 
(par Bianca casse ta flore ?  Et poupée de porcel'aine ?)


 Observation § 2 - L'objection de la précession et des ères comme des heurts ou des heures :
Pour indiquer leurre ? Image cliquable pour l'agrandir
 Observation § 3 :
Le croisement des doigts de Marie Madeleine (Marri Mât de l'aine) à Rennes Lexato :
En 6 + 2 = 8 Mercuriel, 3 par 3 à angle droit et 2 auri-cul-aires (ères ?)
non-joints laissant apparaître un V intérieur en gris d'échiquier fondu ?)


L'Annonciation est un tableau de l'atelier de Verrocchio, attribué à Léonard de Vinci et exposé à la galerie des Offices de Florence.
Apprécier les carrés et rectangles, en coin.
Image cliquable pour l'agrandir...

 Observation § 4 :
La tapisserie de la Dame à la Licorne, datée de 1500.
La Licorne tient l'axe des solstices suivant les constellations : Licorne à Sagittaire (s'agite ère, ça gît terre, et sol se tisse K pris corne), et le Lion tient l'axe des équinoxes suivant les signes,
à sacrifier le signe de la Vierge adoubé par la Balance sur le banc ou cheval d'Arçon, représenté par un bich'on mal'tais (beach = plage... de sable, le tapis rectangulaire orange), 
Arcturus (du Bouvier) se situe au-dessus de La Vierge et de la Balance (Arcturus = Arc tu ruses), un décalé pour entrer (un jour) dans l'ère du Verseau (Verse-eau), un autre axe 
ira de la queue du Lion (Denebola) au Scorpion (Antarès) pour un arc zodiacal d'ascendant à fond de ciel dans l'éclipse de référence. Le coffret à bijoux a un couvercle bombé, en forme d'arc
Petit chien (Procyon) en haut côté Licorne et Grand chien (Sirius) côté Lion (petit rauque et grand rauque), et le fou (ou la foune) remplacera l'éléphant dans le jeu de shah mat (d'échecs et mat).

Equinoxes : 2 x 4, Solstices 3 & 5
Observation § 5 :
Linteau de Saint-Génis des Fontaines 1019 (Marbre de Carrare)
+ANNO VIDESIMO  QVARTO RENNANTE ROTBERTO REGE WILIELMVS GRATIA DEI ABA ISTA OPERA FIERI IVSSIT IN ONORE SANCTI GENESII CENOBII QUE VOCANT FONTANAS
 La vingt-quatrième année du règne du roi Robert, Guilhem, abbé par la grâce de Dieu, ordonna de faire cette œuvre en l'honneur de Saint Génis au monastère que l'on appelle des Fontaines
(VIDESIMO pour VICESIMO)
Le "roi Robert" que mentionne le texte est Robert II le Pieux, roi de France, fils de Hugues Capet, qui régna de 996 à 1031, ainsi la vingt-quatrième année de son règne correspond à l'année 1020, donc le linteau a certainement été réalisé en cette année-là (à un ou deux ans près).
Eclipse de Lune au petit matin du 18 Mars 1012,
quelques jours avant le printemps (le 21). (h 6h19, h 6h07 TU)
Plusieurs questions à propos de ce linteau :
- 88 perles au centre dont 8+15+8 = 31 en bas et 57 en haut, et 88 c'est le nombre de jours d'une révolution de Mercure autour de la Terre.
- Les personnages au nombre de 9 sont groupés par 3 (gauche, centre, droite), un 3 et un 9 à rappeler le nombre 39 vu plus haut, et ici les deux personnages les plus à gauche pourraient passer pour les représentations de Mars et Vénus, le troisième pour un personnage lunaire ou du moins représentant la Lune et son cycle de 27,3 jours dit sidéral.
Rappel : Mars, Vénus et Lune ont un dénominateur commun : 39, ceci à propos de leur révolution sidérale respective (Mars : 780/39=20, Vénus : 584/39=15, Lune : 273/39=7)
- Les deux anges du milieu ne sont-ils pas là pour évoquer l'Aigle, qui deviendra plus tard le Scorpion.
- De par les pieds pendant, les trois personnages de droite semblent liés au troisième personnage de gauche, ils pourraient ainsi consister des trois cycles lunaires (synodique au milieu des trois (NL, pq, PL, dq de 29,5 jours) avec son visage bien rond de Pleine Lune , anomalistique du côté gauche (apogée-périgée) ou de l'autre et enfin nodal ou potentiel écliptique de l'axe des noeuds lunaires).
(à suivre...)

Observation § 6 :
Les Sept Archanges Majeurs de l'église orthodoxe :
 Ouriel (« (la) Flamme de Dieu ») aux côtés de Raphaël (« (le) Soin de Dieu » - Tobie 3:17, 12:15), Gabriel (« Homme de Dieu » ou « Puissance de Dieu »), Michaël (« Qui tend vers Dieu »), Sealtiel (« (la) Prière de Dieu » - III Esdras, 5:16), Jéhudiel (« (la) Gloire de Dieu ») et Barachiel (« (la) Bénédiction de Dieu »).
Rênes Lexato doit interroger sur les différentes périodes de l'histoire.

En effet la fin officielle de la période médiévale s'établit officiellement en cette fin du XV° siècle, en 1492.
De même la fin de la période moderne qui suivit est fixée officiellement à la Révolution Française, en 1789.
Il semblerait bien qu'à l'occasion de ces deux clivages des données fondamentales médiévales aient été occultés : 1°) Suite aux grandes découvertes, 2°) Suite au siècle des lumières qui a alluma quelques unes et éteignant certaines.
Rênes Lexato est donc dans un décalage de langage, le sien s'opérant différemment de celui d'aujourd'hui.

- Duc d'Enghien

- Calendrier astronomique
Fourmillement à l'infini du temps qui passe à hui(t) clos


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