1)° L'étrange relation entre la Comtesse de Chambord et Rennes-le-Château :
La Comtesse de Chambord en 1886, née Marie-Thérèse de Modène, princesse royale de Hongrie et de Bohême, veuve du Comte de Chambord. Un couple "BOURBON-HABSBOURG" |
En effet, en Juin 1885 Bérenger SAUNIÈRE arrive à Rennes-le-Château où il vient d'être nommé curé de la paroisse, mais en Octobre de la même année il fait en chaire, au moment de la messe dominicale, un violent prêche anti-républicain. La sanction est immédiate de la part des autorités de la République, tout ceci se passait avant la Loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905, et les relations étaient extrêmement tendues entre la jeune République Française et l'Eglise.
Le traitement de l'Abbé est suspendu...En conséquence il doit donc quitter provisoirement Rennes-le-Château pour devenir répétiteur au séminaire de Narbonne. Ce n’est qu’en Juillet 1886 qu‘il réintégrera sa cure.
Or, il revient à Rennes-le-Château plus riche qu’à son départ puisqu'il est alors en possession d’un don relativement conséquent et dont il est mentionné qu’il a été fait par la Comtesse de CHAMBORD.
Marie-Thérèse d’ESTE-AUTRICHE, devenue Comtesse de CHAMBORD par son mariage était une potentielle reine dans la France de l'époque. Elle était la veuve d’Henri d’Artois, Duc de Bordeaux, Comte de CHAMBORD et seul prétendant légitime au trône de France pour ceux qui étaient partisans du retour de la royauté. Petit-fils du Roi Charles X, il était en effet le dernier des BOURBON. Elle-même appartenait à la famille des HABSBOURG-LORRAINE puisque son père François IV d’Este était le petit-fils de Ferdinand d’ Autriche, lui-même frère de Marie-Antoinette et de Joseph II ( Empereur d’Autriche de 1780 à 1790). Elle était donc l’arrière petite-nièce de la Reine Marie-Antoinette, née Antonia de HABSBOURG-LORRAINE.
Par ailleurs la Comtesse de CHAMBORD était une femme dont l’intense pratique religieuse touchait au mysticisme. A titre d’exemple elle avait fait reconstituer dans son palais de Gorizia une réplique exacte de la grotte de Lourdes afin de pouvoir y prier le plus souvent possible ! L'affaire de la grotte de Massabielle à Lourdes date de 1858, elle était donc récente.
A noter enfin que le don reçu par l'Abbé SAUNIÈRE a été effectué fin 1885 ou début 1886 et que la Comtesse de CHAMBORD est décédée le 25 Mars 1886 à Gorizia ( ou Goritz), dans le château qui lui appartenait, le palais Lantiéri. Cette ville aujourd'hui en Slovénie faisait à l’époque partie de l’empire austro-hongrois des HABSBOURG, au même titre que toute la province du Frioul-Vénétie.
Elle a donc disposé de bien peu de temps pour faire ce don, par ailleurs la distance entre l'Abbé et la Comtesse était considérable tant par l’éloignement que par la différence des conditions, toutefois la réalité et l’origine du versement ne font aucun doute. Le versement de cette somme à un prêtre inconnu de la campagne du Languedoc était-il uniquement une manière d’aider un curé simplement parce qu'il il était royaliste et qu'il avait été sanctionné à ce titre ?
N'y avait-il pas un autre message dans ce don qu'elle réussit à faire peu de temps avant sa mort ? Et surtout à cette époque entre les guerres de 1870 et de 1914. La défaite de Pavie en 1525 et son contexte aurait inauguré une longue inimitié et méfiance des Français envers les Habsbourg (bon gré mal gré quelques mariages qui suivront entre les deux "camps")...
Voir l'Observation § 1 en début des annexes en bas de cette page...
Le donjon d'Arques, flanqué de quatre tours en coins (fin XIII° siècle), et
d'une toiture à quatre pans, peu après la création du Royaume de Majorque...
En 1294 court pontificat du Pape Célestin V, anagramme chiffré de 1492
eux-mêmes anagrammes chiffrés de 1429 (Jeanne d'Arc(ques ?),
peu après le séisme de la Chandeleur en 1428...
1,2,4 : une progression géométrique, 9 : un carré (3²),
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La voie lactée forme un arc dans la voûte céleste, elle démarre dans la constellation de la Licorne entre Sirius et Procyon (grand et petit chiens) à gauche d'Orion dans le ciel nocturne un ensemble bien visible les soirs d'hiver, elle passe par les pieds des Gémeaux et de l'autre côté va rejoindre le zodiaque au Sagittaire, au milieu du ciel en circumpolaire elle passe notamment par Cassiopée en forme de M ou W, et ce invariablement.
Peu avant l'an 1500 et durant l'éclipse de soleil qui précéda le nouvel an il fut repéré que l'axe des solstices en sidéral (constellations) formait exactement une corde à cet arc de la voie lactée.
La tapisserie de la Dame à la Licorne (Alma de Hallali corne ?) date de cette époque.
Vrai que l'on trouverait une faux comme un arc sur les sceaux de Mars et Vénus, voir plus loin, et que cet arc conjoint aux deux va justifier une modification d'un canton ou quartier au donjon de Chambord.
(à suivre...)
3°) Les carrés magiques dans le donjon de Chambord, et leurs dérivés :
Les diagonales et sous-diagonales occupent des cases dont les numéros sont déjà en place, dans le carré de Mercure ou échiquier et explicites du sceau de Mercure (voir §6). Carré de Mercure à 64 cases et son déployé en rectangle de 65 cases via le paradoxe de la diagonale continue, illusoire puisque s'agissant d'un losange (aplati) de cotés 2x5 et 3x8 deux fois, losange figuratif et explicite de cette case... La disposition en 5 x 13 du rectangle (=65) permet d'y inclure au centre le carré de Mars à 5x5 dont la constante est précisément 65 (voir plus loin : carré de Mars) Mais ce déployé à case +1 losangée permet en fait à partir du nombre mercuriel 8 d'obtenir le 13 lunaire (sidéral) et le 5 vénusien (pentagramme) et martien (côté 5) autour du V romain graalesque, le tout (3,5,8,13) cadré dans la séquence de Fibonacci. La diagonale est à la foi(s) une fente et une feinte de losange avec un "i" de différence pour une case fantôme ou fente-home... Le féminin vénusien et lunaire se trouve ainsi évoqué avec le masculin martien insinué dans un contexte initial mercuriel : c'est du freudisme avant l'heure, il est médiéval et pragmatique, expression schématique d'une réalité biologique et culturelle qui produira un marqueur temporel plus élaboré que l'architecture mégalithique originelle * * : la construction de Chambord à la Renaissance. Le PS (Pourpre et Sinople) des obliques et diagonales en héraldique, évoquent l'aine la lettre M, et également une étraVe en navig-ation : émaux = aime eau... comme Gémeaux proche de Emaux. Les 2 obliques forgeant clairement un V avec 2 N dont un inversé. Un 13° signe pour mémoire 0° entre Scorpion et Sagittaire : SerPentaire A noter qu'entre Pourpre et Poupe : 2 "R", deux ères ? Cependant que si le donjon (central) s'inscrit bien dans un carré de Mars de côté 5, le donjon + les tours s'inscrivent dans un carré de côté 7, celui de Vénus, qui laisse d'ailleurs trois cases de "vides" quatre fois, comme quatre barres de T reliés au centre, façon croix de Jérusalem (jeu ruse à l'M du dessin PS au-dessus, et de la croix éponyme ci-dessous ?) Le donjon à 5x5 et ses 4 tours s'insèrent sincèrement dans le carré de Vénus en 7 x7 et laisse apparaître les barres des 4 T la croix de Jérusalem Croix de Ste Madeleine (Mât de l'aine) en statue à RLC ?
Uriel (à droite) sur la Vierge aux rochers de Léonard de Vinci (Louvre),
où il serait question d'une diagonale et de rocs : petit et grand rauque sur échiquier ? Rouge de Mars et Bleu-vert de Vénus.
C'est son genou gauche en rond rouge à droite (je-nous), il est accroupi,
à la façon d'un Our-s. Quatre "personnages, comme sur la tapisserie de la Dame à la Licorne (voir Observation § 4 plus bas). Avec Uriel de Vinci faisait-il allusion à Bùri (comme Buriano) ? Le cas (!) du paradoxe de la diagonale continue suggéré sous le manteau et sur la fresque à RLC |
Carré de Saturne, à relier entre eux et dans l'ordre naturel les neuf chiffres on obtient un sceau avec un losange entre 2 et 8 dans la diagonale. Egalement les nombres pairs dans les coins (comme les tours du donjon de X-en-bord), autour de la case 5 centrale (V romain graalesque, comme le double escalier). Une diagonale liée une première fois au losange, 8 & 2 initialement dans le carré naturel de 7 et 3 (c'est étroit), passant par le V romain au centre, immuable. 8 & 2 à retrouver plus bas avec Oct. 1582 2 & 8 amènent aussi au 28, lunaire et sont ici en symétrie axiale de diagonale 4,5,6... Carré de Saturne aux points remplaçant les chiffres, remarquer la case 8 en bas à gauche, une relation avec Chambord
Le 8, le lemniscate, la bande de Moebius
figure 32 fois à Chambord
Et qu'un 8 ressemble à un 2 de deniers,
sans dénier qu'il ressemble aussi à l'S
de nos pluriels, et que deux S inversés
et superposés forment bien un 8
Carré naturel initial de Saturne : une croix + avec les nombres pair (V romain au centre) une croix en X avec les impairs (V romain au centre également) Double raison d'être du V romain, comme pour créer un losange ou même un contrevair, et un double es-ca-lier central formé de contrevairs évidés au centre ? Un sablier c'est étroit (7 & 3) au centre, ça ressemble à un 8, à un lemniscate debout (deux bouts ?), autant qu'à un diabolo et à la constellation d'Orion, qui reflète si bien le phénomène de la précession des équinoxes. Et qu'en plus il contient du sable... Orion révélateur du mouvement précessionaire (équateur au milieu, hémisphères dessus et dessous) 2 & 8 en feuilles de courges nouées ILPADELT - Marcoussis S de pluriel sans deux nier mais liés dans l'unité. Comme quatrième archange, Uriel « la Lumière de Dieu » est ajouté aux trois archanges nommés pour représenter un des quatre points cardinaux (généralement celui représentant l'été). St Uriel, est-ce un des archanges de Saunière à l'entrée, celui du milieu, visé au-dessus du cartouche BS, entre eau et air (O & R) ? Que d'aucuns parlent du Château de Chambourd ou Chambovrd écrit à l'ancienne, pour ajouter un V graalesque entre O & R ? (Our, en sumérien : urim) X-amb-OR, X-amb-O-V-R Carré de Mercure-échiquier à RLC, intégrant un 3 x 3 de Sat(o)urne, 64 - 9 = 55, soit V & V, et 64 cases, autant que d'hexagrammes du Yi-King en Extrême-Orient... |
Depuis des temps immémoriaux l'humain observe les astres le jour et la nuit et leurs mouvements (ce qui le pousserait peut-être à se poser des questions existentielles ?) et il a pu au fil des temps à force d'observations assidues et répétées dont il a conservé des traces répertorier une échelle hiérarchique de célérité scellée-rituelle de l'astre le plus lent au plus rapide, en vitesse apparente perçue depuis la planète Terre, ainsi :
- Saturne indice 3, - Jupiter indice 4, - Mars indice 5,
- Soleil indice 6, - Vénus indice 7, - Mercure indice 8,
- Lune indice 9,
et d'associer un carré correspondant et respectif à chacun.
Cette notion de vitesse apparente sera reprise similairement bien plus tard (au XVIII°s.) dans une formule de la distance au soleil (équivalente et inverse : plus petite distance = plus grande vitesse) avec la loi de Titius-Bode.
Il s'agit avec ces carrés des prémices et supports d'une approche intellectuelle et pragmatique des astres en répertoriant sur ces schémas des modulations et modifications qui vont pouvoir exalter un ordonnancement et exhausser un répertoire de caractéristiques cycliques et symboliques, les lettres et les chiffres occupant les cases de ces carrés sont eux-mêmes à considérer en hiéroglyphes dans les formes et les valeurs accordées comme l'expression de réalités (les V,A,N,M,T,Z notamment sont édifiants), à toutes fins d'une meilleure approche et de la compréhension du fonctionnement du monde et du cosmos, le tout dans une perspective de technicité, de spiritualité et de pouvoir.
La référence restant alors les cycles respectifs des astres, ainsi que "préconisé" dans ROTAS (roues) du palindrome Sator...
PS : L'invention de l'imprimerie ne date que de la moitié du XIV° siècle.
Il ne faut donc pas trop chercher où est l'effet et où est la cause, les deux peuvent se confondre dans une (divine ?) synchronicité opportuniste, c'est ce que peuvent exprimer les sceaux des carrés planétaires, avec même des objections et interactions entre eux et d'autres concrétudes.
Ainsi le fait est que le 5 romain (V) est au centre du carré de Saturne, que c'est le nombre élevé au carré du carré de Mars tout en étant afférent au pentagramme de Vénus dont la première lettre est V, le 5 romain.
A noter que les 1 et 2 ne sont pas concernés comme échelons, ils ont en effet des caractéristiques d'opérations importantes exigeant là une certaine neutralité, concernant leurs Sommes et leurs Produits respectifs.
Le carré de Saturne a une constante de 15, le quattrocento est le quinzième siècle, 1500 marque le début de la renaissance française, et 1515 date la victoire à Marignan de François 1°, et Saunière dans son église crée des alignements ou des opposés d'un total de 15 pour chacune des stations du chemin de croix arrangées par 2.
Lemniscate orthogonal au résultat octogonal, huit directions et un centre, = 9 points, façon eScarBoucle |
Le carré à 9 cases n'est pas exclusif de l'Occident, en effet en extrême-Orient avait cours le carré Luo-Chou, similaire, qui serait inspiré d'une carapace (ventrale) de tortue :
Ventrale carapace de tortue |
De 64 (où 6 + 4 = X) à 65 (où 6 + 5 = 11) et donjon de X-en-bord : la re(co)nnaissance du X du + des "T" modifiés, mis en bords, implique 1 & 1 comme étant 2 Gémeaux enroulés comme dans le caducée de Mercure ou le double escalier autour du fut central, comme 1 + 1 = 2 et l'imparable unité de 1 x 1 = 1 Gémeaux, pluriel : 1 seul signe, PoissonS aussi, mais celui de la Balance possède 2 plateaux, par... Platon ; (en bout de Cène) Cf : les deux plateaux ? C'est aussi qu'avec le 2 inséré parmi 1& 5 et 3 & 4 (les deux premiers constituant 15 constante de Saturne et les deux autres constituant 34 constante de Jupiter, mais aussi l'évocation du triangle isiaque (Pythagore) pour 3,4,5 à retrouver plus loin), on obtient la tétraktis pythagoricienne posée sur le V romain graalesque. Arbre de vie kabbalistique et tétraktys |
Le svastika, origine indienne : svastika ou swastika, mot sanskrit dérivé de su (« bien ») et de asti (« il est »), ka étant un suffixe adjectival. |
Le svastika c'est aussi un schéma qui évoque la constellation d'Hercule, sauf pour une branche peut-être, et avec une consonance adéquate de précession cette constellation est située juste au-dessus du Serpentaire.
Il faut bien signaler aussi que Louise de Savoie (la mère de François Ier) avait subi l'influence de Cornelius Agrippa, très féru des carrés magiques kabbalistique qu'il ressortait au grand jour à cette époque de la Renaissance Française.
Une autre esprit qui se voulait universel, cosmopolite et chrétien, Guillaume Postel fut également au XVI° siècle le représentant français le plus caractéristique de la kabbale chrétienne.
Ainsi le 8 synthétise très pragmatiquement avec ses deux "ronds" l'alliance de l'écliptique (signes) et de l'équateur céleste (constellations) autant que les hémisphères nord et sud.
Le huit de l'analemme : à Midi aux solstices et aux équinoxes, méridienne de certaines églises, où le sol se tisse d'un huit, comme le sac de la fresque à RLC, cordon en clé de Sol se tisse... |
Salamandre savec la queue en S et en 8 à Chambord. Le "S" du pl-uriel, lequel commence à deux et est aussi
l'initiale de Serpentaire, quant au 8 si c'est d'abord le nombre des côtés du carré de Mercure (8²), c'est aussi l'escarboucle, le lemniscate de l'infini, le sablier, Orion en 8 représentatif du phénomène de précession, l'égalité de deux ronds ou plateaux (zodiacaux) reliés entre eux, soit un 8 très polyvalent de forme...
Vidéos sur Chambord disponibles ici : *******
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4°) L'astrologie, les 4 saisons et plus en corps par le Château de Chambord, le culte solaire et d'édifiantes codifications :
Eau et Air = O & R = OR Poissons à Verseau en ère précessionnelle Les V & A forment un N inversé
PoissonS façon Yin-Yang,
avérés V'éreSaisons, relations jour-nuit en croissance et dominance, signes fixes des saisons Poissons (en in-ver-sés) du zodiaque du Capitole à Toulouse sur croix Occitane et numérotés 1 comme à décliner les ères, la deuxième étant celle du Verse-eau... au moulin ? Voir dans annexe en bas de page : Observation § 2 - L'objection de la précession TÉTRAMORPHE DE L’ÉVANGÉLIAIRE D’AVIGNON, XIème SIÈCLE : Le Taureau de Luc, le Lion de Marc l'Aigle de Jean, l'Homme (-ange) de Matthieu, et l'Aigle de Jean correspond au Scorpion ! : Un modification à justifier aussi celle de la tour nord au donjon de Chambord ? Tour de verre (de vair ou de vert automne-aigle-scorpion) au nord du parc de Saunière à RLC Le Scorpion, autrefois l'Aigle mais une ressemblance avec l'écrevisse (arcane XVIII) (XVIII = XV & III) Une lyre, et sa forme caractéristique en U, les lyres de l'antiquité avaient pour caisse de résonance (en bas) une carapace de tortue
Le lys s'écrivait autre-foi(s) lis,
puis troqua son i contre un y comme dans lyre,
c'était initialement un iris des marais.
Ulysse et guère de trois ? (Terribilis est...) Croix Ânkh Diable, diagonale et corps nus cornus Conculcabis ou coñcul-K-bis Lune, écrevisse, blason et tours, petit et grand chien Procyon et Sirius |
L'esprit (air) et la matière (terre), pommes bleues ? Les A & V (barré) forment un N 17 Jan-v-ier, ocre et bleu sous le V de vert et le V (5 romain) de la quintessence... Trajet du V... à la chair(e) à RLC Quatre signes fixes des saisons quatre évangélistes, la madorle "auréole" du Taureau de chair (et de chaire à RLC) Luc en fond de chair(e) à RLC (à la recherche de son anagramme ?) Tandis qu'au-delà de la diagonale 4,5,6, l'alliance entre le feu et l'eau peut s'accomplir avec 1,2,3 et 7,8,9, de même que celle entre eau et air (O & R), ou feu et terre (cendres) avec les mêmes cônes en icone, et enfin entre air et terre, où les liaisons entre 1 & 3 et 7 & 9 (!) seront envisagées, tout ceci ramenant au losange obtenu diversement... Tétramorphe d'Arles sur Tech, Taureau en bas de la mandorle (terre) et aigle en haut (air mais d'eau, O & R d'Hermès ?), en forme de losange Constellation de la Lyre, essentiellement formée d'un losange irrégulier, gavé du paradoxe de la diagonale continue aux 2 x 2 segments, la forme de la Lyre (constellation) ayant pu influencer la modification effectuée sur le donjon (coin Véga) et l'ajout de l'oratoire à Chambord. L'iris des marais Le K des 4 éléments aux couleurs des saisons et au cadrage 2,3,5,8 pour 2/5 et 3/8, la
proportion 3 à 5 de haut en bas
est conforme à la croix astrale, le
centre décalé étant l'étoile polaire.Remarquer le point vernal, là où pointe le vert, et les inégaux chauds-froids des jours-nuits (référence Tao et Poissons), pourtant que le tarot de Marseille ne contient que peu de vert (vair), en vain ? Case tord, tort ou case d'or et K du C de MerCure ? Un K représentatif également du cas des 3 ordres de l'ancien régime Autre concept de losange céleste |
XXI du tarot (le monde) où l'OR y est de laurier.
Le fou a remplacé l'éléphant dans le jeu d'échecs, il est la seule pièce à avancer en diagonale uniquement, ce qui peut insinuer le losange et un rapprochement avec le mot "foune" sans être fort (fore) de café (en grain) D'Outre-mer...
C'est ce qui est exprimé avec le Bichon maltaiS sur un banc ou cheval d'arçon (alliance Vierge et Balance et coussin or-ange rectangulaire) prêt à être sacrifié par le Lion qui tient (en filigrane)le "poignard" du Bouvier : Arcturus (arc-tu-ruses) au-dessus de Spica (Périgée = péri j'ai ou geai).
C'est ainsi que la demande ou perspective initiale d'une case en plus sur un carré relève de la recherche de la quintessence, essentiellement dans le carré de Mercure où les quatre quartiers sont "pré-équipés" de sous-diagonales, chacun d'eux détenant 16 cases à la façon d'un carré de Jupiter, ces quatre quartiers ou cantons représentent les 4 éléments et au centre de l'ensemble dans une neutralité mercurielle : la quintessence à dévoiler, ce qui sera fait sous forme d'un rectangle de 65 cases à la Fibonacci, à partir des quatre éléments en K (voir schéma plus bas à droite). Noter pour 65 que 6 + 5 = 11, pour un couple, ou encore des Gémeaux qui à chacun son étoile.
A noter que le nombre 65 est aussi la constante du carré de Mars et 64 le nombre de cases du carré de Mercure (ou échiquier). Le carré de Vénus étant à 49 cases (7x7) outre que 4+9=13, et de constante de 175 (17 & V, 17 JAn-V-ier ?).
Pour Vénusien arrimé aquatique et arrivé à quoi tique : l'étang d'art sans gland est le V ?
Le losange sera repris dans le jeu de cartes modernes par le carreau, lui-même en remplacement des deniers (deux nier à ne faire plus qu'un) du jeu de tarot, le tout en référence à l'élément Terre.
Il sera repris aussi dans la notion de contre-vair où chaque extrémité consiste en un demi-losange.
Un losange (régulier) était aussi utilisé entre deux carrés par les astrologues pour établir un horoscope de naissance (au centre était inscrit généralement le nom et la date de naissance) :
Le Scorpion remplace l'Aigle (déchu ?) dans le 8° (!) signe, séparé du 9° (Sagittaire) pour l'entrée vers l'intérieur du zodiaque par le Serpentaire, le O zodiacal devenant alors un...Q (!). Aucun degré sur le zodiaque n'est prévu pour ce 13° signe mentionné pour mémoire, il est en fait hors écliptique.
Pourtant que l'aigle est l'attribut évangélique de Saint-Jean, que l'on retrouve à fêter deux fois par an : celle de la Saint-Jean d'été (24 Juin) et de la Saint-Jean d'hiver (27 Déc), toutes deux très proches des solstices. A noter le rapprochement phonologique entre l'église et l'aigle-lys...
La constellation de l'Aigle jouxte (sous la Lyre) celle du serpent, rien d'étonnant que le serpentaire apparaisse comme le 13° signe, le plus souvent orienté avec Ophiuchus au-dessus du scorpion.
Les modifications accordées à la nomenclature de la voûte céleste pouvant être significativement métaphoriques d'événements historiques. Ainsi le serpentaire (aigle-échassier et mangeur de serpents) suppose que le bec de l'aigle (Altaïr) accepte par-foi(s) un retournement vers le serpent, dans le sens de la précession. C'est le croisement de l'écliptique (en beige) avec l'équateur céleste (en bleu) qui détermine les équinoxes, et les plus grands éloignements les solstices (voir carte plus bas à gauche).
La carte du ciel d'été (des T) qui préfigure la Joconde, où le scorpion est l'accoudoir, et IO devenue une génisse Sceau de Karolus Magnus (Charlemagne) Le cas d'un losange dont une case |
Joug de boeufs, comme pour relier deux zodiaques ensemble, l'un Tropique (signes) et l'autre Sidéral (constellations), TS ou ST comme dans le palindrome SaTor |
Le semeur (sator) sans dévier (arepo) tient compte (tenet) dans son action (opera) des cycles (rotas)
Il s'agit bien sûr des cycles du soleil et de la lune (saisons et lunaisons), donc du temps qui passe et qu'il fait, ceci dans une société agraire, mais aussi des cycles des autres planètes comme repris notamment dans la permaculture...
C'est le christianisme qui a instauré ce concept scientifique et culturel agraire des solstices et équinoxes en instantané sur fond de constellations bien palpables et repérables initialement puis devenues signes comme notions mémorisées en abstraction du fait du décalage de celles-ci dû à la précession.
Villandry, carrés et rectangles de potagers |
Solstices (3&8) et équinoxes (4&4) emplacements réels sur plan de la voûte céleste au début du XXI° siècle (actuellement), où l'on retrouve l'idée des carrés de Jupiter (16) et Mars (25) en bas pour les trapèzes du K ci-dessus, cliquer sur image pour agrandir. Etoile polaire excentrée écliptique 3/5 cause inclinaison pôles. N.B.: Du temps de François 1er l'axe des solstices passait par Véga de la Lyre et partait des Gémeaux en haut, l'axe Sirius-Véga étant envisageable (VerSus) :
Axe des solstices aux XV° et XVI° siècles,
décalage précession : 1° d'écliptique tous les 72 ans, etdepuis l'an 1000 : de l'aigle au serpent et donc serpentaire, c'est ainsi que cet axe formait une corde tendue sur l'arc de la voie lactée partant de la Licorne, passant de suite par les Gémeaux, spécialement par Castor (case tord, sator) puis par la Lyre et jusqu'au S'agite ère, ce qu'exprime la tapisserie de la Dame à la Licorne, le donjon d'Arques date de la fin du XIII° siècle. Noter le décalage de l'étoile polaire (7° environ) Camée : Prince trônant, couronné par deux Victoires, sur fond marron, un adjectif qui ne s'accorde pas au pl'Uriel. Ordre du Camail (ou du Porc-épic, voir plus bas) Camail, Camaïeu, Grisaille, Clair Obscur * |
Carrés et rectangles de Fibonacci, cinquième ligne : 3,5,8 c'est l'étoile polaire excentrée qui impose au zodiaque ces trois nombres : la barre transversale des équinoxes se situe à 3u. du haut et à 5u. du bas sur un axe des solstices de 8u, l'intersection est l'étoile polaire, tout ceci sur une planification de la voûte céleste (comme ici à gauche). Image du haut : au-dessus de la transversale des équinoxes à 2 x 4 la hauteur est de 3, avec une invitation au deux triangles isiaques. (oriflamme de droite Licorne) Licorne (tapisserie), singe anagramme de signe, et zodiaque au-dessus, préconisant l'égalité des signes à gauche et tournant le DOs aux constellations inégales à droite.
Licorne et échecs : Où dans Scorpion et Poissons l'on retrouve PionS et PS
et que l'on Verse eau sur le 3°(absent) qu'enserre de vert l'écru c'est assez :
crabe ou écrevisse, voire homard (l'écru de la Licorne).
La ligne de séparation à quatre cases de chaque côté se situe donc entre
Scorpion et Sagittaire : l'accès au Serpentaire à l'intérieur du zodiaque.
Le décalage des signes se fait à droite (et ouvrant donc le milieu),
la Licorne est le K pris corne et le Verseau (ère) remplace les Poissons.
En fait c'est le reflet de l'axe des solstices aux XV° & XVI° siècles
(voir plus haut à gauche), et du décalage du point vernal à l'équinoxe.
Les 7 arts libéraux (3+4) , Trivium : grammaire, dialectique, rhétorique.Quadrivium : l'arithmétique, la musique, la géométrie, l’astronomie. |
5°) Carré de 5x5, à la foi(s) carré de Mars (à constante 65) mais aussi palindrome Sator...
Kundalini et chakras à Chambord ? |
kuṇḍalinī : serpents et dragons
En Inde, le zodiaque est toujours resté
sidéral, la référence s'effectue aux constellations et non aux signes. |
Escalier double de Chambord, à la fois pour exprimer un mouvement rotatif de précession des équinoxes et faire allusion au caducée de Mercure, mais pas seulement à celui-ci ? Escalier en case centrale 13 du carré de Mars, ou N sur carré sator, si importante ? (vidéos : ***) Le tout influencé par la route de la soie et intégrant la notion hindoue de kuṇḍalinī et ses deux courants qui régissent la vie : prāṇa, et vīrya ? |
6°) Le sceau de Mars (et pas seulement) dans la modification (canton nord) & l'extension (oratoire) autour du donjon :
Le sceau de Mars Deux diagonales divisent le plan en quatre parties, deux sont similaires à une troisième et la quatrième évoque la lame d'une faux ou encore un Arc(ques). C'est du déjà vu ce 3 + 1 dans les pages "couleurs" et "alchimie" de ce blog (les trois états de la matière et les trois couleurs primaires) Feux de Salamandre (S-alma-andre) et faux du sceau de Mars dont la pointe vise le vair de l'automne, à l'inverser en rêve ou pour de v-rai ? Un arc qui se retrouvera dans l'oratoire en coin de tour de la façade des appartements royaux, Feux, V-rai, Vair et Faux... Cet arc d'oratoire en relation avec les sceaux de Mars et de Vénus et avec l'arcane XIII du tarot (13, un nombre lunaire), la façade du château s'en trouvera asymétrique avec cet oratoire enté (!) en coin sur une tour. Le sceau de Vénus présente des similitudes avec celui de Mars : division en quatre parties du plan par deux diagonales dont un secteur affublé d'une faux qui pointe le coin à modifier. Ere des poissons, figuratif Yin-Yang en pertinence de relation d'opposition différentielle du rapport en jeu des croissances jour-nuit dans l'année, et au centre en haut à droite la possibilité du Serpentaire. D'OR à cinq tourteaux de gueules, 2, 2 et 1; en chef un sixième tourteau d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or, ce sixième tourteau reprend les armoiries du Royaume de France, avec l'autorisation de Louis XI pour services rendus à la couronne. Remarquer les deux "8" en bas. Porc-épic, ici couronné, emblème de Louis XII, avec des pointes remontant aussi ici à droite... Devise : QUI S'Y FROTTE S'Y PIQUE Louis XI et l'Ordre de Saint-Michel "IMMENSI TREMOR OCEANI" |
Alors que la construction de Chambord est commencée, François Ier est fait prisonnier début 1525 en Italie suite à sa défaite dans la bataille de Pavie - (François Ier est le troisième souverain français à être capturé sur un champ de bataille) - Le prisonnier royal est embarqué pour l'Espagne, où il sera détenu par Charles Quint pendant un an en attendant le versement d'une rançon par la France et la signature d'un traité (traité de Madrid, 14 janvier 1526) l'engageant à céder ou restituer le duché de Bourgogne et le comté de Charolais, à abandonner la revendication de l'Artois et de la Flandre, enfin à renoncer à ses prétentions sur la péninsule italienne. Libéré, il laisse son épée à Charles Quint, mais ses deux fils aînés âgés de 7 et 6 ans restent détenus en Espagne. Ils seront relâchés en 1530 contre le versement de la rançon.
Donc pendant un an François Ier a eu plus que le temps de réfléchir et de faire le point entre autres sur ses connaissances religieuses, culturelles, et sur Chambord en construction. Ainsi ce serait en revenant de son séjour forcé à Madrid qu'il aurait décidé une modification sur le secteur de la tour nord du donjon.
A moins que pendant son absence d'aucuns se soient penchés sur les modifications à effectuer...
pire aîné ?)
L'arc à droite de chaque sceau de Mars et de Vénus peut faire allusion tant à Arques qu'à Jeanne d'Arc (1429, anagramme chiffré de 1294 (Célestin V) et...1492 plus récent, quatre chiffres intéressants à voir sur le carré de Saturne).
Les sceaux de Mars et de Vénus indiquent clairement tous les deux en bout d'une même diagonale une faux pointant le coin supérieur droit d'un zodiaque tropique (trop-pique) , ce qui expliquerait tout à fait l'idée de fécondation dans le secteur automnal avec le scorpion comme signe fixe, scorpion qui se trouvait être autrefois l'aigle (voir page scorpion de ce blog).
Le secteur automnal comprenant également le clivage entre Scorpion et Sagittaire où pointe entre les deux "S", sans degré et pour mémoire le Serpentaire, ouvrant vers l'intérieur du zodiaque et la coupole céleste en supra-déclinaison de l'écliptique, allant jusqu'en circumpolaire.
Le Serpentaire est par excellence le signe de la Fécondation et de la gestation, c'est entre autres pour cette raison qu'il figure en option ou pour mémoire seulement sur le zodiaque, puisqu'il est inclus-reclus plus vers le centre, tout en ayant une accointance sur l'anneau zodiacal pour mémoire. Il autorise ce calembour : serpe en terre, ce qui pourrait renvoyer aux sceaux de Mars et de Vénus, la serpe ou la faux, tout comme à l'arcane XIII éponyme du tarot, que l'on retrouve après inversion du quartier mentionné avec les T ainsi mis en bords (voir le 3 et son carré 9, 39 un peu plus l'oint).
Précision ; les deux zodiaques, le Tropique des signes et le Sidéral des constellation (S & T, comme St de Saint, mais aussi de SaTor...les idées reçues plein pot au palindrome et dont on ne se plaindrait, se trouvent liés et reliés autour du fût central sous forme de deux escaliers comme le caducée de Mercure.
Les deux côtés d'une fleur de lys peuvent-ils être assimilés aux deux zodiaques (signes et constellation), aux deux escaliers, à deux gémeaux, à deux émaux, dont l'unité serait représentée par le mât central ? Une influence des Médicis à Chambord, le lys rouge ou de gueules ou garance étant le blason de Florence depuis le XI° siècle.
Louis XI, en remerciement aux Médicis, mais trois lys d'or sur fond d'azur, c'était, excusez du peu, le blason du royaume de France... |
Cet ordre du Porc-épic faisait-il allusion à la Maison de Porcellets, si chère à la Provence et à l'Ordre des Antonins (initiales O & A) au Moyen-Age, qui vienne (!) s'établir pas loin du Vercors (Vair-corps ?) et du Dauphiné (Dauphin ?). Difficile à savoir et encore plus à vérifier, cependant que Saunière posera bien un porcelet (façon sanglier ou sang-lier ?) aux pieds de la statue de St Antoine Ermite en son église. Il convient également de se souvenir que le XIV° siècle avait été marqué dans ce secteur par la présence de la papauté en Avignon.
L'ordre de Saint-Michel (qui avait son siège au Mont Saint-Michel) est lui plus explicite quant à ses "relations" au Dragon et à la constellation éponyme qui détient le pôle de l'écliptique et pièce maîtresse de la précession des équinoxes, la Joconde de Léonard de Vinci y étant partie prenante en lecture ornementale avec sa tête et surtout son oeil gauche en qualité de centre de précession (voir le paragraphe §8 plus loin sur ce blog).
La Florence des Médicis aujourd'hui sous le ciel d'Italie. Deux reines de France proviendront de cette Maison, postérieurement à François Ier : Catherine, épouse d'Henri II (1533) et Marie, épouse d'Henri IV (1600) C'est en 1532 que la République florentine deviendra le duché de Florence, et en 1569 le grand-duché de Toscane |
Carré naturel initial à 9 cases comme sur les portables et les claviers |
Déjà le carré naturel à 9 cases dont est issu par modification le carré de Saturne fournit-il une vraie indication sur sa droite par la faux courbée extérieure autour du 6 : 3 et 9, et 3 au carré c'est 9, 3 + 9 c'est 12, un nombre soli-lunaire, celui d'émoi du nombre des mois (synodes), et 3 & 9, c'est aussi...39. Et là ça peut faire tilt :
- 39, c'est 13 x 3, et 13 est un nombre lunaire, celui des tours (!) de Lune complets autour de la Terre en une année, et 3 c'est le nombre du carré de Saturne, des fleurs de lys du blason de France, des anneaux borroméens, autant que celui de la trinité et que le nombre de personnes d'un couple qui accueille un enfant.
- 39 en nombre de semaines c'est la durée d'une gestation dans l'espèce humaine (une semaine = 7 jours, 7 nombre du carré de Vénus). Et 7 x 39 = 273 jours, soit 10 cycles lunaires entiers de 27,3 jours, pour un cycle féminin similaire en régularité communément arrondi à 28 jours en occident (27 ou 3 x 9 en Inde). Le 10, ce X romain, ce X des diagonales des carrés ou mises en fentes et en feintes de paradoxe dans les rectangles, ces X des sceaux de Mars et de Vénus, le X se parerait donc d'une lecture ornementale à ce point bien-fondée tant réaliste de charme et de chair ?
- 39, c'est un diviseur commun intéressant les cycles de... Mars et Vénus !
Mais avant plus de développement, une observation concernant la diagonale 3,5,7 du carré naturel de 9 cases : elle contient à la fois le nombre du carré de Saturne (3²), celui de Mars (5²) et celui de Vénus (7²), outre le fait que le 9 constitue avec cette diagonale un apex, et 9 est le nombre du carré de la Lune, 9² (à remarquer à l'occasion la proximité du mot neuf avec la nef de la navig-ation, soit un neuf sans u, et à l'ancienne sans graalesque v). Autant dire que l'on retrouve dans cet apex les 4 astres cités pour les besoins et besognes du 39, mais qu'en plus une suggestion en cône 6,1,8 fait face à cet apex, laquelle insinue le 1,618 du nombre d'or ou divine proportion (1.61803398875, et où les décimales après le 0 contiennent 39 mais on évitera d'en rajouter de la sorte, d'autant que suivent deux 8). Par contre avec l'apex et 6,8,1 il est possible d'évoquer le fameux artefact composé composté écrit de PAX 681 de RLC. Ce cône 6,1,8 est aussi intéressant à exploiter en 18,6 de la révolution des noeuds lunaires ou potentiel écliptique et en 18 relatif à la notion de Saros. Et ça s'arrose que 39 est par ailleurs le double de 15 (constante du carré de Saturne) auquel on ajoute le carré de 3 (3²) dont le double (de 3) est 6, mais aussi la somme des trois exposants 1,2,3 de 3 (3,9,27 ; 27 étant le cube de 3, trois nombres qui peuvent ramener à 273). Et 39 c'est aussi la somme de cinq nombres premiers consécutifs (3 + 5 + 7 + 11 + 13).
Chambord dans son parc naturel de chasse célébrerait la faculté de l'humain à se caler intellectuellement, voire spirituellement sur les cycles naturels de la création, ce que TENTE d'indiquer et tend aussi à préconiser le palindrome Sator depuis longtemps.
Mars, Vénus et Cupidon |
- La révolution synodique de Mars est de 780 jours (779,94 très exactement), pour un tour complet de la Terre par un observateur situé sur celle-ci.
- La révolution synodique de Vénus est de 584 jours (583,92 très exactement), en toute subjectivité terrestre également.
- Tant et si bien que de diviseur commun à 39 : 780 / 39 = 20 et 584 / 39 = 15, soit un quotient de 20 pour Mars et 15 pour Vénus, avec une différence de 5 (le V romain graalesque) ou d'un quart, quoi de mieux dans le principe de genre pour aborder l'épilogue à justifier la modification d'un quartier de donjon quand il a trait à la saison automne commençant (après le dernier signe d'éTé de la Vierge) par le signe Vénusien de la Balance (aux deux plateaux formant un 8, et signe d'air-R, et V-air Vénus d'air) se prolongeant par le signe Martien du Scorpion (signe fixe de la saison et signe de la sexualité par excellence ouvrant en fin de signe la porte au Serpentaire, et signe d'eau-O) et se terminant par le Sagittaire (s'agite ère et ça gîte ère accessoirement signe de feu), la porte d'entrée du Serpentaire et 13°signe se trouvant pour mémoire entre Scorpion et Sagittaire...
- Sans oublier et déjà vu plus haut avec la Lune que 273 / 39 = 7, soit une semaine (sème aine ?)
Tout ceci ressemble à du Freudisme avant l'heure, soit, mais justement avec un F comme François Ier ou le Feu de la Vie, avec ou sans l'avis d'une s-alam-andre : Vénus de la Balance + Mars du Scorpion (aigle déchu déjà évoqué en §4), et Lune...du Serpentaire et 13° signe.
- Mars indice 780, Vénus indice 584, mais aussi Lune indice 273 autour d'un même nombre 39 composé de deux chiffres dont l'un (3) est élevé au carré (3²) pour obtenir l'autre (9), figurant sur le carré naturel initial de Saturne et évoqués directement par les sceaux de Mars et Vénus. Les cycles de Mars, Vénus, Lune comme trois anneaux borroméens afférents à la sexualité -génitalité ?
(en outre : 780 + 584 + 273 = 1637, année de conception de Louis XIV)
- 20, c'est XX en chiffres romains, et 15 c'est XV, et la différence en V du Vénus-pentagramme* (aux 5cycles de 19 mois tous les 8 ans) qui implique donc 8 ans moins 2 jours (2 & 8 encore et 28 en corps) en V (5) du centre du carré de Saturne et en côté 5 du carré de Mars, et XX couvre un potentiel de 4 éléments en 2 V et 2 lambda (Λ) contre 3 pour XV (VΛV), et qu'il s'agisse donc au manquant du lambda feu qui n'est pas état de la matière et concernant la salamandre, faux et feu, vrai et vair, et où prend tout son sens le mot quartier en quart-tiers et modification d'un quartier-canton du donjon de Chambord et adjonction d'un oratoire. De plus XX + XV = XXXV, 35 et 3 + 5 = 8, ou l'infinie descendance.
Un 35 qui rappellerait par ailleurs le sanskrit Om (inscrit dans Chambord et Chambour ?).
Om en sanskrit à l'allure du 35, et quelque ressemblance formelle avec le sceau de Mars ? |
Et le 39 encore beau... jura mais un peu tare qu'on ne l'y prend dret plus ou qu'on noeud lie prend de raie plus ? Pourtant qu'une faux en filigrane s'incrusterait poussivement à cru c'est assez d'ego sur un tableau de Poussin !
Le XV vénusien ici pouvant rappeler la constante du carré de Saturne (15), et V de différence évoquer le montant à ajouter à la constante 34 du carré de Jupiter pour obtenir 39, la constante 34 (3&4) de Jupiter insinuant une dimension isiaque optimisant le V.
Ainsi Chambord dans son architecture célébrerait-il l'union des deux zodiaques (le Tropique, devenu abstrait longtemps après l'instantané initial mais utile saisonnier de référence et le Sidéral, naturel, palpable, devenu décalé du premier et reconnu comme tel) comme des Gémeaux indissociables dans une unité d'escarboucle à 9 points dont 1 central et sans huis clos pour la plupart, mais également le couple H & F comme élément créateur de vie en corrélation avec les rythmes connus et répertoriés du cosmos à l'époque, le tout en conformité avec les structures occidentales et chrétiennes de la sortie du moyen-âge en fonction de connaissances idoines.
La société agraire célébrait avec des rituels les rythmes qu'elle connaissait et utilisait, l'église les sacralisant comme des bienfaits de la création pour l'humain, ex : Pâques en référence à l'équinoxe de printemps, Noël référent du solstice d'hiver.
Car ainsi fonctionnait le pouvoir royal et religieux, ou même le pouvoir en général depuis l'antiquité : qui contrôlait le temps qui passe en le comprenant avec et par la connaissance des cycles naturels incluant d'abord le rythme des saisons avait la main mise tant sur une programmation agraire optimisée pour des résultats tangibles qu'une influence sur les agissements des humains et notamment celui consistant en la gestation, d'une perspective naturelle et lunaire sexuée éther haut à XIV stations. Aussi bien ordonnancée de concrétude d'esprit et calée sur les cycles naturels comme un ordre des choses à sanctuariser la pensée devenait alors magique, le "ça crée" devenait sacré, et le devin bien anticipé et géré devenait le divin.
Cotylédons de graine en germination, formant un huit ? Cotyle est don, voir la statue de Ste Madeleine à RLC Le K des 4 éléments pour se retrouver "couleur saisons" a pivoté d'un quart à droite, comme une nef en instance d'un feu de Saint-Elme (et une référence à Alma ?) |
Les enluminures des très riches heures du duc de Berry au début du XIV° siècle avaient à la fois valorisé les 12 mois et leurs préoccupations agraires autant que dénoncé le décalage calendaire aux étoiles, le temps n'était plus en conformité avec le schéma de l'espace cosmologique initial. Il fallait donc surtout après les grandes découvertes recaler le temps de référence avec les étoiles utiles à la navigation dans une vaste mise à jour tenant compte du décalage dû à la précession, c'est la nef et le neuf, celui de 1492, le neuf et le n'oeuf.
Ce qui sera effectivement fait en Oct. 1582, voir le paragraphe §8 plus bas.
Emaux obliques en héraldique, gémeaux de nef, de neuf et de n'oeuf (1294, 1429, 1492) Le sable en héraldique, évidence des cases et donc des différents carrés astraux |
A noter que le coin pointé par les deux faux des sceaux concerne le vert de l'eau de l'automne et ce n'est pas une couleur primaire, ce qui pourrait aussi justifier cette modification-inversion-asymétrie concomitamment à un changement de couleur pour un émail. Par ailleurs le coin de départ de la faux concerne le rouge du feu de l'été, et si c'est bien là une couleur primaire, par contre ce n'est pas un des trois états de la matière. Mais ces deux teintes citées de prasine et garance (anagrammo-phonologie à sine-par et gare-anse) dans leur dénomination primitive et agraire sont celles concernant les émaux aux graphiques obliques évoquant le V du graal, et utilisées dans les bâbords et tribords des feux de... navig-ation (anagramme : ?). Et de l'amer à l'amère où un S(i)X tance entre 3 et 9 à la hune du 39 : 369 est la constante du carré de la Lune et la faux comme un croissant de Lune le long de cette verticale, alors Mars, Vénus, Lune, une trilogie pour la mère et la Mer, où le sceau de Mars contient le N avec sa diagonale normative (norme hâtive ?) et le sceau de Vénus induit le N inversé à la diagonale in-ver-sée, les deux en partie supérieure fo-mentant un M... évocation de l'aiNe en deux demi-diagonales posées sur deux jambes, (...TU LE √'AIN CRAS), chaque demi-diagonale issue l'une (!) d'un N et l'au-tre (!) d'un N inversé. Ce qui en calembour après le "Ut est ruse" pourrait donner "Je ruse à l'M ou à l'aime", concernant la forme de l'aiNe sur pieds (dans le genre calembres d'aine).
C'est donc ainsi que les feux de navigation (en mer) se définissent par la négative (intellectuellement ?) mais paradoxalement et naturellement dans une célébration de la création en V d'étrave à partir des deux règnes reconnus de l'Antiquité, animal et végétal (sang et chlorophylle) : le feu de bâbord (de bâton, lequel brûle, ou de bâton de gouverne à l'ancienne, situé à tribord mais tenu à bâbord) comme déjà vu concerne une couleur sans correspondance avec les états de la matière, et que celui de tribord ne concerne pas une couleur primaire cependant qu'elle est aussi additive de deux autres qui le sont (d'où tri-bord), et remplaçant ainsi la troisième couleur primaire à en prendre son nom de sinople dont l'orientation oblique en imprimerie est idoine à former une proue (en V) avec le pourpre. Une trilogie de vert (de vair ?) suggérée directement par le sceau de Vénus évoquant le trident de Neptune dans sa partie supérieure, qui rappelle d'ailleurs la disposition des anges de l'entrée de l'église à RLC au cartouche BS en-dessous (S de Sceau, et Bulla Sigillum, Bulle (pontificale) à Sigillum ?).
Le Bon Symbole ferait passer en contrebande des éléments de l'inconscient vers le conscient dans l'expression de réalités vécues et telles qu'elles ont pu être perçues, alors ne pas se priver des lectures ornementales ou des schémas figuratifs, d'autant que ceux-ci peuvent contenir certains éléments au titre que l'art fut très souvent utilisé à des fins de protection et de dissimulation des informations ou des opinions, voire même plus intrinsèquement : la détention de représentations psychiques universelles, orientées ou non à l'occidentale par exemple.
Les structures de la navig-ation,
avec le sceau de Vénus à la recherched'une trilogie à l'uni-ver-selle ? Bulla Sigillum = Bulle à Sigillum = Bulle à Six (ou assis) gilles hume (ou home) Léda et le Cygne, collection Spiridon Ecole Léonard de Vinci Offices de Florence Sceau de la Lune, quatre phases dont une en haut croissant en U comme sur le sceau de Mars Donjon de Chambord et Oratoire : le coup du trèfle à quatre feuille et la queue, 5 départs du centre, dont la quintessence en plus des 4 éléments sur 4 tours dont une in-ver-sée Alchimie Lune* Hexagone armillaire 1492 : All you need is globe |
Anges de l'entrée à RLCet sceau ou saut de Vénus ou quand la terre se fait éther (au centre) et la faux en-ver-s et en filigrane (à droite) vrai de vair dénudé à minauder (station X à RLC). Rappel : eau (vert) et air (bleu) = O & R = OR, marron = mar & on (-r ou ère) couleur sans pl'Uriel, vairon initialement = bleu et marron vairon = vain & or Los angelos, losanges de Bon secourS, Bain de fourmiS, aBSinthe ? Carré de la Lune, à la constante de 369 et au quatrain (!) central. La laitière de VERMEERaux couleurs des quatre éléments, et seulement bleu et vert pour la table, et devant une fenêtre à carreaux (XVII° siècle) Cependant que 2 verts figurent en manches (!) sous la poitrine et que le vert de la table pointe sans équivoque sous le tablier, ne laissant aucun doute planer pour le vert-vair de Mercure en Mère-cure chez Vermeer. Epi (Spica Virginis), peu ou prou en forme de V, de proue, et... Porc-Epic Alchimie Vénus* Les 64 hexagramme du Yi King (obtenu par combinaisons des 8 trigrammes), il est l'équivalent en extrême-orient du carré de Mercure en Occident |
Et qu'à ce stade avec une couleur d'un coté il conviendrait de trouver pour l'autre côté à trois couleurs fondues en une seule où les deux autres disparaissent éludée par la première un signe qui l'aida (et sans trompette d'Aïda). Le mythe à quoi tique de Léda et le cygne détient la solution adéquate : Zeus prit la forme d'un cygne pour séduire Léda à la faveur de la nuit, selon Homère. De ses amours avec le dieu, elle conçut deux enfants (Hélène et Pollux), qui naquirent dans un œuf, alors que Clytemnestre et Castor, enfants de Tyndare, naquirent dans un autre œuf. Les deux premiers, demi-dieux furent immortels mais pas les seconds, simples humains dont les initiales commencent par un "C" comme celui que l'on retrouve deux fois à gauche de la diagonale Hiver-Eté sur le sceau de Mars, dirigés vers le Printemps en groupé façon haut de coeur ou bas de pique des cartes modernes ou toute autre forme suggestive... à partir d'un 3 dans tous les sens, ou en corps d'un 3 inversé (ε) comme εpsilon, anagramme : Sinople ! De l'εpsilon à la trilogie en dévers, et deux "C" comme initiales de Couleurs (gaude et guède). Un troisième "C" isolé mais orienté de façon différente (ouvert en haut, comme un U, ou une lyre) se trouve en Haut entre Hi-ver et Automne, avec des H comme Hélène et Eau comme automne (au vert (!) de référence). Il semblerait bien qu'il se retrouve sur certains tableaux (de cette page de blog entre autres) comme un attribut alchimique très féminin de ceinture : le U de Utérus (présent en haut des sceaux de la Lune et de Mars (marsupiale), et à retrouver dans l'énigmatique formule ultérieure OUOSVAVV), utérus autorisant le calembour "UT est ruse" (de Lyre), à une époque où la note DO remplacera le UT (de Guido d'Arezzo) dans la période moderne, déjà en cours au XVI° siècle. Par ailleurs Hélène provoque la consonance LN, initiales de Lune Noire, liée aux notions de Périgée et Apogée lunaires (ou grand aXe) dans la révolution lunaire anomalistique, avec une ellipse évoquant par elle-même la forme d'un... oeuf !
Le mythe de Léda était très au goût du jour à la Renaissance tout comme les quatre saisons en peinture et musique le seront un peu plus tard.
(à suivre...)
Quant à la pointe de la faux, ne faut-il pas là y voir le pré-miss-e d'une (phallique) Licorne (qu'a pris corne ?), avec une tapisserie contemporaine du début de la construction de Chambord, autant qu'une référence pythagoricienne isiaque (Mon Seul Désir = 3,4,5 = Aer, Aqua, Terra, où l'AT (athée ?) des deux extrêmes se fondent dans l'Aqua (baptismale ?), 2 A de Au diA bleu Vaut Vert ?), rappelant A&T de Sator comme de Hathor où arraisonné, l'arc de la faux se situe en zone 3,6,9, vert-i-cale saturnienne & de constante lunaire et face à une potentielle diagonale de 5 ? Faut-il (!) donc dans le 3,4,5 isiaque annexer sys-tématiquement un six et un neuf (un ter(r)eau de T'rois de sexe et de n'oeuf), 3x6 = 18, saros et axe nodal ?
ECCE AGNUS DEI : 4,5,3, référence isiaque, inscrite en bonne place à RLC, et sur un bandeau en forme de M.
ScEauX Pêcheur, et n'aut-o-nier de l'arc-he impér-i(s)-sable, ou quand la canne à pêche est ar(c)quée, comme à droite des sceaux de Mars et Vénus... |
(à suivre...)
Où l'on retrouverait les 2 auXiliaires ÊTre et AvOir ? Et si c'était le carré SATOR qui avait déterminé de fond et de forme ces deux auxiliaires ? |
A gauche : conculcabis leonem et draconem A droite en bas : Fennec (feu & nec), renard (rusé) des sables ? De faux à fox ? Le sable en héraldique ayant trait aux carreaux et donc aux carrés. Mali : grande outarde - otis tarda La grande outarde (sans M) est un grand oiseau pie-brun aux pattes puissantes, les mâles sont les plus lourds oiseaux au monde capables de voler. Entre deux cygnes du zodiaque (Scorpion et Sagittaire) : Le Serpentaire Face à Face et effet miroir (mire oire ?) |
De plus il est fait mention du Mali et de l'oiseau O(t)is sur l'illustration de l'Opus davidicuM.
Donc tout ceci peu avant la construction de Chambord.
8°) Chambord préfigurerait entre autres Oct 1582 de la réforme grégorienne :
La Joconde, une carte du ciel des soirs d'été Le rictus de la Joconde est en fait un R'ichtus, une allusion à la relativité sidérale et sidérante de l'Ere des Poissons, à l'éPaulé-jeté alter au fil (!) du temps ? Couronne boréale, Ponte Buriano, Burro Ria : 2 "r" en un "n", pour Buri-ano (anneau) zodiacal, d'Arezzo-dia-cale, Arezzo et Sator. "cuit, il ne lui resta que l'arête" (au gui l'an neuf ?) Comme l'oeil gauche de la Joconde |
- Les très riches heures du Duc de Berry et son calendrier
- Les grandes découvertes et la navigation en général.
Tout ceci amènera au passage du calendrier julien au calendrier grégorien.
- François Ier avait été candidat en 1519 au trône du Saint Empire romain germanique, est-ce pour cette raison que la façade de Chambord est orientée sur un axe Île d'Aix (dia-gonale x) d'un côté, et de l'autre : Fontainebleau, Reims, et...Hambourg ?
Annexes de la page :
Observation § 1 - L'objection ThUlé - Drang nach Osten, et l'hypothèse Hohenzollern :
Blavatsky et compagnie... |
Une phrase bien salée et un cartouche bien sucré,
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- Le G dans la phrase de l'entrée est la 7° lettre de l'alphabet et est ici à la 8° place, qui devrait être tenue par le H.
- Un décrochage de l'encorbellement apparaît pour le milieu de la phrase, isolant 9 lettres au centre : SIGNE TU LE
- A remplacer le G par un hermétique H et en plaçant le H entre T et U ainsi que l'indiquerait le doigt de l'ange, on obtient : SINE THULE (sine = "sans" en latin) et la THULE (-Gesellschaft) était une société secrète apparue officiellement au début du XX° siècle (1918) avec un certain Sebottendorf (un pseudo en fait, qui contient SB et...Tenet) et de plus se revendiquant des Hyperboréens (BS à nouveau). L'aigle est un symbole important dans l'héraldique germanique. Le reste de la phase en place étant : PAR CE VAINCRAS. SINE THULE (SANS (la) THULé) pourrait donc être une indication concernant soit les chevaliers teutoniques soit une évocation-invocation anti-germanique au vu du positionnement de ce diable ailé évoquant un aigle, à moins que ce ne soit improbablement le contraire, cependant que se développait à cette époque le pangermanisme. Cette césure du TU, du UT par un H pouvant indiquer une réminiscence du Drang nach Osten (note DO à remplacer le UT qu'il conviendrait de se remémorer le système de la gamme musicale anglo-saxonne ?). A ce point que l'énigme Saunière pourrait concerner non seulement les codifications templières, et celles du classicisme mais aussi d'autres de l'époque plus contemporaine (BS : Bismarck ?), l'expression latine initiale (IN HOC SIGNO VINCES) sans "LE" dans sa traduction concernant essentiellement une bataille : celle de Milvius. Mais ce H pourrait-il être celui des... Hohenzollern ? (PAR CE SIGNE...et Parsifal ?)
Maison de HohenzoLLern |
Château de Hohenzollern, un parallèle du genre nid d'aigle à établir avec RLC ? |
C'est que dans le contexte de l'époque fin XIX° S, ne peut être éludée la question d'une éventuelle collusion entre Saunière et la maison de Hohenzollern (par sa branche catholique Sigmaringen), en effet celle-ci connaissait à cette période un tournant dans son histoire (N.B. : La Souabe, en allemand Schwaben, toujours le cartouche BS par Sb). Léopold von Hohenzollern-Sigmaringen (1835-1905) fut le chef de cette maison en cette fin XIX° début XX°, et sa candidature au trône d'Espagne avait déclenché la guerre de 1870 entre la France et la Prusse alors qu'un autre de la même branche (Carol 1°) était devenu roi de Roumanie dès 1866. Saunière n'avait-t-il pas eu fin XIX° des contacts avec des pays d'Europe centrale où la famille des Habsbourg régnait sur l'empire d'Autriche-Hongrie ? Les Hohenzollern auraient-ils pour des raisons politico-royalistes joué un rôle dans l'ancestrale querelle Bourbons-Habsbourg en installant une tête de pont vers l'Espagne à Rennes-Le-Château ? Certes ce n'est pas établi mais c'est envisageable, aucune étude n'ayant été effectuée sur le sujet, non plus qu'une interférence entre les Hohenzollern et la Thulé, alors cette nébuleuse de l'Est en restera au stade de supposition mais annotée pour mémoire, comme une aptitude à ne point ignorer dans ce cadre de RLC toute réminiscence du Saint Empire Romain Germanique. A ce stade il convient également de se remémorer les visites d'un certain Jean Orth à Saunière...
Frédéric II de Hohenstaufen |
Frédéric I °dit Barberousse |
En tout état de cause ne peut-être ignorée la maison de Hohenstaufen notamment dans la seconde moitié du XIII° siècle, avec le contexte des luttes entre Guelfes et Gibelins, non plus que l'affaire des Vêpres Siciliennes, l'ensemble marquant l'histoire de l'occident jusqu'au XIX° siècle. Frédéric II fut le premier des Hohenstaufen à porter (entre autres) le titre de Roi de Jérusalem (le 18° du nom) et fit construire le Castel del Monte dans le sud de l'Italie (Royaume de Sicile).
Mais avant cela Frédéric I° Barberousse von HOHENSTAUFEN au XII° siècle avait nommé Herrade de Landsberg abbesse de Hohenburg au sommet du mont Sainte-Odile de 1167 à sa mort, abbesse qui y applique la règle des chanoinesses de saint Augustin. Fille spirituelle de Relinde, l'abbesse à laquelle elle succéda, elle a quarante-six chanoinesses et douze converses à gouverner sous la direction des Prémontrés. Située ainsi au carrefour de la réforme de l'Église et de la tradition impériale, cette moniale, par ses dessins notamment, est un magnifique témoin de son temps. Pour l'instruction de ses religieuses, elle rédigea Le Jardin des délices (Hortus deliciarum, 1159-1175), ouvrage unique en son genre de six cents pages in-folio de citations de la Bible, des Pères anciens, et des auteurs récents de son temps. Ces extraits sont entrecoupés de poèmes et d'hymnes accompagnés de leur notation musicale, ainsi que de trois cent trente-six dessins, qu'on ne connaît plus, depuis la destruction du manuscrit dans l'incendie de Strasbourg en 1870, que par des copies prises au XIXe siècle.
Le couronnement du Pape Célestin V (ou apparaît Barberousse à droite) |
"L'une des thèses les plus répandues et retenues aujourd'hui par l'écrivain Gérard de Sède, qui fut le premier à écrire sur le sujet, est celle d'un document dynastique concernant les Habsbourg et peut-être le Vatican. Un secret gênant qui aurait permis à Saunière de faire chanter la famille impériale autrichienne. A preuve, les visites d'un «Monsieur Guillaume» au fort accent germanique et qui n'aurait été autre que l'archiduc Johann de Habsbourg. Une thèse étayée par l'accusation d'espionnage qui pesa, un temps, sur Saunière, lorsque éclata la Première Guerre mondiale.
La piste Habsbourg connaît des variantes plus délirantes: dans le salon vieillot de la villa Bethania, Henri Buthion, qui possède et habite le domaine Saunière depuis vingt-sept ans, a eu le temps de faire le tour de la question. Ce monsieur très vieille France en arrive à la conclusion suivante (mais pas définitive): ce sont les attributs sacrés du Saint Empire (dont le casque de l'empereur Constantin, pas moins) que l'abbé aurait trouvés dans la crypte de son église. Pas étonnant que les Habsbourg se soient montrés reconnaissants envers le curé."
Castillo de Bellver (Palma de Majorque) XIV° siècle |
L'octogonal Castel Del Monte, sud de l'Italie XIII° S. |
Un rapprochement peut-être fait quant à sa forme avec le Castel de Bellver à Majorque...
Le terme Del Monte est à rapprocher du nom d'une rivière dans le piémont Italien, et qui arrose Borgo San Dalmazzo et Coni dans la province de Cuneo, il en sera parfois question sur ce blog, province traversée donc par la rivière Stura di Demonte et le torrent Gesso. A Coni la vieille ville est bâtie selon un plan en damier (façon échiquier). La ville de Saluces (en italien Saluzzo, en piémontais Salusse) est située dans cette province de Coni...
Peu après la construction de ce Castel et après le décès de Frédéric II de Hohenstaufen eut lieu l'important épisode des Vêpres Siciliennes sous Charles d'Anjou qui induira la croisade d'Aragon...
Et à la fin du XIII° siècle apparaîtra Louis d'Anjoupour le royaume de Naples.
AchTung et à tes souhaits : le T de Thulé ou TU L'Est pas...haS Been ? (par Bianca casse ta flore ? Et poupée de porcel'aine ?) |
Observation § 2 - L'objection de la précession et des ères comme des heurts ou des heures :
Pour indiquer leurre ? Image cliquable pour l'agrandir |
Le croisement des doigts de Marie Madeleine (Marri Mât de l'aine) à Rennes Lexato :
En 6 + 2 = 8 Mercuriel, 3 par 3 à angle droit et 2 auri-cul-aires (ères ?) non-joints laissant apparaître un V intérieur en gris d'échiquier fondu ?) |
Observation § 4 :
Observation § 5 :
Plusieurs questions à propos de ce linteau :
- 88 perles au centre dont 8+15+8 = 31 en bas et 57 en haut, et 88 c'est le nombre de jours d'une révolution de Mercure autour de la Terre.
- Les personnages au nombre de 9 sont groupés par 3 (gauche, centre, droite), un 3 et un 9 à rappeler le nombre 39 vu plus haut, et ici les deux personnages les plus à gauche pourraient passer pour les représentations de Mars et Vénus, le troisième pour un personnage lunaire ou du moins représentant la Lune et son cycle de 27,3 jours dit sidéral.
Rappel : Mars, Vénus et Lune ont un dénominateur commun : 39, ceci à propos de leur révolution sidérale respective (Mars : 780/39=20, Vénus : 584/39=15, Lune : 273/39=7)
- Les deux anges du milieu ne sont-ils pas là pour évoquer l'Aigle, qui deviendra plus tard le Scorpion.
- De par les pieds pendant, les trois personnages de droite semblent liés au troisième personnage de gauche, ils pourraient ainsi consister des trois cycles lunaires (synodique au milieu des trois (NL, pq, PL, dq de 29,5 jours) avec son visage bien rond de Pleine Lune , anomalistique du côté gauche (apogée-périgée) ou de l'autre et enfin nodal ou potentiel écliptique de l'axe des noeuds lunaires).
(à suivre...)
Observation § 6 :
En effet la fin officielle de la période médiévale s'établit officiellement en cette fin du XV° siècle, en 1492.
De même la fin de la période moderne qui suivit est fixée officiellement à la Révolution Française, en 1789.
Il semblerait bien qu'à l'occasion de ces deux clivages des données fondamentales médiévales aient été occultés : 1°) Suite aux grandes découvertes, 2°) Suite au siècle des lumières qui a alluma quelques unes et éteignant certaines.
Rênes Lexato est donc dans un décalage de langage, le sien s'opérant différemment de celui d'aujourd'hui.
- Duc d'Enghien
- Calendrier astronomique
Observation § 5 :
Eclipse de Lune au petit matin du 18 Mars 1012, quelques jours avant le printemps (le 21). (h 6h19, h 6h07 TU) |
- 88 perles au centre dont 8+15+8 = 31 en bas et 57 en haut, et 88 c'est le nombre de jours d'une révolution de Mercure autour de la Terre.
- Les personnages au nombre de 9 sont groupés par 3 (gauche, centre, droite), un 3 et un 9 à rappeler le nombre 39 vu plus haut, et ici les deux personnages les plus à gauche pourraient passer pour les représentations de Mars et Vénus, le troisième pour un personnage lunaire ou du moins représentant la Lune et son cycle de 27,3 jours dit sidéral.
Rappel : Mars, Vénus et Lune ont un dénominateur commun : 39, ceci à propos de leur révolution sidérale respective (Mars : 780/39=20, Vénus : 584/39=15, Lune : 273/39=7)
- Les deux anges du milieu ne sont-ils pas là pour évoquer l'Aigle, qui deviendra plus tard le Scorpion.
- De par les pieds pendant, les trois personnages de droite semblent liés au troisième personnage de gauche, ils pourraient ainsi consister des trois cycles lunaires (synodique au milieu des trois (NL, pq, PL, dq de 29,5 jours) avec son visage bien rond de Pleine Lune , anomalistique du côté gauche (apogée-périgée) ou de l'autre et enfin nodal ou potentiel écliptique de l'axe des noeuds lunaires).
(à suivre...)
Observation § 6 :
En effet la fin officielle de la période médiévale s'établit officiellement en cette fin du XV° siècle, en 1492.
De même la fin de la période moderne qui suivit est fixée officiellement à la Révolution Française, en 1789.
Il semblerait bien qu'à l'occasion de ces deux clivages des données fondamentales médiévales aient été occultés : 1°) Suite aux grandes découvertes, 2°) Suite au siècle des lumières qui a alluma quelques unes et éteignant certaines.
Rênes Lexato est donc dans un décalage de langage, le sien s'opérant différemment de celui d'aujourd'hui.
- Duc d'Enghien
- Calendrier astronomique
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