Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire de l'occident se concentrent en ce lieu (et concernent entre autres les grands alentours...)
titre cliquable
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Gerber d'Aurillac, Pape Sylvestre II |
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3,4,5 : Que firent-ils en douce ? |
Déchiffrant lettres :
XI+XII+XIII+XIV=L
(dito cinquante), 2x
L =
C, mais aussi "formellement" : T ? comme
CLé ?
XI=11 ? :
"à l'onze en fans de la pâtre île-yeux..." , (
chanson ?
de
bergère ? et
anachronisme ?)
Jeu repart à Zéro (autre chans
0n ?)
La Bergère et Le Gerber, nous y voilà ?
Gerber d'
Aurillac...pas de quoi veau mire,
C
hant
-al ? mais s'agissant de
Saler
s au bon air de la
gamme, ça vaut de l'or roux ?
Mais en lieu et place de IV et V : introduire le 4 et le 5, n'était-ce pas là impliquer
de facto J
upi
ter et Sa
turne, en pair d'office ceints d'esprit leur symbole respectif ?
C'était aussi l'occasion de passer IV et N, et V (chiffre) et V (lettre) dans le registre de l'ambiguïté ésotérique, d'autant qu'appartenant à la suite pythagoricienne 3,4,5.
A contrario pour 4 et 5,
somme et
produit : 4+5=
9, et 4x5=
20, deux "maldonnes" phonétiques conçues à partir de symboles astrologiques pour l'église de Rome ? parce que pouvant contenir des éléments ainsi mis au grand jour ?
Et si cela avait été volontaire par Sylvestre II d'
agir tel quel à propos d'un nouveau millénaire ? et tout ceci
re
nié par la suite au cours des siècles à venir ?
La réflexion du Baron : Pour éviter toute contusion entre lettres et chiffres romains, il fallait une 2° codification...celle qui entretiendra la confusion ensuite ?