* L'angle droit sur le bassin, le point de rendez-vous de chaque bout superposé de la corde à treize noeuds (et donc douze intervales formant triangle pythagoricien, également exprimable en 6²+8²=10²) relate les treize tours de Terre que la Lune effectue en l'année, chaque tour étant un cycle sidéral ou période orbitale de 28 jours (la constellation de Cassiopée ici en éclairage ? Revoir le post du 21/02/12).
* Autour du bassin : sont suggérées les notions d'Apogée et Périgée lunaire (et en toutes directions et discrétion), étrange rapprochement à faire avec le mot Pape ? C'est le cycle anomalistique.
* Le bassin et motifs autour permettent aussi d'insérer à la fois la notion de "saisons lunaires" (quatre en 28 jours), et une autre différente : la lunaison du cycle synodique de 29,5 jours (12 par an : NL, PQ, PL, DQ), cette dernière valorisée par la jonction à l'angle supérieur droit implanté au calvaire (solaire ?), en effet c'est à l'époque du christianisme qu'ont été officiellement "déconnectés" les signes des constellations, et en valorisant le duodénaire tropique ou saisonnier (revoir le tableau de La Cène).
* Le bassin est relié (par Isis) à l'angle supérieur gauche au centre du parc, lui-même excentré* de l'axe bas-haut serre-tour (blanc-rouge ?) constituant axe des noeuds lunaires ou potentiel écliptique (*et pour cause : éclipses de soleil ou de lune non pas à chaque lunaison, mais possibles 2 fois chacune dans l'année), l'arc du belvédère tient alors lieu (entre autres) d'écliptique, et les deux escaliers qui y mènent ont 22 marches au total soit 11 marches chacun (11° lettre : K, le V : 22°). C'est le cycle draconitique.
A noter que les deux angles extérieurs à celui du bassin sont reliés entre eux par l'hypothénuse...
Prague-mat-isthme ? |
Chiffrage d'angles intéressant ? (8,6,1,3,5,7) |
Ainsi le Domaine de Saunière traduirait les origines et les rouages lunaires de l'astrologie, en effet, c'est bien dans le ciel nocturne que sont visibles Lune et groupes d'étoiles (les Constellations), et le clivage en plusieurs parties (trois essentiellement) indique les différentes possibilités cycliques de la Lune, mais avec des nuances : leur collusion individuelle avec le Soleil, bi-en explicite sur un mode différencié en chaque angle, lesquels reliés par la corde à 12 intervalles forment triangle rectangle de référence collective au registre unificateur et planificateur, un triangle non-statique puisque destiné à une géométrie variable, tout ceci n'étant pas exhaustif d'autres éléments interprétatifs...
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