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Le Bain Turc, par Ingres, une composition similaire au tableau des bergers de Poussin ? |
Le tableau de Ré-férence cité ? et violon-scelle-iste ? |
Le Luth et Son Archer en paume : l'espoir de mots arts enjoués sous l'ajout : à cordes tirées à quatre épingles. |
Vers 1630, Pierre Trichet écrit, dans son Traité des instruments de musique que « les violons sont principalement destinés aux danses, bals, ballets, mascarades, sérénades, aubades, fêtes et tous passe-temps joyeux, ayant été jugés plus appropriés à ces genres de passe-temps que tout autre instrument ». L'avis de Trichet n'est pas isolé au début du XVIIe siècle : à ses débuts, le violon est considéré comme criard et juste bon à faire danser. De fait, la France du XVIIe recherche plus les sonorités intimistes propres à l'expression individuelle que les effets spectaculaires des virtuoses et le son brillant du violon. Cependant, il a déjà commencé sa conquête du monde musical en Italie dès les années 1600. Sous l'influence de premiers virtuoses tels que Balthasar de Beaujoyeux, à la tête du groupe de violons italiens emmenés du Piémont en 1555 par Charles Ier de Cossé, la famille des violons connaît un succès croissant qui va l'amener à supplanter progressivement la viole de gambe . Dans Circé ou le ballet comique de la reine (à l'origine, balet comique de la Royne), dont la production globale avait été confiée à Beaujoyeux, se trouvent deux séries de danses instrumentales qui sont spécifiquement destinées à être jouées par des violons. Le texte et la musique en sont publiés en 1582, formant ainsi la première partition jamais imprimée pour le violon. L'établissement du violon en France se poursuit avec la création en 1626 des Vingt-quatre Violons du Roi, et surtout grâce à l'influence du compositeur et violoniste italien Jean-Baptiste Lully (1632 - 1687), qui, prenant la tête de La Petite Bande en 1653, la fait progresser jusqu'à la mettre en concurrence avec les Vingt-quatre Violons. (Source : Wikipédia)
La réflexion du Baron :
Si la vie au long cours est tran-quille, en luth et l'archer devrait retenir l'attention quelque syllabe dans ce contexte audois co-assant croissant croassant ?
Le violon est dur à jouer, agréable à entendre, déjà qu'il a des "ouïes" et en plus s'il devait parler...(lol)
RépondreSupprimerSerions-nous au coeur du sujet...musical ?
@+
-ouïes ..ouïes ..!!!( rires )...
RépondreSupprimer@+ Anonyme
Comme les Poissons !
RépondreSupprimerCarpe diem !
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Ne pas imaginer pour autant que le violon, ça crin-crin...
RépondreSupprimerQuoique, en cherchant bien...
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