Septante arrangé 4 x 10 + (8 & 7) x 2 quinconces Serpentaire n'est Ibis au damier becqué, pas plus que Pie, ni Aigle, ni Paon, ni E-tour-n-eau |
Jean de Montagu (ou Montaigu), surintendant du Roi Charles VI (fin XIV°, début XV°)
Quinconce (quincunx), par 5 ou V aux dés...
à la somme de sept des deux côtés opposés
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Bas du tableau é-pié de cour-on-ne-ment de Célestin V au solide so-cle au pied leVé ... |
Que PRemier ne soit Dernier, est-Ce là l'essentiel du pinacle au dais plumé ?
CELESTIN V et SERPENTAIRE, anagramme Penta-Sérier : Si l'av-enture tient en delta pli pour ilpadelt au secret-taire que le rouage derrière la tête en ton censuré dé-pend et dé-peint en é-tour-die couronne ?
Le séjour de Jean de Montagu en Avignon (suite à l'incident de Charles VI au Mans) et d'où il aurait ramené sa devise ILPADELT, reste très étonnant dès lors qu'il se situe en pleine époque du Grand Schisme d’Occident...
Ce qui laisserait à penser que ses armoiries, devises et annexes soient en fait une reprise d'un secret pontifical exprimé de façon différenciée à Rome, et destiné à une programmation figurative et explicite en français à partir de traces capturées au passage de la papauté en Avignon dans l'axe ouvert Rhin-Rhône et reconnu officiellement pendant plus de septante ans...
Ainsi le tableau du couronnement de Célestin V (daté du XVI° siècle) peut-il, en deça et au delà de ce XIV° siècle qui aura vu les papes défiler en Avignon, évoquer à la fois ses deux périodes extrêmes millésimées centenaires : 1°) vers 1300 avec peu avant : Célestin V, et peu après : la chute des Templiers et 2°) vers 1400 avec Jean de Montagu et ses péripéties, et peut-il devant tous ces éléments relater des sous-entendus et spécialement concernant les Templiers et un RouX-sillon qui les concernerait plus que tout autre endroit sur Terre ?
Stations XIII et XIV à RLC dé-voilant cubages d'infos à ces sujets, et ascèses où-à-ille-s ? Ressemblance Montagu-Antugnac (différence Mona-c ou coma N) ?
Mais au XIII° siècle, ce féerique ainé 4⁄3×π×R3 dragon reléguant à son puîné un simple apanage, voire pire si vert de rage a-t-il pu réduire en cendres une clause templière tacitement incluse dans le traité de Corbeil sur la création (et pour cause ?) du royaume de Majorque et fortement anticipée par son prédécesseur ?
La réflexion du Baron :
Les deux fleurs de LyS en bas du tableau de Célestin V pourraient bien représenter sur le dallAGe vu comme des touches de clavier et entre les armoiries de Montagu, les notes A & G ou La & Sol (comme dans GAlamus ?), et les sept touches sur le sol et sous le socle (5 blanches et 2 noires) de Si à Fa évoquant l'ordre des altérations bas-haut ou bien d'un pas-sage de gamme mineure à celle majeure ? Ici donc le Sol fait Jeu égal-ement MontAGu dé-tient (aussi) ut ?
Et les touches Do-Ré-Mi (avec les altérations) sous le socle peuvent-ils faire allusion ou illusion au DoMréMy de Jeanne d'Arc, laquelle se produira peu après Montaigu, et avec Charles VII au XV° siècle où s'immisçant la guerre civile entre Armagnacs et BourguignonS à soulAGer, une palette de pas si lisse besogne ?
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