PAR CE SIGNE TU LE √'AIN-CRAS...

C'est par cette phrase encrée et bien ancrée en coin si dense que l'église de l'abbé Saunière accueille ses visiteurs.

Quatre anges en losange à l'angle d'entrée de l'église,
et autant d'éléments platoniciens Air (bleu), Eau (vert)
Terre (ocre) Feu (blanc ou rouge et suivant l'alchimie :
albedo ou rubedo, Cf. IGNE), avec cette
notoire essentialité du  tétramorphe : 
le Taureau de Luc (Chair, terre), du Lion de Marc
 (Feu), de l'Aigle de Matthieu (Eau, vert) et de l'Ange
de Jean (Air, bleu). A rapprocher bien sûr
de l'arcane XXI du tarot de Marseille : Le Monde,
et évidement des quatre signes fixes du zodiaque,
respectivement : Taureau, Lion, Scorpion, Verseau.
L'air et L'eau, aux deux articles zélés Hermétistes
apostrophant des chiens de faïence de biblioTHèque ?
E & A de Eau et Air, tout comme Etre et Avoir, 
mais aussi comme Echange et Alliance ?
Et l'idée du N à inverser avec les plis des vêtements :
N comme Neutre, ou Nigredo à dénigrer Nid-R-ego ?
Et si à ne se h-âte-r SauNière Voulait désigner
par LE : le N ou la haiNe (ou encore l'aiNe) ?
PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS :
le G à la verticale (l'avertie cale ?) du Genou droit,
le U à la verticale du genoU gauche,
le T au-dessus du O du cartOuche BS,
 tandis que l'ange en vert semble désigner la fresque,
et la station IX (n'Oeuf ?)  l'ensemble des quatre
 anges composant la constellation du Cygne 
se situant au-dessus de celle de l'Aigle ?

Sceau de Mercure

(et disposition des 4 anges)

Ne manque plus en-dessous que

le feu de la S-alam-andre pour

l'alchimie...

L'a√'ertie qualité (!), façon sapin de Noël ? ou
une autre perception (orientée) des saisons ?

Le Pech de Bugarach et les 4 anges ?

Les BessonS, par Bérenger Saunière,
ou BormanuS (feu & terre) ?
Un code : B-est-sud-sud-ouest-nord-S ?
BS = 2° + 19° (lettres) = XXI, et deux
salAmAndres (ou BasilicS ?) reliés par la queue
avec une pomme de conifère, l'ensemble de
connivence comme le bas d'une ancre au-dessus
du bénitier, avec le rouge d'un feu grégeois ?
Dans le DO-UT-e à BS tiens-toi(t) ?
RENNES LE CHÂTEAU... ou
RENNES LE CHA(H)UT EA (Eau-Air) ?
Au Do(u)ble Vaut vert =
Au W, C'est au vert ?

Le Démon porte Le Monde, près de la porte,
et le bénitier tel une corbeille de vendangeur
ou une nasse accrue tassée au cyan-hure en
dépôt de Poséidon pour quelque form-idable
Bain de fourmiS (d'aile aine de Troie) ?
Et qu'en fourre hure : Bleu vaut Vair ?
ET DE COURBE(T) L'ECHINE ?
Ut quiescat Atlas ? Gê = Gaïa
L'acide formique aurait-il une odeur si acre
que l'ass y gale et là four mis ? (4-1 d'Ables)

Dal(le) ma(r)tiens de faïence ou de faille anse ?

Deneb est un est sommets du triangle d'été...
Cependant qu'il est possible d'admettre une
forme de gémellité aviaire entre le Cygne et
l'Aigle (initiales CA, comme...K)
C'est en Deneb que la voie lactée se sépare
en deux, laissant une branche dériver vers le
Serpentaire (13° signe, au-dessus du Scorpion)
entre la Lyre et le Cygne, tandis que l'Aigle
sera traversé par l'autre branche qui mène
entre Sagittaire et Scorpion, c'est à dire sur
le zodiaque d'où la voie lactée est partie
depuis les pieds des Gémeaux.

Constellation de Cassiopée, et sa forme
en M ou W, la "poitrine" de la voie lactée,
possède aussi une étoile Ruchba(h),
comme le Cygne.
Cassiopée, le trône de la voie lactée...

Le tétramorphe de l'abbaye
d'Arles sur Tech (66)

Le cygne navré
et la Reine Cl'aude ?
Gé = Oie en Gaélique irlandais

LE MONDE et LE DEMON
(anagramme) entrée de l'église de RLC
Béni-tier(s) : paradoxale parade d'eau sale ?
Trident et tridacne...

Gémeaux et diagonale d'Orion.
Remarquer la voie lactée de Licorne
à Cocher passant sous les pieds des
Gémeaux.

Fresque et Bugarach

Croisements rose et bleu su la voûte devant

la fresque, ou la pertinence de relation
d'opposition différentielle Masculin-Féminin...

Urbi & Orbi ?

BlaSon de l'Anjou (Ter y bi lys ?)
En joug, enjoue...Feu(nouil),
Louis IX ,  Blanche de CaStille ?
Ter y bi-lys locus iste...amoenus ?

Cri d'Orfraie, d'or frais ou d'or fraye ?
OR = consonance Eau et Air, comme les
deux initiales d'auxiliaires : Etre et Avoir !

Stump(s) and Bails (Cricket)
Spigot and Groove : M rôde ?
Et in arcadia groove & spigot ?

Aphrodite sur son cygne

CRUCESIGNATUS*

PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS

U = Le Graal ?

Dalí, moustache en lemniscate (en biais),
une affaire de Gémeaux ?

Je te présente : Roberts le pieu, sauf que(ue)
le pieu il est plus bas dans cette météo en
tempé-rature sous tifs..

La Joconde en vin ou en vain te dit : Attache ta tuque
par l'oire en TrENTE secondes ou plus en mine hutte,
toi qui ouvre la boîte de paon d'or ès-trémas durs à
cette ovoïde mise en Saine Badinerie (lazzo-mania)
de pourpre, en vin mais pas en vain ?

Bleu ∩ Rouge, cap violet ou pourpre

Bleu ∩ Jaune, cap vert ou green

Vair, vair de green, vert, (couleur de Vénus), 

verre, ver, vers, envers, avers, revers

(et en verve : sinople ?)

C'était hier, dont ici un
 m'Aude ailes à la mode 
d'aujourd'hui(t) et
qu'indiciblement...
au dia bleu vaut verre
en transe pas rance ?

Plusieurs questions alors se posent dès cette entrée (hantée) en coin et sans aucune garantie d'un synopsis
de grande prestance, ouvertement à enrober d'une certaine parcimonie :

1°) - Que désigne ce LE rajouté dans la version de traduction habituelle et constante d'une expression latine assez connue ?
2°) - De quel signe s'agit-il ? De l'un des douze ou du treizième signe du zodiaque, à cela rien d'égouttant ?
3°) - P au début et S à la fin de la phrase, pour quelle signification ? Ou cela relève-t-il d'un hasard bien rangé, laconique ou comique ?
4°) - Le TU fait il référence à la note UT ou à t(o)ut autre klaxon taxé du doute ?
5°) - A,R,C au début (pAR Ce) et à la fin (vainCRAs) car d'où part-il d'un quart d'entier cercle ici en biais ?
6°) - Pourquoi le cartouche avec ce formid'Able(s) BS juste en-dessous, et désigné au doigt de l'ange Au-dessus ?

Synopsis ouvert au sinople, 22 feuilles de lierre, autant de lettres dans la citation :
PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS (PAR.SI.N VAI.R et Perceval)
OU LA FAIRE D'INCONSTANT SINOPLE EN CARENCE, 
par sin pole :
PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS :
REGNE VAIR (lettres placées dans l'ordre) ou
VERT GREEN (4+5=9) & CAP SITU LANCES (3+4+6=13)
Cap Jaune ∩ Bleu = Vert  PQRSTU (16° à  21° lettr., V  = 22°)
(vert étant la couleur de l'élément "eau", consonance O)

Le Cygne de croix, constellation du cygne
dite "croix du nord".

Léda "spiridon' et le cygne, Florence

Sceau de Mercure, 2 + 2 = 2 x 2 = 4,
ou l'ordonnancement préfabriqué
d'un carré magique par les diagonales
et les sous-diagonales.

Lettre Shin,
un peu comme le trident de Neptune
ou un wicket au cricket...

Neptune Poséidon et le trident
(Posé "i" don ?)
A rapprocher du triomphe de Galatée

By Kenzo

Gémeaux en 2 x 2, et Gé-mot de j'ai,
jeu de carte du gille avec deux cartes
de même figure et de même point. Le
jais est aussi un gemme noir brillant
(Pays d'Olmes).

TREIZE OR TRES ORES DE SAUNIERE,
et complot en compote des complaintes endormies au dormant de la porte :

Diables de diamants
"pas de diamants
avant midi", comme
le diable éponyme ?
Crésus et paf ! :
l'agonie ?

Dès l'entrée, en coin laconique au dormant de la porte de l'église, Saunière canarde les visiteurs avec un losange de quatre anges affublés de cette insigne allusion à la foi(s) à la constellation du cygne en forme de croix et au cygne associé de connivence au mythe poétique de Léda avec sa fameuse quaternité maternelle ovipare : Hélène et Pollux, Clytemnestre et Castor issus d'un père ordinaire et légitime pour les deux premiers (F & H) et d'un dieu (Zeus) pour les deux autres (H & F) qualifiés alors de demi-dieux. Avec ce tétramorphe nouvelle version angélique de Saunière il devient déjà aisé d'effectuer un rapprochement avec les quatre éléments platoniciens à deux ordinaires (Fém. & Masc.) et deux plus élaborés (Masc. et Fém.), et en pratique : La Terre, Le Feu, L'eau, L'air, ces deux derniers aux apostrophes (appeaux strophes ?) d'une fluidité fugace de la noétique (l'anneau éthique ?).
Un rapprochement visuel avec l'arcane XXI du tarot s'impose comme une évidence à suggérer la solution : LE MONDE, d'autant que la phrase PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS avec ses 22 lettres semble inviter à se connecter sur les 22 arcanes, et plus en-dessous LE MONDE exulte son anagramme en verlan : LE DEMON, Asmodée regardant au sol la case tort ou tord tout en laissant supposer qu'il pousse un stupéfiant cri d'orfraie (d'or frais ? friguloté en voix de fausset ?), le tout dans un évident manichéisme afférent à la stèle du haut en bas. L & E sont les 13° et 14° lettres de la phrase et dans l'alphabet il s'agit des M & N, comme dans LE MoNde (reste alors ode, parade doxa (le)? et de lemon un zest ?). Ceci est important dans la mesure où l'on admet que I et J étaient autrefois confondus en une seule lettre, ce qui permettait l'insérer l'alphabet dans une carré à 25 cases, celui du carré SATOR..., où le N occupait la case 13 centrale du carré magique de Mars.
Encore que pour les réponses précédentes à LE, il est possible d'y rajouter subsidiairement LEDA aidant à introduire le diable ou toute autre notion à propos de da (deneb-albireo ou deneb-altaïr, Hadès,(Ecce) Agnus Dei...) ou de dia (adiabatisme). Léda a comme anagramme, du moins phonologique : Dalle, et l'ange le plus haut est d'un blanc fort. Quant à Hélène, on la retrouve à Troie autant qu'à prononcer la fin de ce nom concernant RLC : Marie-Madeleine.

Quant au V si l'on s'en réfère à sa prononciation "vé", la phrase pourrait se traduire de cette façon : PAR CE SIGNE TU LEVé AIN CRAS. Ce V qui se retrouve dans le Vous voué au vouvoiement. Et le "ous" pouvant évoquer les fameux 7 pluriels en oux ? De même qu'un U levé (en V) peut devenir un Y ?
(Soudain un cri d'orfraie ?)

En outre, LE MONDE & LE DEMON ont cette particularité s'insérer OD pour l'un (OD comme Aude) et son inverse DO pour l'autre (comme la note de musique remplaçant le UT...inverse lui-même du TU de la phrase écrite, sans oublier cette expression latine : DO UT DES, DO UT FACIAS, FACIO UT DES, FACTO UT FACIAS et un rappel de OD comme étant les initiales de : Opus Davidicum). Pas de DOUTe que DO ait remplacé UT en portée, mais pas en clé de solfège (sol fait jeu, en DO à UT ? Et la voyelle de chaque note comme un clin d'oeil provocant au Duo Urbi et Orbi : Terribilis est locus iste, et autre nomenclature adossée à l'Aude hissée ?). Le UT pouvant faire allusion à la constellation du Bouvier avec ARCTURUS (arc tu ruses ?), lequel bouvier est BooteS en latin, satisfaisant (entre autres) le cartouche BS et les 2 "ARC" des début et fin de la phrase écrite au dessus du bénitier (béni-tiers ?). Le château de Monségur reprend la forme de cette constellation du Bouvier. Les deux "o" de Bootes rappellent les Gémeaux mais aussi le 8 allongé, la lemniscate : ∞, la superposition des deux rappelle le sceau de Mercure (voir la page sur les carrés) et la disposition des mains droites des 4 anges.
A noter le centre symétrique de la phrase (11 lettres de chaque côté) entre le U et le T, or K est la 11° lettre et le 11° des douze travaux d'Hercule concerne AtlaS le Banni, via Héraclès au jardin des Hespérides. Outre le fait que TU relève du tutoiement...et accessoirement de l'envoûtant (?) verbe tuer ainsi que du diatonique ut queant.
Enfin dans la phrase en question il est à noter les quatre lettres IGNE, mot initiant l'expression "Igne Natura Renovatur Integra" (où l'on retrouve d'ailleurs deux fois "tu" comme dans "Ut queant" pour "ut") en corrélation avec les alchimiques rubedo et albedo (du cartouche BS et de l'ange du haut). Mais à amputer la phrase de Igne, il resterait au début PAR CE S, auquel il suffirait de raccorder LE (situé plus loin), pour presque obtenir le nom de Paracelse, qui était à la fois chrétien et alchimiste à la renaissance.

Signe et Shin à faire courber l'échine (à Asmodée) ?
A remplacer le G de SIGNE par un H aidé d'une inversion avec le I tout en évinçant le E, on obtient la lettre hébraïque shin, ce qui pourrait être assez banal si ce diable d'Asmodée n'avait pas tenu dans sa main droite (à dia) le trident de Neptune (aujourd'hui disparu) que cette lettre peut évoquer, autant qu'une fourchette à tajine ?
Encore qu'à juste superposer un H (qu'est naze dans la phrase initiale) sur le G, ce H à coiffer d'un DO et surmontant AA permettrait d'établir un sceau, un sigle avec G au centre et à six pointes en D,S,A,A,E,O. La phrase s'inscrit alors dans un poisson situé...au-dessus du bénitier.

Rictus pour un étrange Ichtus : le H Hermétique et Hermétiste constitué des 7 premières lettres du mot
diagonaLE se forme sur un N inversé faisant double emploi avec le premier N traversé, reste à inverser L et N
pour obtenir : PAR CE SIGLE TU NE VAINCRAS. Remarquer P & S exclus de la forme du poisson.
Diantre ! Un ESTURGEON ? DIA qu'AGÔN nie.
Un poisson diadrome est un poisson vivant alternativement en eau de mer et en eau douce (grec: 'dia', entre).

- La croix du Cygne et les croix des Gémeaux :
Déjà dès l'entrée il est possible de deviner l'importance accordée aux Gémeaux (chacun en croix dans leur constellation, une forme en croix que la constellation du cygne initie) : La référence à Léda, les dioscures, Monde et Démon en anagramme, Aude (OD) et DO (Dokein au calembour Do qu'est un (signe ?...des Gémeaux), Dokéo, au calembour Do qu'est haut), et puis pour confirmer s'insèrent sous la phrase deux salamandres (ou BasilicS...sur une base idyllique ?) autour du cartouche BS et reliées par la queue (cauda -> Aude ?), voire même jusqu'au cas de la 11° lettre au deux unités identiques et côte à côte de ce nombre symétrique. Ainsi la notion de gémellité et donc de double (do-bleu) permet-elle d'établir des similitudes ou des antagonismes comme ci-dessus mais aussi des pertinences de relation d'opposition différentielle : Monde angélique et Démon (ici dans le cadre d'une anagramme), masculin-féminin (Léda 2x2), temporel-spirituel (pouvoirs), transparent-opaque, aérien-souterrain (tour & serre à RLC), Je (singulier) - Nous (pluriel), ou toute autre antonymie, pouvant même aller jusqu'au principe de polarité et autres ambiguïtés de dualités jusqu'à... l'ambigramme ? A noter que la diagonale d'Orion pointe la direction des Gémeaux dans le ciel nocturne (et dans cette même constellation d'Orion, se retrouvent dans un alignement  plus vertical : Saïph & Bellatrix).

B & S = 13 et...5 ou 8 ? (et 5 + 8 = 13)
Diantre, un formidable nable...en BiaiS,
cependant que 5 et 8 renvoient directement
à Vénus dont les 5 boucles en 8 ans
constituent son pentagramme bien connu,
le 13 étant lié à la Lune, et en outre
8 est aussi Mercuriel et 5 a l'air Martien,
une quinte flush affligée comme une
basique cible à fléchette(s) à lentille ?
Bleu - Saignant, cette BlesSure ?
Big mouth billy basS
A Wicket consists of  3 Stumps & 2 Bails
cricket des bergers, LN 2-3 ?
Sinopia et inopinée Sanguine...

Constellation des Gémeaux (en quatrain ?)
avec des formes particulières en croix ?
En prolongement de la diagonale d'Orion et
comme des sirènes à ne pas écarter l'épate,
eux qui marchent sur la voie lactée...

AtlaS le Banni supporte Le Monde
(BS & le) REX MUNDI ?

Constellation du Cygne, en forme de croix :
Deneb (Queue du cygne, en haut)
Albireo (Tête du cygne, en bas)
Ruchba (le Genou du cygne), mais une
consonance si proche de...Bugarach

Un aigle ne possède pas de griffes
mais des serres, du même nom qu'un
village pas très loin de RLC, que dessert
le Rialsesse, un affluent de la Salz.

Scorpion, aigle déchu où le bec est
remplacé par le dard (sur la queue) et les
serres par les pinces (proches de la tête).

 Aigle au sol, Rome Basilica
di Santa Maria in Ara coeli

Fascinante et lancinante station XIV
à RLC, qui justifie ici par les BotteS 
l'hypothèse BooteS (Bouvier) pour BS ?

Deux lutins : Bug & Arach, 
un peu comme deux jumeaux ?
Deux faces du Bugarach, 
l'une Est et l'autre Nord-Ouest, 
chacune avec son sommet.

Castor et Pollux, les dioscures,
au Capitole à Rome

Deux chérubins...

Lyre, Vega, Vautour

Athéna et sa flûte à deux bois de cerf
(aulos)

Le Lys, tel les 4 anges de l'entrée ?

Fleur d'Ulysse ?

Roberts Le Pieu ?

L'ODyssée d'Ulysse ? 

Lemniscate et Ouroboros

Val vert ou Vauvert...

Callistemon ou Rince bouteille

Porc-épic et ramonage ?

Cette importance de l'idée des Gémeaux est confirmée par le cartouche (quart touche ?) BS puisqu'en effet un mot ancien (obsolète ?) désigne des jumeaux, il s'agit de BessonS. BS pourrait être un véritable plomB de Scellé en faveur de la notion de gémellité.
De plus Saunière nous inviterait-il avec B & S (ses initiales) à un calcul ? En effet les lettres BS d'enluminure donnent 13 pour B et 5 ou 8 pour S, et ce sont trois nombres de la suite de Fibonacci, qui pourraient constituer une date : 1358. Dommage que ce ne soit pas 1258, qui permettrait de relater le traité de Corbeil juste au-dessus de cette corbeille (et coquillage) qu'est le bénitier, mais Saunière a tout prévu puisque sur le fond le rubedo rouge du feu nous y aide à capter aussi le rouge du sang, le rouge du sans, sans le 100 à pressentir et évoquer la date invoquée 1358 - 100 = 1258 ! (une date réductible à 358, du registre de Fibonacci). Or ce traiTé a beaucoup de sens dans cette région, au point que peu de temps après ce fut l'émergence du donjon d'Arques. (NB : L est la 12° lettre, E est la 5° lettre, une coïncidence ? Et le 8 d'évoquer la constellation des Gémeaux ?). 1,3,5,8 sont bien les chiffres disposés en X en bas à gauche dans le carré de Saturne.
Par Ce...(début de la phrase) désignerait Pollux et Castor, les Gémeaux, et accessoirement Dioscures du Capitole à Rome ?
55 est un nombre de la suite de Fibonacci, à la suite de 34 et 21 et dont il est la somme de ces deux nombres aux 4 chiffres de la tétraktys pythagoricienne, et 55 est également un doublon du 5, un nombre symétrique qui peut insinuer la notion de gémellité.
Cependant que la disposition agencée des anges sur le cartouche BS, directement en relation avec les notions de terre et feu au vertical fait nécessairement penser à l'évocation de BormanuS, d'où est issu le royal nom de la maison de "Bourbon", avec une légère référence thermale faite à Rennes-les-Bains, non loin de RLC, puisque entre les sommets le sous-sol de la région s'y commet.
Egalement puisque Léda a été évoquée pour les anges en haut, il ne peut être passé sous silence Ladon (SerPent aux 100 têtes) pour le diable en dessous, qui permettrait de justifier les S & P de fin et début de la phrase qui nous intéresse, Ladon ayant trait de plus aux PommeS d'or. Enfin les noms de Ladon & Léda permettraient à Saunière d'évoquer le nom de Fenolheda concernant la géographie au sud du Pech de Bugarach, mais n'est-ce-point aller trop...l'oint ?
A noter que B & S sont respectivement les 2° et 19° lettres de l'alphabet et qu'à ce titre il est possible de rechercher les arcanes correspondants : II La Papesse (ou Isis) avec un chiffre 2 à conforter la gémellité, et XIX Le Soleil qui brille au-dessus de gémeaux, quant à leur somme de 21 (2+19), ce serait une référence de plus en faveur de l'arcane XXI du jeu de tarot.

Monde et Démon, Cygne et Aigle :

LE MONDE & LE DEMON ont tous les deux avec leurs lettres le don d'évoquer le feu de Saint-ELME (avec le calembour associé : "elle aime" ?)...
- MONDE & DEMON, il s'agirait bien de verlan...de vert l'an, de verre lent ? Le vert (eau) et le verre (vase) seraient à valoriser ?  Et ce verlan entre le haut et le bas ne ferait-il pas penser à un ambigramme ?
L'envers resterait aussi à découvrir avec les constellations du Cygne et de l'Aigle (aux initiales C & A, CA = K ?) toujours dans la légende de l'aigle déchu ? Cependant que les 5 lettres de MONDE ou DEMON se retrouvent présents dans un autre terme : mandorle, où les lettres r,a,l sembleraient en reste sauf à leur adjoindre les A & G par exemple de la gamme (des lettres) anglo-saxonne pour obtenir le mot Graal, à moins que ce ne soit les A & G de Agnus Dei ? Toutefois il est possible de relier des deux AG au travers d'un calembour : AG nus de "i", et pourrait donc être une allusion au deux notes Si et Mi, qui privées de leur "i" à produire deux lettres que Saunière place en clé d'une voûte de son église :

SiMilitude des gammes ? Salvator Mundi ?

Encore qu'une gémellité entre les deux gammes (celle des Lettres et celle des Notes) est plausible, s'agissant finalement des mêmes sons, mais avec décalage de La à Do, deux notes à réintroduire...Ladon, le gardien des pommes d'or ? (et dont le mot mandorle contient les 5 lettres, autant que les deux notes do & la mais plus évidentes encore dans mandorla). Cette gémellité entre les deux gammes pourrait être intéressante dans la mesure où le mot gamme est assez proche du mot gémeaux, et contient en outre deux "m" à introduire Mercure et Mars dont les carrés dits magiques sont à considérer (cf. page paradoxe), à noter aussi le mot anglais game avec ce jeu d'anagramme : game + eux (et non oeufs...de Léda ?) = Gémeaux.

Les Gémeaux sur une sphère armillaire au musée du Vatican

Au Do(u)ble V.aut vert, le W de Cassiopée en toute ambivalence ? Comme 2 + 2 = 4 = 2 x 2 = 2² ?
22 arcanes majeurs dans le tarot de Mar(c)eille...

- Les croix du Cygne et de l'Aigle : Saunière dès l'entrée avec le Monde et son anagramme façon verlan le Démon empilés l'un sur l'autre provoque une allusion aux constellations du Cygne et de l'Aigle et  invite à Lyre la phrase encrée et ancrée sur cette stèle de l'entrée comme une musique de fond à RLC. D'autant que le triangle d'été avec Véga, Altaïr, DEneb évoque clairement le début cette expression : "VADE RETRO, SATANAS"et dont les deux dernières lettres sont identiques à celles de la phrase écrite, tandis qu'une flèche (d'Hercule, d'Orion ou mieux : de Cupidon ? In hoc signo vinces) sépare les deux becs aviaires, comme l'adiabatisme du ciblé cartouche BS sépare l'angélique Cygne du diabolique Aigle et comme la diagonale d'Orion prolongée séparerait les Gémeaux.
Pourtant c'est l'Aigle pour le Scorpion sur l'arcane XXI (ainsi que l'Ange-homme pour le Verseau) : L'aigle a été remplacé par le Scorpion sur le zodiaque comme étant l'aigle déchu, le scorpion devant redevenir à la fois aigle et colombe (le symbole du processus de sublimation de la force sexuelle ?), sans doute cette légende plus ou moins biblique constitue-t-elle une métaphore-paraphrase apte à suggérer toutes la problématique intellectuelle, affective et charnelle de la sexualité humaine se revendiquant hors la condition animale initiale mais relatant nombre de ses tabous dans la chute de l'homme, à qui Saunière fit bonne assise de toutes ces données empiriques ancestrales alimentant de leurs mythiques ou mystiques friandises le registre Freudien dont l'atypique topique novatrice commençait à poindre à cette époque...
Ce que Saunière ne se priva point d'évoquer sur la fresque, à toutes fins UTiles à défaut d'être UTérines et entérinées :

Sexy frasques sur la fresque de RLC ? Voir la page concernée...

Extrait fresque de RLC : Deux corps nus (cornus ?) les jambes tournées

côté village (vil-âge?) et séparés par un...vil à joie (le personnage), ou

encore vit la joie, vis la joie ou vie la joie ? Un vrai rébus (raie buse?).
En robe ère le pieu, avec en ruine le château de Val Vert ?
Thaumaturgie et trauma d'orgie :  

DIABLE : deux a(i)mants sur la fresque de l'église...

Saunière était un curé comme ceux de son époque qui devait expliquer à la population de son village que le mariage en qualité de sacrement religieux (et comme institution au civil) était cadré dans la société, qu'une jeune fille devait conserver sa virginité jusqu'au mariage (si possible), ainsi combien de couples ont été constitués et contraints au mariage de force après qu'une jeune femme soit « tombée » enceinte à l'époque ? Il n'y avait pas de contraception comme aujourd'hui ni de loi sur l'IVG. Le curé de la fin du XIX° s. était le garant de l'ordre sociétal par la pression morale. C'est précisément ce qui rend RLC actuel, très actuel, mais par différentiation !

Ainsi le discours imagé de Saunière dans son église serait-il très sexué, voire génital au dessein envisageable du paradigme de la Vierge à l'enfant, ce que semble confirmer essentiellement l'analyse de la fresque entre autres nomenclatures, à suivre sur une future page destinée à la fresque...

La Voie Lactée en haut à gauche passe par Cassiopée avant de se
diviser en deux en queue du Cygne (Deneb) : une branche limitée
va vers Ophiuchus via le Serpent, et l'autre rejoint le zodiaque
en passant par l'Aigle et le Scorpion via le dessus du Sagittaire.
Deux voies : l'une pour LE VAIN, l'autre pour LEVAIN (cras) ?
LN 2-3 et le zodiaque est incliné de 23° (et demi)...

N.B. : - Le Scorpion autorise ce calembour : Scorpion = ce corps pion, outre le fait qu'il est également possible de lui rattacher deux mots : score & pion. Et l'ange en vert semble désigner la fresque où deux directions semblent s'opposer de chaque côté de la montagne centrale (du Bugarach)...
- Cygne et Aigle : deux croix presque superposées (mais inversées), Gémeaux : deux croix côte à côte.
- "Vain...cras" en fin de phrase, cras = demain (deux mains ?) comme dans procrastination...
- Sublimation, un mot approprié dès lors qu'est abordé le cartouche BS comme un possible adiabatisme, dont la consonance ressemble fortement à baptismaux.
- Mais sans Rennes-Le-Château nier, reste la question des BogueS du châtaignier (dont un lien avec le Scorpion ? Et qui contiennent "ego", et u ou mieux, à l'ancienne : v)

Sceau de Robert Le Pieux

« Au milieu, autour du trône, quatre vivants, ayant des yeux innombrables en avant et en arrière. Le premier vivant ressemble à un lion, le deuxième vivant ressemble à un jeune taureau, le troisième vivant a comme un visage d'homme, le quatrième vivant ressemble à un aigle en plein vol. Les quatre vivants ont chacun six ailes, avec des yeux innombrables tout autour et au-dedans.» (Ap 4, 6-8)
Les quatre évangélistes associés aux quatre éléments et aux quatre signes fixes du zodiaque, en relation avec les quatre gardiennes du ciel de l'antiquité et accessoirement la correspondance avec le tarot, le tétramorphe en bonne place sous la coupole dans la Basilique Saint-Pierre de Rome au Vatican :

Saint Luc - Elément Terre - Taureau -
Aldébaran - Deniers (au tarot)

Saint Marc - Elément Feu - Lion -
Régulus - Bâtons (au tarot)

Saint Matthieu - Elément Air - Verseau
 (ange-homme) - Fomalhaut - Epées

Saint Jean - Elément Eau - Scorpion
(ou aigle déchu) - Antarès - Coupes

Inscriptions sur base obélisque
Place Saint-Pierre Rome

Saint-Pierre de Rome

Observation § 1 - L'objection ThUlé - Drang nach Osten, et l'hypothèse Hohenzollern :

Blavatsky et compagnie...

Une phrase bien salée et un cartouche bien sucré,

BriceletS / brise les à mare (du bénitier) ?

L'adiaBatiSme de BormanuS
et des BasilicS façon rinceaux
ou salamandres d'Alma-sandres...

Il est difficile de passer sous silence le spiritisme ambiant de la seconde moitié du XIX° siècle, époque de Saunière. Et la phrase du début tend la perche suivante (outre "TU LE" invitant à THULE, posé comme une tuile signalée) :
- Le G dans la phrase de l'entrée est la 7° lettre de l'alphabet et est ici à la 8° place, qui devrait être tenue par le H.
- Un décrochage de l'encorbellement apparaît pour le milieu de la phrase, isolant 9 lettres au centre : SIGNE TU LE
- A remplacer le G par un hermétique H et en plaçant le H entre T et U ainsi que l'indiquerait le doigt de l'ange, on obtient : SINE THULE (sine = "sans" en latin) et la THULE (-Gesellschaft) était une société secrète apparue officiellement au début du XX° siècle (1918) avec un certain Sebottendorf (un pseudo en fait, qui contient SB et...Tenet) et de plus se revendiquant des Hyperboréens (BS à nouveau). L'aigle est un symbole important dans l'héraldique germanique. Le reste de la phase en place étant : PAR CE VAINCRAS. SINE THULE (SANS (la) THULé) pourrait donc être une indication concernant soit les chevaliers teutoniques soit une évocation-invocation anti-germanique au vu du positionnement de ce diable ailé évoquant un aigle, à moins que ce ne soit improbablement le contraire, cependant que se développait à cette époque le pangermanisme. Cette césure du TU, du UT par un H pouvant indiquer une réminiscence du Drang nach Osten (note DO à remplacer le UT qu'il conviendrait de se remémorer le système de la gamme musicale anglo-saxonne ?). A ce point que l'énigme Saunière pourrait concerner non seulement les codifications templières, et celles du classicisme mais aussi d'autres de l'époque plus contemporaine (BS : Bismarck ?), l'expression latine initiale (IN HOC SIGNO VINCES) sans "LE" dans sa traduction concernant essentiellement une bataille : celle de Milvius. Mais ce H pourrait-il être celui des... Hohenzollern ? (PAR CE SIGNE...et Parsifal ?)

Maison de HohenzoLLern

Château de Hohenzollern,
un parallèle du genre nid d'aigle à établir avec RLC ?

C'est que dans le contexte de l'époque fin XIX° S, ne peut être éludée la question d'une éventuelle collusion entre Saunière et la maison de Hohenzollern (par sa branche catholique Sigmaringen), en effet celle-ci connaissait à cette période un tournant dans son histoire (N.B. : La Souabe, en allemand Schwaben, toujours le cartouche BS par Sb). Léopold von Hohenzollern-Sigmaringen (1835-1905) fut le chef de cette maison en cette fin XIX° début XX°, et sa candidature au trône d'Espagne avait déclenché la guerre de 1870 entre la France et la Prusse alors qu'un autre de la même branche (Carol 1°) était devenu roi de Roumanie dès 1866. Saunière n'avait-t-il pas eu fin XIX° des contacts avec des pays d'Europe centrale où la famille des Habsbourg régnait sur l'empire d'Autriche-Hongrie ? Les Hohenzollern auraient-ils pour des raisons politico-royalistes joué un rôle dans l'ancestrale querelle Bourbons-Habsbourg en installant une tête de pont vers l'Espagne à Rennes-Le-Château ? Certes ce n'est pas établi mais c'est envisageable, aucune étude n'ayant été effectuée sur le sujet, non plus qu'une interférence entre les Hohenzollern et la Thulé, alors cette nébuleuse de l'Est en restera au stade de supposition mais annotée pour mémoire, comme une aptitude à ne point ignorer dans ce cadre de RLC toute réminiscence du Saint Empire Romain Germanique.

Frédéric II de Hohenstaufen

Frédéric I °dit Barberousse

"Kommt her zu mir alle, die ihr mühselig und beladen seid !"

En tout état de cause ne peut-être ignorée la maison de Hohenstaufen notamment dans la seconde moitié du XIII° siècle, avec le contexte des luttes entre Guelfes et Gibelins, non plus que l'affaire des Vêpres Siciliennes, l'ensemble marquant l'histoire de l'occident jusqu'au XIX° siècle. Frédéric II fut le premier des Hohenstaufen à porter (entre autres) le titre de Roi de Jérusalem (le 18° du nom) et fit construire le Castel del Monte dans le sud de l'Italie (Royaume de Sicile).

Mais avant cela Frédéric I° Barberousse von HOHENSTAUFEN au XII° siècle avait nommé  Herrade de Landsberg abbesse de Hohenburg au sommet du mont Sainte-Odile de 1167 à sa mort, abbesse qui y applique la règle des chanoinesses de saint Augustin. Fille spirituelle de Relinde, l'abbesse à laquelle elle succéda, elle a quarante-six chanoinesses et douze converses à gouverner sous la direction des Prémontrés. Située ainsi au carrefour de la réforme de l'Église et de la tradition impériale, cette moniale, par ses dessins notamment, est un magnifique témoin de son temps. Pour l'instruction de ses religieuses, elle rédigea Le Jardin des délices (Hortus deliciarum, 1159-1175), ouvrage unique en son genre de six cents pages in-folio de citations de la Bible, des Pères anciens, et des auteurs récents de son temps. Ces extraits sont entrecoupés de poèmes et d'hymnes accompagnés de leur notation musicale, ainsi que de trois cent trente-six dessins, qu'on ne connaît plus, depuis la destruction du manuscrit dans l'incendie de Strasbourg en 1870, que par des copies prises au XIXe siècle.

Le couronnement du Pape Célestin V (ou apparaît Barberousse à droite)

Extrait d'un article pondu par l'Express à propos de l'affaire de Rennes-Le-Château :

"L'une des thèses les plus répandues et retenues aujourd'hui par l'écrivain Gérard de Sède, qui fut le premier à écrire sur le sujet, est celle d'un document dynastique concernant les Habsbourg et peut-être le Vatican. Un secret gênant qui aurait permis à Saunière de faire chanter la famille impériale autrichienne. A preuve, les visites d'un «Monsieur Guillaume» au fort accent germanique et qui n'aurait été autre que l'archiduc Johann de Habsbourg. Une thèse étayée par l'accusation d'espionnage qui pesa, un temps, sur Saunière, lorsque éclata la Première Guerre mondiale.

La piste Habsbourg connaît des variantes plus délirantes: dans le salon vieillot de la villa Bethania, Henri Buthion, qui possède et habite le domaine Saunière depuis vingt-sept ans, a eu le temps de faire le tour de la question. Ce monsieur très vieille France en arrive à la conclusion suivante (mais pas définitive): ce sont les attributs sacrés du Saint Empire (dont le casque de l'empereur Constantin, pas moins) que l'abbé aurait trouvés dans la crypte de son église. Pas étonnant que les Habsbourg se soient montrés reconnaissants envers le curé."

Castillo de Bellver (Palma de Majorque) XIV° siècle

L'octogonal Castel Del Monte, sud de l'Italie XIII° S.

C'est ainsi qu'il convient de se tourner vers un monument italien inédit et mystérieux construit au XIII° siècle par l'Empereur du Saint Empire, Frédéric II de Hohenstaufen : Le Castel Del Monte (qui contient D & M).
Un rapprochement peut-être fait quant à sa forme avec le Castel de Bellver à Majorque...
Le terme Del Monte est à rapprocher du nom d'une rivière dans le piémont Italien, et qui arrose Borgo San Dalmazzo et Coni dans la province de Cuneo, il en sera parfois question sur ce blog, province traversée donc par la rivière Stura di Demonte et le torrent Gesso. A Coni la vieille ville est bâtie selon un plan en damier (façon échiquier). La ville de Saluces (en italien Saluzzo, en piémontais Salusse) est située dans cette province de Coni...
Peu après la construction de ce Castel et après le décès de Frédéric II de Hohenstaufen eut lieu l'important épisode des Vêpres Siciliennes sous Charles d'Anjou qui induira la croisade d'Aragon...
Et à la fin du XIII° siècle apparaîtra Louis d'Anjou pour le royaume de Naples.

Tea for two, et porcelaine de Bavière ?

AchTung et à tes souhaits : le T de Thulé ou TU L'Est pas...haS Been ? 
(par Bianca casse ta flore ?  Et poupée de porcel'aine ?)

 

Observation § 2 - Les BogueS du châtaignier, et des influences slaves ? :

Bogue de châtaignier, s'éclate en quatre à maturité
en libérant trois akènes.

Vassilissa Mikoulichna
Polyanitsa ou polenitsa Bogatyr

Koulitch, gâteau de la Pâque orthodoxe aux noix et aux raisins

BogueS : voilà un mot qui commence par B et se termine par S et qui contient "ego" (intéressant pour insinuer "et in arcadia ego" cher à Saunière), reste le "u" pour évoquer le V latin, symbole de la coupe et du chiffre 5 romain concernant à la fois Vénus pour son pentagramme et Mars pour son carré. Une bogue de châtaignier éclatée libère trois akènes, deux plus grosses épaulant une plus petite au centre. Le mot akène n'étant pas innocent puisque outre ses deux consonnes notoires et connues à RLC il ouvre la porte directement à Akhenaton (et Osiris) .
De bogue(s) à bogatyr, comme une attirance dans la consonance qui mène à polyanitsa ou polenitsa, des mots eux-mêmes proches tant de Poliphile (fin du XV° siècle) que du mot pollen. Cette fin du XIX° siècle début XX°, époque de Saunière laissait-elle augurer de la révolution russe, hormis le fait français de la perspective laïque de 1905 ? Le cartouche rouge des BolcheviqueS à RLC perché sur un bol, celui du bénitier, Raspoutine n'étant pas loin : PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS  (manque le O) ?

Observation § 3 - De la pomme de pin pomme d'eau fine aux pommes bleues dès l'entrée :

Gemmage du Pin et hapchot en forme de col de cygne

Coeur épique, façon chute de l'homme ou de reins ?

Pommes bleues (turquoise) et oranges (hors anges)
soulevées sous le V au 17 Janvier de chaque année,
en défilement sur le mur nord de l'église, passant
sous Germaine, Antoine et jusqu'à la Chaire (de Luc)
le 17 (XVII) renvoie à l'étoile du tarot, mais aussi à une
superstition italienne de cette anagramme XVII=VIXI.
3 oranges & 4 bleues, leur secret pythagoricien :
Trivium & Quadrivium (pouvoirs Langue et Nombres) 
(4 x 13) & (3 x 12) = V-2-3-6 = 5236, 17 x 3 sans 8 =43,
or 5  = 2 + 3 & 2 x 3 = 6, et 65 le cheval deux trois au
nec pluribus impar ou nec plus ultra (3-4-5 lettres) ?

Coupe d'un pin gemmé et cicatrisé, une fois abattu

Ordre du Bridge : Trèfle - Carreau - Coeur - Pique
Pique = Epées = Air, Coeur = Coupes = Eau
Carreau = Deniers = Terre, Trèfles = Bâtons = Feu,

L'R et L'O : auréolés (OR éole ?), appeaux-strophant
deux fonctions présumées plus pointues chez l'humain
et déjà insinuées dans le mythe des enfants de Léda :
la pensée (air) et le sentiment (eau) parmi les quatre,
la phrase du début commence par P et se termine par S.

Tenet en croix, ça tord les couleurs, c'est KoNu,
ostensiblement pas terNe austère, mais
où l'on retrouve O (eau) et R (air) sans or-angé
et l'N miXé en diadème...

Pomme de pin ou de conifère sous les salAmAndres,
BS, à la foi(s) plomB de Scellé et diadèMe,
et Mandorle à l'étage supérieur ?

Après avoir évoqué les Gémeaux, ainsi que semble y inviter Saunière et si justement d'y rendre compte dans le choeur derrière l'autel avec 2 enfants (à voir par la suite dans la page statuaire), il est des mots proches du mot Gémeaux, tel la gemme (la pierre, le diadème), ou mieux : le gemmage qui consiste à blesser le pin pour en récolter la gemme ou résine. Le pin est alors gemmé et tombent en cascade des mots intéressants en orthographe et en consonance à propos de cette technique : care (quart, arc ?) ou carre (carré ?), pique (-grosse au Bugarach), rainette (rennes ?), hapchot (château ?). Est-il possible d'imaginer que Rennes-Le-Château puisse donner Rainette-Lo-Hapchòt ou inversement ? Le fait est que Saunière a posé parmi tout son "échafaudage" qui nous intéresse dans le coin à l'entrée de l'église un indice sous forme d'une pomme de pin ou de conifère inversée sous les queues jointes des salAmAndres (ou BasilicS pour certains). Avec Gemme (même consonance que "j'aime"), Saunière nous produirait un cocktail global de significations (Gémeaux, résine ou résigne, gemmage, carre...) qui ne saurait faire oublier que ce mot geMMe contient en outre les deux "M" de Marie-Madeleine, mais aussi ceux de Mercure et de Mars (avec à leur botte le mot carre évoquant leur carré magique respectif ?) et pourquoi pas ceux de Marc et Matthieu (deux parmi les quatre synoptiques). NB : le hapchot n'est pas une hache mais une lame en forme de col de cygne (!) fixée à un manche, les galips étant de fins copeaux d'aubier de pin, excellents allume-feu en association avec les pignes.
Une coupe de pin gemmé fait penser à un as de coeur ou encore à un as de pique s'il est accompagné d'un hapchot, lequel hapchot une fois en place fait penser aussi à un as de trèfle, et le carreau fait penser à un carré posé sur la pointe de sa diagonale, le tout dans une version élaborée et moderne du tétramorphe, et comme un pastiche des états généraux de l'ancien régime : les épées à la noblesse, les coupes au clergé, et pour le tiers-état : les bâtons aux paysans et les deniers aux marchands, en corrélation avec les quatre éléments, respectivement Air, Eau, Feu, Terre et qui se retrouvent ensemble dans le N inversé avec cette énigmatique expression ouverte à l'anagraMMe : Au Diable Vauvert = Au dia bleu vaut vert, où le "ut" ferait encore résonance.
Le bleu additionné de vert donne la nuance turquoise tandis que le jaune mélangé au rouge produit la couleur orange, c'est bien connu (KoNu est aussi un mot turc qui se traduit par : sujet), et toujours cette forme de gémellité où l'une et l'autre des couleurs pourraient bien représenter deux figures géométriques semblables, soit quatre en deux par deux au référentiel du mythe de Léda et provenant d'un développement horizontal de l'échiquier de 8 x 8 en 5 x 13 façon Fibonnacci et à deux vingts (devin ?) tenant de chaque côté en quarantaine aboutissant-emboutissant un Nouveau carré de 5 x 5 incluant le N inversé.

Observation § 4 - Passiflore et Papaver, la fleur et le fruit :

Gamme, clé de sol, ut et lotus game

Papaver Somniferum, au fruit à
déco 11 en couronne (calembour :
Pape à vert somme n'y fait Rome,
ou n'y faire homme).

Passiflore, fleur à 10 (X) pétales

Passiflore, fruit

Tu & Ut en ces pommes bleues du loTUs loties en fruits d'opium et d'oppidum ?
(et toujours la chute de l'homme, sans doute ?)
Saunière ferait-il le coup du jardin des Hespérides avec son diable espéré hideux en posture d'Atlas face aux phénomène des pommes bleues du 17 jANVIer à l'envi ?
Les pommes dauphines...
(à suivre)










PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS : 
Et si LE était lié à RS dans cette phrase comme dans RENNES-LE-CHÂTEAU ?

A retirer ces quatre lettres en rouge, il reste :
PAR CE SIGNE TU VAINC A, anagramme de PAR CE SIGNE TUA VINCA ou PAR SEC IGNE TUA VINCA.
(à suivre...)


EXTRAPOLATIONS de ce qui précède plus haut :
Des Hespér-hideux Ladon L'aida ?
Le cas du 11^ième des 12 travaux d'Héraclès ou d'Hercule :

De Pommes d'Or à Oranges en paume de main ?

Asmodée, désespéré, hideux ?
L'Aigle déchu : Léda et le cygne,
L'aigle déchu = Scorpion, LadoN
les métamorphoses du vampire ?
Jeu de rôle ou de roTULE(s), sis
là donc dans le coin de l'entrée ?

Le onzième des travaux consistait à rapporter les fruits du pommier d'or du jardin des Hespérides. Les Hespérides qui étaient les filles d'Atlas et d'Hespéris se nommaient Eglé, Erythie et Aréthuse. Hespéris était la nièce d'Atlas et selon les interprétations ils auraient eu trois, sept ou onze filles appelées aussi Atlantides. Ces fruits étaient sacrés puisque offerts par la déesse Gaïa à Junon quand elle épousa Jupiter. Hercule qui ne savait où trouver le mystérieux jardin, prit la route de l'Occident, mais il erra longtemps avant d'arriver sur les bords de l'Eridan, où des Nymphes lui conseillèrent de s'adresser à Nérée qu'il trouva endormi sur le rivage. Hercule lui demanda de lui révéler où se trouvait le jardin des Hespérides. NéRée qui n'était pas très coopératif voulut effrayer Hercule et se transforma en lion puis en serpent et enfin en flammes ardentes. Nérée, vaincu au fur et à mesure de ses différents aspects, reprit son apparence humaine et accepta de lui confier l'endroit où était le jardin des Hespérides et lui conseilla aussi de ne pas cueillir lui-même les pommes mais d'utiliser Atlas pour le faire à sa place et de le soulager pendant ce temps de son formidable fardeau.  Hercule partit au confins du monde occidental et atteignit le jardin merveilleux où il vit d'abord Atlas, qui soutenait de sa tête et de ses mains la voûte du ciel. Hercule lui demanda quel était le moyen de s'emparer des pommes convoitées. Atlas lui proposa d'aller les cueillir, mais à deux conditions : la première était qu'Hercule le débarrassât du dragon Ladon, gardien du jardin et, la seconde était qu'Hercule le déchargeât de son fardeau pendant qu'il irait cueillir les pommes. Hercule, se souvenant du conseil de Nérée, accepta et d'une seule flèche, transperça la tête du monstre qui mourut d'un seul coup. Puis, il prit la voûte céleste sur ses épaules et, lorsque Atlas revint, portant les précieuses pommes, celui-ci déclara vouloir les porter lui-même à Eurysthée. Hercule feignit d'être d'accord, mais pria Atlas de reprendre un court instant la voûte céleste, le temps de glisser un coussin sous sa tête. Alors il reprit les pommes d'or et s'en revint pour les ramener à Eurysthée qui, sachant ce qu'elles représentaient, prit peur en les voyant et n'en voulut pas. La nuit suivante, Minerve/Athéna lui apparut en rêve et lui indiqua qu'elle les ramènerait mais qu'en attendant, il pourrait en goutter le nectar. Le matin suivant, Hercule constata que les fruits du jardin des Hespérides avaient disparu et, qu'à leur place, il y en avait d'autres qu'on appellerait plus tard du nom de leur couleur : les oranges. Les fruits furent consacrés à Minerve.

Réflexion : BS, le classement
Grands Favoris : Bain de fourmiS -  BessonS - BooteS - BasilicS - plomB de Scellé - Borgo San Dalmazzo - haS Been - Bleu(e) de Sang - Bousier Sacré -
Favoris : - Bleu Sinople - BorgiaS - BormanuS - BogueS - adiaBatiSme - Stumps (3) & Bails (2) - Bleu-Saignant - Baptiste & Salomé - Basilica Stella - Big mouth billy basS -
Secondes chances : HaBSbourg - SouaBe - Saïph & Bellatrix - BretzelS - BriceletS - BecS - Bernadette Soubirous -
Outsiders : Banquet de châtaigneS - BolcheviqueS - BleueS - BourbonS - Béni tierS - BételgeuSe - Saint Barthélémy -
Gros outsiders : BiSmark - SeBottendorf - HyperBoréenS - Brabant Septentrional

La laitière de Vermeer reprend avec ses habits les quatre couleurs afférentes aux quatre éléments,
avec le blanc sur la tête en plus, ce qui aurait inspiré Saunière pour l'entrée de son église ?

Frère des hideuses Gorgones, Ladon est l'un des plus célèbres dragons antiques. Héra, l'épouse de Zeus, lui confia la tâche de garder ses précieuses pommes d'or. Il échoua dans sa mission, mais gagna sa place au ciel.

Thuban : nom de la dernière étoile de la Constellation de Draco (Dragon), autrefois étoile polaire des Égyptiens..

De DRACONIQUE à DRACONITIQUE :

Rubedo Nigredo à l'entrée de l'église castrale de RLC...
et Albedo en Albireo (Beta Cygni) rehaussé de bec(s) ?
BombastuS que BormanuS en BelisariuS ?

Blanque et Salz, Pot Sécheur et imbu verre à pied ?

BriceletS, soRtis du moule à gaufres (ad hoc par 4 ?)
v-arié-té de BretzelS angéliques BiscuitS APéritifs ?

Guigne, cerise bien sucrée,
coupe tôt Laguiole ?

Lyrique Draco ?

Coupe Caput Draconis

Dragon Astro Lassé ?
Que de n'ombreux lacets !?
Baril de poudre et mèche,
dans RaCkham Le Rouge ?

Caput & Cauda Draconis...
à l'antre entre deux ourses ?
De Minor à Major : Polaris Stella

Des Omégas ? ou des étriers ?

Dragon et insigne de croix,
façon K du C de Mercure ?

Bouc a pris corneS ?

Salamandre de François 1^er

Clebs ?
Bona fideS ?
IStanBul ?
BormanuS ?(Celte)
BessonS ?(Jumeaux)
Schimili Biblique ?
straBiSme ? (divers gens ?)
Bolet Satan ?
Bélesta-Salses ?
Salomon de Bretagne ?
Béni-tierS ?
BelisariuS ?
BombastuS ? 
(ParacelSe)
BucolicuS
BrumeS ?
BlueS ?
BonuS ?
BénéficeS ?
labyrinthes ?
Bray-DuneS ?
Sainte Barbe ?
BrainStorming ?
La BourSe sans BS ou/et la roue ?
Blanque et Salz ?
Béranger Saunière ?
Si Bémol ?
BiS ?
Balance-Scorpion ?
Bélier-Sagittaire ?
Bélier-Scorpion ? (signes Martiens)
AdiaBatiSme ?
Bon Secours ?
ScaraBée ?
Souterrain Blanc ?
Kentoc'h mervel eget Bezañ Saotret ? (en Breton)
Bon Sang ?
Sans Bleu ?
BienvenuS ?
BaptêmeS ?
BraiseS ? (inclut aries au centre)
BoiS ?
SorBier ou SorBus (-> Sort Bu), Horus ?
"BotuS et mouche cousue" (citation érigée du pont)
BreSt ?
GibBeuSe ?
ABSides ?
BosSu ?
BriceletS ? BraceletS ?
Bonne Syntaxe (Genre et Nombre) ?
Sarah Bernhardt ?
Belle-îSle ?
AraBeSque ?
SindBad ?
SaBins ?
AmphiBienS ?
BatracienS ?
Banana Split ?
Foal'S Bread ?
Beltaine & Samain (celtique) ?
RaStaBan & Etamin (Dragon constellation) ?
Bellérophon & Sthénébée ?
SEMIRAMIS de BABYLONE ?
Borgia Secret ?
BœufS ?
BoSphore ?
BergamoteS ?
les Sept Bœufs de labour ?
Ste Barbe & Suzanne ?
Sphyraena Barracuda ? (ciguatera)
SéBaste ?
SéBastien ?
Skull and Bones ?
Borgias (contre) Sforzas ?
Bonne Santé !?
Show-Bizz ?
BooteS (Bouvier) ?
BacchuS ?
Bretzel Salé, l'ersatz cérusé du succès damné en PluS ?
Culto a BormanicuS en Caldas de Vizela

Hoy nos acercamos a unas termas, supuestamente iniciáticas, como por ejemplo la ya mencionada, en esta página, de Ulaca, donde también se barajaba dicha hipótesis. En concreto, nos acercamos al espacio termal de Caldas de Vizela -no lejos de Guimarães-, donde han aparecido dos aras votivas dedicadas al dios Bormanicus, un dios normalmente consagrado a las aguas curativas, aunque también se especula con su carácter belicoso, llegándose a la conclusión de que también pudo ser un dios de la guerra. Así, se piensa que estas termas bien pudieron ser un lugar de iniciación para futuros guerreros. Una de las aras está dedicada a este dios por un uxamense -de Uxama- de origen, tal y como se aprecia en la inscripción.

Saint-Michel...et le Dragon à Espéraza
Le 29 Septembre est si proche de l'équinoxe d'Automne...



Et si la Dalle de Blanchefort était prévue pour être lue ou décryptée dans ce sens...là ?
CELLIS ARCIS = ARC EN CIEL ?
Autant que 11 est moitié de 22 à neuf et d'occasion...

Pierre de Coume Sourde 
Prae-Cum (Par & Avec) = Pollux et Castor

PS de Blanchefort, dalle et stèle...

Une Palette trèS variée PS ou SP de la dalle de Blanchefort :
Prasin - Sinople ?
Périmètre : 2.π.r, et Surface : π.r² ?
Sallière du Pavillon ?
PatmoS (aigle de-)
La Pomme et le Suaire ?
Prudence est mère de Sûreté ?
Symbole Perdu ?
Posteritati Sacrum ?
PolicraticuS ?
Procyon - Sirius ?
Polaris Stella ?
Post Scriptum ?
Sublime Porte ?
Pommes bleueS ?
Par Saturne ?
PachônS (9° mois égyptien)
Pharaon et Sanglier ?
PâqueS ?
PapyruS ?
Produit et Somme ( x & +) ?
Saint-EsPrit ?
Poivre et Sel ?
Plein Soleil ?
Port-Saïd ?
Philémon Siclone ?
Panis Sal ? (pain et sel)
Passage Sinueux ?
PoireS ?
Sibylle et Pythie ?
Poissons & Sagittaire ?
PégaSe ?
PerSée ?

SerPentarius ?
Plante Sacrée ?
SePtem triones ?
PléiadeS  ("poussinière") ?
LaPSis ? (chrétiens reniant leur foi)
Pélican - Serpentaire ?
PaciS Cultori ?
Send & triP
La Pourpre et le Sang ? (Richelieu)
Prophètes et Sibylles ?
Pallas et Styx ?
Prudence est mère de Sûreté ?
"Acceptasne electionem de te canonice factam in Summum Pontificem ?"
Honni Soit qui mal y Pense ?
Sans Peur ?

(à suivre...)