Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO

Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO
Blog laiSsant les autres fins chercheurs de RLC... suR Le Carreau (très é-troit) commis sur PloMBé-lobé de l'un-KoNu sanS Plan B pluS impar-able, en signant et singeant carré-ment sur le bureau un ratiss-age contextuel PluS large, holistique et HIStorique de l'affaire à absoudre l'oint de soucis sordides tel un sang-lier surgissant en tonnant sans sourciller de Chênes Le Râteau à Ras Le Chapeau borsalinO Du turban écru qui n'est f(e)UTre cuit de SerPe hier en lambeaux de rênes façon lex à taux réduit sablé d'un 8 clos mercuriel de lemniscate qui docte obre en carré L'est d'a-nalemme dans les annales de l'espace et du temps, Rainette Le Chat teigneux Nique au LA Poussif ce crêt de voile acté dans l'éther nuitée du sacré au ça crée réciproque-ment admis ton d'out-rage à BI-blIOthèque aire de mots crus sans écarter l'épate, car l'essence ciel pour kiss piqua en l'erse d'épis sûrs est sans tort de faire parler d'écho sans rengaine la déco des toiles et d'étoiles en toute connais-sance de cozze à passer y forme qu'au do(u)ble vaut vert d'alambic en cloche reste un simulacre d'amBiValence ainsi cousu d'un D.on M.ystérieux si cossu en son tuf de spoulga et coque de bruit hier au camail nourri de staff à l'affable et monacal occulte isthme qu'un pOtlatch s'en fAIlle et qu'à cet égoïste et terrible lice égosillée d'invective dualitaire, l'irénisme à l'ET IN ARCADIA E-GhOst lui(t) vaille à l'unisson INDIGO un pré en bulles à l'uni-vers pont y fit cale en file ou tri d'un binoculaire monologue en noir et blanc et en coule oeuvre du vrai éradiqué d'un sablage en vrac filtré-tamisé au travers le chas d'une aigu-ille et versé dans une boîte de paon d'or fourrée à l'air-mine de ver-ité divers-ement grisante à l'enton-noir vertueux de la plu-part des faux-semblants et des monts noirs peu ou prou graalesques de la tête aux pieds comme n'oserait pas un pléon à esmer ras le dia-bolo de pinces envers la transe pas rance de leur capture, abysse à l'aBuS deVenu Sienne...

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Ecclésiaste 1/11 : " On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard."
(Cependant que les plus motivés pourront peut-être retracer le passé à partir d'éléments épars disposés figurativement et intentionnellement ou non par ceux qui auront vécu avant ?)
- FELIX QUI POTUIT RERUM COGNOSCERE CAUSAS ? -
Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire dil.et.tante de l'occident en ce lieu se concentrent et concernent entre autres les grands alentours, ci-dessous les différentes pages de ce blog, cliquables :

VerSus éther haut ? : SEXY SAUNIERE...

Saunière remet ça en gris (hungry-faim-feMMe) et mains de fée
aux doigts croisées façon cache-sexe en diagonale de carreaux,
losanges (voir page "les Secrets Alchimiques de Chambord") :
Marri Mât de l'aine à Rênes le X-ATO, sous l'autel
P.S.: Poussin sans o = Pussy-N, sans on = pussy, pour peu
que le (hideux ?) i devienne grec !
Le tout sous une voûte rose et bleue soulignant la pertinence de relation d'opposition différentielle dans la sexualité éther haut
 et entourant de croisements (!) le potentiel de conception-création de couleur beige de chair

Reine-La-Chatte haute comme la drAGée,
où même moire d'out retombe ?
Quatre anges à l'entrée de l'église
Scorpion et ce corps pion,
Antarès, hante à res, ente à ers...
Dès l'entrée Saunière avait connecté les visiteurs de son église sur les quatre éléments, les quatre signes fixes du zodiaque et les quatre évangélistes, encore et toujours le tétramorphe.
Cependant l'ange en vert (celui de l'élément eau, de l'Aigle déchu ou du Scorpion, de Saint-Jean) semble pointer la fresque derrière lui avec son bras droit pour plus de données explicites.
A hue ou à Dia : LE VAIN ou LEVAIN...cras !?
Car tous les chemins y mènent arôme...
Les quatre éléments, gravure de la renaissance, remarquer
la main gauche du deuxième personnage en similitude avec
le geste de l'ange central à RLC

Et Rennes-Le-Château, c'est la vitrine de :
In vit nos verts y t.ass.ent ou In vit nové rite ass ?
Une fresque qui est aussi une leçon de sexualité, de génitalité, d'amour charnel, de fécondation, de conception, de procréation, de gestation...
Saunière insiste sur la dimension sacrée du féminin associé au masculin pour la création de tout être en plaçant une voûte à croisements (!) de bandes (!) ou rubans en rose et en bleu,
rose et bleu comme étant la projection palpable et affichée d'une pertinence de relation d'opposition différentielle masculin-féminin.
Mais en fait cette fresque est le paroxysme de l'expression "et in arc à dia ego", de Le Guerchin ou de P(o)ussy-n...
A droite : la possibilité de fécondité, LEVAIN (cras)
La foufounette-buisson de droite (devant le personnage)
Paysage d'hiver ("i" vert ?) ou de printemps...
Un personnage pronostiqueur et non porno-skiteur :
un vit la joie, vis la joie, vie la joie ou vil à joie, enfin
un inspecteur des travaux finis : ça va le faire...ou pas...
de "tomber" enceinte (à coup stick et pas à coup sûr) ?
Saunière nous entraîne dans le mythe du nombre 13, soit
le nombre de cycles féminins dans une année (13 x 28 = 364),
pour lequel il place deux stations de chemin de croix sous
cette partie droite, les stations VI et VII (6 et 7)
6 de sex (e) et 7 de cette ou ascète, 6 + 7 = 13.
Le 13 est lié en effet à la fécondité, c'est un nombre
qui porte chance ou malchance et initialement c'était
suivant que la grossesse était désirée ou non...
Ce nombre 13 tabou, ainsi que le Vendredi, jour de Vénus
furent repris au moyen-âge et en toute symbolique négative
pour arrêter les Templiers le Vendredi 13 Octobre 1907,
avec pour effet de renforcer ce mythe du vendredi de Vénus
et du 13 lunaire, mais sans en être véritablement la cause.
La cause est uniquement et spécifiquement naturelle.


Deux amants allongés sur la fresque, avec les deux bassins
en exergue à toutes fins sexuelles et génitales explicites...


Gros plan nanti sur celle de droite
Côté gauche : la non-possibilité de fécondité, LE VAIN
La foufounette -buisson de gauche (au sol)
Les règles, la ménopause, la "vieille fille" ou tout
simplement l'échec d'une fécondation tentée...
Paysage de ruine et d'automne, et de rivière asséchée.
Saunière nous entraîne dans le mythe du VIXI (17)
pour lequel il place deux stations de chemin de croix
sous cette partie gauche, les stations VIII et IX (8 &9)
8 du lemniscate (infini) et 9 comme n'oeuf, au total
de 17 = XVII, anagramme de VIXI.
SAUNIERE, PREMIER FREUDIEN DE L'EGLISE ?

SAUNIERE ET LA VALORISATION DU MARIAGE COMME ETANT UN SACREMENT DE L'EGLISE :
Voici donc un curé de campagne du XIX° siècle qui aurait disposé dans son église la meilleure illustration du cycle féminin qu'il serait même un modèle du genre, jamais égalé à ce jour ?
La voûte elle-même serait une représentation du cycle féminin à en compter les 14 hexagones tenant place en demi-cercle appuyé sur la base de la fresque.
Saunière était un curé comme ceux de son époque qui devait expliquer à la population de son village que le mariage en qualité de sacrement religieux (et comme institution au civil) était cadré dans la société, qu'une jeune fille devait conserver sa virginité jusqu'au mariage (si possible), ainsi combien de couples ont été constitués et contraints au mariage de force après qu'une jeune femme soit « tombée » enceinte à l'époque ? Il n'y avait pas de contraception comme aujourd'hui ni de loi sur l'IVG. Le curé de la fin du XIX° s. était le garant de l'ordre sociétal par la pression morale. C'est précisément ce qui rend RLC actuel, très actuel, mais par différentiation !
Ainsi le discours imagé de Saunière dans son église serait-il très sexué, voire génital au dessein envisageable du paradigme de la Vierge à l'enfant, ce que semble confirmer essentiellement l'analyse de la fresque entre autres nomenclatures...

REINES LES CHATTES HAUT ou EAU, OU SAUNIERE SEXOLOGUE, SAUNIERE SOUS LA CEINTURE OU LA SAINTE HURE ? Le N sans la haine, soit l'aine :
Deux "foufounettes-buissons", une de chaque côté pour représenter le sexe féminin, l'un en situation de fécondabilité (présence d'un phallus au-dessus du petit personnage), l'autre à gauche en perspective de non-fécondabilité (pas de sexe masculin, évocation des règles avec une béquille sur fond rouge à côté et plantes à fleurs rouges) , ou évocation de la ménopause (rivière asséchée), ou encore évocation de ce l'on appelait à l'époque de Saunière : la condition de la "vieille fille" (terme de l'époque).

Genèse 1-28 :

"Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre."

Parties gauche et droite de la fresque réunies sans le centre,
les deux foufounettes-buissons mises en évidence

Le confessionnal (con-fes-sion-nal) et le centre de la fresque évoquent-ils un bilboquet (avec sa consonance sexuelle associée) ?
"Procédure" du Bilboquet

De VIXI (XVII) à 13 : quatre allant en différence et autant de stations sous la fresque en deux de chaque côté.
Saunière valorise les superstitions du 17 italien (XVII = VIXI) et du 13 (13 x 28) sous la fresque comme étant des fonda-mentaux anxiogènes de la sexualité-génitalité.
Pommes bleues de met-il l'aine
sous le V ? 17 Janvier RLC
Ou Bleu pour Spica (Virginis)
et Orange pour Arcturus (BootiS) ?

4 x 7 tour Magdala
Déjà à l'entrée visiblement un aspect coïtal
formé des quatre anges prépositionnés...
-VIXI pour XVII :
Le VIXI (XVII = 17) en stations 9 + 8 sous la gauche de la fresque interpelle directement le fameux concept du 17 janvier.
17 janvier = disset gener (en catalan comme quatre allant de 13 à 17), disserte ou disette, gêner ou génère, génère disette devient intéressant dès lors que 17 janvier peut aussi s'écrire en cinq caractères dont deux slashs : 1/7/1, ce qui fait directement allusion à une semaine entre parent-thèse (!) dans une cycle de quatre semaines, soit 28 jours (2 x 14 nombres de stations d'un chemin de croix) : le 7 qui sépare deux individus dans un cycle lié à la procréation.

Chemin de croix, 13 (6+7) et XVII (VIXI, 8+9), l'allusion aux templiers : 

- Arrestation des Templiers le 13 Octobre 1307 = 13/10/1307, deux fois 13 et 10 + 7 = 17 (VIXI).

-13 de 364/28 :
A suivre...

















Saunière et le sac de la fresque : Sault Pêche heure, saut ou sot d'omis dans lèse annales, et la condamnation (par l'église) de certaines pratiques ? Et plus encore...

Le Guerchin ET IN ARCADIA EGO : Seix au centre,
Bethmale et Bête mâle...et trou de balle (faire mouche)
à la frontière entre la France et l'Andorre (l'affront hier) ?
La diagonale des têtes, au centre Seix en diagonale (V)
et l'AnDOrra...? Une question de solmisation  en do-s ?

Plan indiqué par le tableau sud de Muret (dans son silence)
Sierra de Cadi au sud et Val dAran (daran conj. verbe dare)

Blason d'Anjou (enjoue ?) TER y BI LYS ?
Le troisième lys en bas est-il le crâne du tableau
de Le Guerchin ?
Bi-sauté, l'échiquier de l'église de Saunière...
L'ouie de quelques Louis de l'Anjou

Castor, cas se tord et case tort...

Un hutte à Castor au centre de la montagne fleurie ?
Le sac sur la fresque, qui laisse entrevoir une part de fromage,
un sac percé appelé au...couse rance ?

Part de fromage (Bethmale par ex. ?)
Pyrénées Ariégeoises, Couserans

Le Couserans dans l'Ariège, au centre : SEIX

Final : D'OR.B.S.CUR

Echiquier aux carreaux biseautés côté confessionnal

Mire-PoiX et P à X 681, id IO ?
Note DO, "sixième ligne ajoutée" de portée
Le fameux sac percé (Persée ?) de la fresque :
A priori cette disposition du sac orienté vers la gauche de la fresque au ruisseau asséché (côté non-procréation) laissant apercevoir une part de fromage (Bethmale) autorise de penser à la notion de bête mâle, concernant les annales (!), la forme du sac rappelant...l'analemme (!), et pour cause :
Le Guerchin et la solmisation en do-s :
En effet Le Guerchin -anagramme Le Grincheu(x)- avait déjà évoqué le Bethmale sur son tableau ET IN ARCADIA EGO, plaçant Seix (!) au centre.
Le sac sur la fresque déteint un cordon sur la gauche évoquant une clé de Sol.
Sans doute Le Guerchin émet-il une opinion sur le fait de saut do mis, à savoir le remplacement de la note UT par le DO au XV° siècle (et officialisé au XVI° siècle), car il s'agissait bien d'un saut du ut au do musical lors de la mise en place de l'OD (Opus Davidicum) aux deux Gémeaux (David & Jésus) que l'on retrouve derrière le choeur dans l'église.
Le Guerchin outré de l'endos ou de l'en do rat ou quand le sweet OD se fait switcher au DOs ?
Tout indique dans les allusions des noms de lieux employés que Le Guerchin marquerait dans son tableau et plan une alliance "contre nature" entre le judaïsme et le christianisme, sans doute qu'à Rome et à l'époque cette résolution OD comme...Aude avec laissé sur certains un parfum amère (saut do mis = sodomie), et il serait possible d'évoquer alors une forme d'antisémitisme de la part de certaines "paroisses" cathos intégristes dès la fin du XV° siècle (Voir également l'hypothèse Hohenzollern en page ...T(h)U LE...).
OD induit également la prononciation "aux dés", que Saunière produira en station X du chemin de croix à RLC.
Pour rester dans le fromage ce tableau indiquerait donc une Fétà l'OD, le plan étant centré sur le Couserans (couse rance... d'un cousinage ?)...
Le plan suggéré par le tableau de Le Guerchin contient... Foi(x), et qu'il existe dans cette région le plateau de Sault.
Reste aussi à la faveur de Le Guerchin sur son tableau le trou (de balle virtuelle (vir-tu(e)-elle, à venir...?  faire mouche, enjoue = Anjou, mire poix (ou pOisse) = Mirepoix) disposé à la frontière (l'affront hier) entre la France et l'Andorre, une principauté qui inclus Do et qui possède un régime de paréage "à deux princes" (et non deux pinces comme sur l'arcane XVIII du tarot de Marseille). L'oeil de mire poix (Mirepoix) en haut à droite est une composition assez édit-fiente sur la poix proposée en bas du tableau...
A noter enfin dans l'OD : Legonissa contient EGO mais offre au moins ces deux calembours : L'ego nie ça ou legs honni ça, que Le Guerchin aurait repéré pour son tableau.
Cependant qu'il n'était probablement pas dans l'esprit de Saunière de souscrire à une idée de mésalliance puisque le mot TERRIBILIS...(du porche) peut s'inscrire dans une valorisation (ter-y-bi-lys) de l'O.D. façon blason d'Anjou (enjoue), ainsi que les deux Gémeaux (David et Jésus) dans le choeur de l'église de RLC, façon dioscures du Capitole à Rome, quoique ces éléments peuvent être retournés en sens inverse pour démonter le contraire ?. En effet des deux Gémeaux-dioscures Castor et Pollux, l'un était mortel et l'autre non, ce qui renvoie à l'entrée ou à la sortie de l'église (Léda et le cygne). En outre le final du cryptogramme BS (D'OR.B.S.CUR) peut renvoyer aux dioscures, de même l'échiquier de l'église est biseauté (bi-sauté ou bis oté, ou encore bis ôter ou bis au ter : TERRIBILIS...), ainsi qu'un ciseau à biseauter est tenu par un des deux personnages du tableau et pour autant que ce soient un apprenti et un compagnon, le troisième irait se faire... maître ! (parodie de l'OD par le Guerchin). Andorra  = en DO rat ?, un rat est bien sur le tableau à bonne place d'Os de Civis (!) dont les initiales rappellent le COq gaulois de l'OD, et même avec une troisième lettre qui serait dans le ton de ce propos. Ainsi le concept de memento mori officiellement attribué à ET IN ARCADIA EGO serait dévolu à l'un des Gémeaux : Castor (et casse-toi ?), globalement à l'intention de l'OD, le troisième lys de sire-constance, sensé symboliser une alliance contre-nature. Un antisémitisme qui ne porterait donc que sur une question de forme, à savoir l'OD comme unité de vue et non sur le fond, cependant que l'un des deux serait invité à faire de bannière et sans manières (sans manne hier ?) son baluchon - Bagnères-de-Luchon (et vallée du Lys ! et baluchon sac de la fresque), le personnage en blanc est situé sur cette zone géographique du plan, et purée de poix (et pur est de poix, épure en blanc ?) et tient un bâton (de baluchon ?). Vallée du Lys et valet d'Ulysse, une référence à l'Illiade et L'Odyssée d'Homère ? Le personnage en orange est situé sur Soueich (Switch = Revirement) avec sur son chapeau : Saint-Gaud-ens et Saint-Mé-dard. Au-dessus des deux personnages : Montrejeau (Montre jaud, le coq gaulois ?). Pour autant dans cette contrée on y trouve également : Saint-Bertrand de Comminges.
Fugace d'épois (!) : Foix, fouace et foison, Poix, poisse, et...poisson ? : Cependant que la phrase d'entrée de l'église de Saunière semble conforter le DO de l'Opus Davidicum en l'intégrant sous forme d'un SIGLE à six branches, comme déjà évoqué dans la page...TU LE...: "Encore qu'à juste superposer un H (qu'est naze dans la phrase initiale) sur le G, ce H à coiffer d'un DO et surmontant AA permettrait d'établir un sceau, un sigle avec G au centre et six pointes en D,S,A,A,E,O. La phrase s'inscrit alors dans un poisson situé...au-dessus du bénitier."
Rictus pour un étrange Ichtus : le H Hermétique et Hermétiste constitué des 7 premières lettres du mot
diagonaLE se forme sur un N inversé faisant double emploi avec le premier N traversé, reste à inverser L et N
pour obtenir : PAR CE SIGLE TU NE VAINCRAS. Remarquer P & S exclus de la forme du poisson.
P en Caput et S en Cauda (Coda ?) et LN (comme Hélène ?) de Nouvelle Lune ou de Lune Noire ?
Signore DONI ? Un ESTURGEON ? 9 (!) lettres pour diago(N)ales en un sigle...

Egalement un tableau politique : En effet la poix désigne clairement l'Espagne sur le tableau-plan depuis la frontière pyrénéenne naturelle, est-ce à dire qu'Anne d'Autriche était mal perçue en France et à Rome dans les années 1618-1622 (date approximative du tableau) ? On retrouve la consonance "DO" dans son nom.

Le Guerchin : ET IN ARCADIA EGO...



RENNES-LE-CHÂTEAU, L'ERS-ENNE-CHÂTEAU, Aine Chatte Eau L'ERS = un ace ?


















En rose et bleu Saunière froisse l'or du dehors au de-dans
Tout buis sonne hard au pire acanthe à chat-pi-tôt piteux
I
N
A
R
C
A
D
I
A
E
G
O






















Archives : 

GeMini & Co en signant qu'ORbe au mi-eux ?

Que la Salz contiendrait du Sel geMMe parsemé de-ci de-là en roche, par Saint Roch ?

Double figure géoMétrique : GéMelli des surfaces sur plan, libre à cadrer en lever de Vénus ou de Virgo, amère cure ?
M graalesque ou graalien fixé si mutable et dissimulé qu'il a fallu s'y faire...
Sigle M de Virgo ou/et M de Scorpio ? Memento dans la peau de l'Ours roux ?
Castor & Pollu(x) ?
Majuscule et minuscules, immodérément telles des mets sages gemmacés...
Léda sous le cygne des Gémeaux à 2 x d'oeufs du genre et du nombre...
Léda de Cesare da Sesto (début (XVI°)
La réal-ité d'Ut : airain, par Jup-i-ter ?
Léda et ses enfants, de Giampietrino
Étude pour une Léda agenouillée au cygne,
de Léonard de Vinci
30° à l'oMbre ou les quatre stations sous la fresque à RLC : IX, VIII & VII, VI, autant 2x15 concilient Trente & TENET R.
Une ressemblance entre "l'étude pour une Léda agenouillée au cygne" De Vinci, ci-dessus et Asmodée, ci-dessous ? Ainsi qu'entre les 4 anges et les 4 "jumeaux ovipares" : Hélène et Pollux, Clytemnestre et Castor ? dont 2 "Immortels"...
Quarteron d'anges à l'entrée de l'église à RLC
L'R et L'O apOstRophent les ailes des anges ?
Un cygne intégré dans le chapiteau corinthien (corps un tient)...
Acanthe et à quand fut-il le changement d'âge lettré en-dessous ?
"Et Je VouS SouL-aGe-rai": une codification astrologique avec : 
Jupiter, Vénus, Virgo ou Saturne, Soleil ou Lune, GéMeaux, et GraaL ?
Cygne et Aigle : des constellations
Le K (11?) du haut de la fresque 
Asmodée : Cygne ? L'Aigle chu ?
Scorpion = ce corps pion (d'échiquier ?)


Sol y Luna, aguichant ?
Laisse ce cas lier...
Les Gémeaux et leur céleste entourage
Pas-sage Celtique :
Pousse un ou deux en DOs ?
Extrait des Bergers V2, sur
la droite du tableau, dièse ?
Les druides considéraient le gui comme une plante sacrée en raison des vertus médicinales, voire miraculeuses, qu'ils lui attribuaient. Le gui était un talisman qui chassait les mauvais esprits, purifiait les âmes, guérissait les corps, neutralisait les poisons, assurait la fécondité des troupeaux, permettait même de voir les fantômes et de les faire parler. C'était le gui cueilli sur le chêne - chose rare - qui était recherché. Le chêne était l'arbre du soleil qui symbolisait la force et la puissance. Le gui était l'arbuste de la lune.
La guigne (mauvais œil, malchance, poisse mais aussi une variété de cerise) est phonologiquement proche de gui, mais au déguisement étymologique non raccordé, cependant que gui et guigne s'accordent bien de mine à Gemini en discours sur les Dioscures...Vaincre le Monde, le Démon ou le Mauvais Œil ?
Le mythe de Léda, Castor et Pollux s'imposerait-il à l'entrée de l'église à Rennes-Le-Château, et même dès avant sur la place et le jardin ?
Les 4 éléments platoniciens (à l'occidentale) : 2 au féminin et 2 au masculin,
respectivement chez l'un et l'autre un article et une apostrophe d'élision...
Gui sur pommier, vert paumé Aérien sur fond de ciel bleu

FAUTE ou FATVM ?
Par les 4 anges à l'entrée et par le Biais de Saturne ?...
Et Bien Sûr : igne natura renovatur integra ?
L'ange supérieur étant non rouge feu mais blanc, et l'ensemble est souligné de deux salamandres... Le rond rouge (cerise ?) éclairerait alors toute sa justification avec une option pour "BraiseS" (à des-cendre mais pas trop), qui détient en son centre l'anagramme de Aries (le Bélier), et l'aida le signe qui contient igne, tout comme le mot guigne ! Et sans bruit les BuiS sont ardents au rame eau d'un bénitier port-é man-ière Atlas effet nix.
Carré "magique" de Mars, d'ordre 5,
et 13 au centre à symétrie axiale autour,
carreau formé par les nombres impairs.
Cassiopée : M ou/et W, c'est selon...  
Carré magique de Mercure, sous diagonales "naturelles" des quatre sous carrés
et symétrie centrale des nombres en cases de l'échiquier 2 Moitiés pour 4 x quarts d'où ?
2 x M (13° lettre) et...Cardou ? (extrait gauche fresque sous l'autel)
Blason de Coustaussa (Montesquieu) : De sinople au roc d'échiquier d'or.
10 + 2 = 12 = 8 + 4,autant que 9 + 1 = 10 = 7 + 3.
12 + 10 = le 22 cher à Saunière, en 2 x 11 ?
2712 - 171 = 2541 (x 12 = 30492, oux 13 = 33033)
2712 + 171 = 2883 (x 12 = 34596)
Les SorBus sont arbres à fruits rouges prisés des oiseaux, et le ScorBut, c'est autre chose de plus long et au pire disparate pour ce Corps pion, qui vit à mine ne sait à quoi tique...
Le Donjon d'Arques, non loin du Cardou...
Aigle aux anges ? et aux Angles (66)

Plan de l'église de RLC, statuaire et chemin de croix...(Cliquable pour Agrandir)
Plus de précisions sur : http://www.rennes-le-chateau-archive.com/
Gemini-Aquarius-Libra (Ste Germaine, St Antoine Ermite, St Luc) & ARies (St Antoine de Padoue et St Roch), un GRAAL zodiacal ?

Cygne hORmis Signe nord-sud : 
Deneb AlbireO
Deneb (Queue du cygne, en haut)
Albireo (Tête du cygne, en bas)
Ruchba (Genou du cygne), si proche de...Bugarach

L'aile nord du Cygne pointe approximativement en direction de la tête du Dragon (suivant qu'on prend l'aile droite ou la gauche, on tombe au niveau de ξ Dra, la pointe du losange, ou au niveau des « deux yeux »). Cet alignement passe par le cœur du Dragon (η Dra), Thuban (α Dra) et le bord intérieur de la « casserole » (δ et γ UMa).
Dans l'autre sens, l'aile du Cygne pointe sur une zone assez obscure où l'alignement passe par les pieds de Pégase, le centre du Sagittaire, et vient finir sur Fomalhaut après une traversée de près de 60°.
Il n'y a pas d'alignement très convainquant dans l'axe du Cygne. La tête du Cygne pointe dans la direction de l'Aigle et du Serpentaire, tandis que la queue s'oriente vers Céphée.
(à suivre...)

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