Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO

Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO
Blog laiSsant les autres fins chercheurs de RLC... suR Le Carreau (très é-troit) commis sur PloMBé-lobé de l'un-KoNu sanS Plan B pluS impar-able, en signant et singeant carré-ment sur le bureau un ratiss-age contextuel PluS large, holistique et HIStorique de l'affaire à absoudre l'oint de soucis sordides tel un sang-lier surgissant en tonnant sans sourciller de Chênes Le Râteau à Ras Le Chapeau borsalinO Du turban écru qui n'est f(e)UTre cuit de SerPe hier en lambeaux de rênes façon lex à taux réduit sablé d'un 8 clos mercuriel de lemniscate qui docte obre en carré L'est d'a-nalemme dans les annales de l'espace et du temps, Rainette Le Chat teigneux Nique au LA Poussif ce crêt de voile acté dans l'éther nuitée du sacré au ça crée réciproque-ment admis ton d'out-rage à BI-blIOthèque aire de mots crus sans écarter l'épate, car l'essence ciel pour kiss piqua en l'erse d'épis sûrs est sans tort de faire parler d'écho sans rengaine la déco des toiles et d'étoiles en toute connais-sance de cozze à passer y forme qu'au do(u)ble vaut vert d'alambic en cloche reste un simulacre d'amBiValence ainsi cousu d'un D.on M.ystérieux si cossu en son tuf de spoulga et coque de bruit hier au camail nourri de staff à l'affable et monacal occulte isthme qu'un pOtlatch s'en fAIlle et qu'à cet égoïste et terrible lice égosillée d'invective dualitaire, l'irénisme à l'ET IN ARCADIA E-GhOst lui(t) vaille à l'unisson INDIGO un pré en bulles à l'uni-vers pont y fit cale en file ou tri d'un binoculaire monologue en noir et blanc et en coule oeuvre du vrai éradiqué d'un sablage en vrac filtré-tamisé au travers le chas d'une aigu-ille et versé dans une boîte de paon d'or fourrée à l'air-mine de ver-ité divers-ement grisante à l'enton-noir vertueux de la plu-part des faux-semblants et des monts noirs peu ou prou graalesques de la tête aux pieds comme n'oserait pas un pléon à esmer ras le dia-bolo de pinces envers la transe pas rance de leur capture, abysse à l'aBuS deVenu Sienne...

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Ecclésiaste 1/11 : " On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard."
(Cependant que les plus motivés pourront peut-être retracer le passé à partir d'éléments épars disposés figurativement et intentionnellement ou non par ceux qui auront vécu avant ?)
- FELIX QUI POTUIT RERUM COGNOSCERE CAUSAS ? -
Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire dil.et.tante de l'occident en ce lieu se concentrent et concernent entre autres les grands alentours, ci-dessous les différentes pages de ce blog, cliquables :

31/12/2010

31 Décembre 2010 : Saint Sylvestre et RéveilloN du 1° Janvier 2011 : Jour de l'AN

Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire de l'occident se concentrent en ce lieu (et concernent entre autres les grands alentours...)
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2011

Santé, Chance, Amour, Réussite...

Champagne !

Sur 365 jours...à venir !
Le Baron et toute son équipe,
c'est à dire lui seul en polymorphe,
a bien l'honneur de vous souhaiter une excellente année 2011
et forcera tout son talent juste ciel
pour continuer à vous intéresser
à ce blog inédit et...passionnant !





La réfexion du Baron :
Le boa en sérénité enserre à deux
la pare obole des talents vertueux
et en sol haut se tisse mélodieux,
tout ceci en attendant mieux...

Quel Sol fait jeu à l'étale d'une toile à régner au plat-fond : une faille verd'âtre sur un haut plat de beille Pi veille ? Questions de bavard d'âge en étalage à belle vis d'hélicon : Et in arcadia ego ? Templiers et Cathares ici tant liés ?

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Et in arcadia égales : deux ailes, en option un diadème ?
Château de Puivert
Pays Cathare, et châteaux...
Le Bouvier (ou berger des boeufs) est l'ancienne constellation de la Balance (Libra) hors écliptique, et signe afférent : symbole d'équité ou égalité (balance romaine à deux plateaux), et s'oppose au Bélier (Aries), symbole d'individualisme (agneau Pascal?)
Montségur possède une forme qui évoquerait la constellation du Bouvier..., et situé aussi sur une montagne façon "pain de sucre", comme à Rio...
La réflexion du Baron : Tout ceci non loin de Rennes-le Château...

30/12/2010

Monségur à l'endos du Bouvier rend caduque Monseigneur RackhaM le Rouge en couRoNne de cape et d'épée, de cRoix et de baNnière ce n'est que petite (ga)vacherie cavalière d'un trésor ailé versant investiture à Bergère...

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La bataille de Bouvines (1214)  gagnée par Philippe Auguste

La bataille de Bouvines, par Ho.Vernet
(un match truqué de l'histoire ?, L'île NoiRe de l'Oie du père Igor et autres noix ?)
Bouvines (59)
Une date à symbolique (12 &14, non fâcheuse Fecha!), un nom proche de "Bouvier", un contexte  d'hérésie Cathare, la troisième croisade, la guerre contre les Plantagenêt d’Angleterre (PA contre PA en douce !? ), Philippe Auguste :  un roi original...?
Bouvier - Bouvines, à ne pas être dégouté par la boue  : RNS, et vi, en vue ! (hasard ou serrés mots nient?)
La réflexion du Baron :
"L'histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord." (Napoléon Bonaparte)

29/12/2010

WAT her Lou ? my TYLER is researched et non poussif ni réac et ne soutient body able à saoul tirer ni à muser, Coup bas de fidèle caste trop Haute enrôle ex-plause à la frenchy mis s'il bêle froid par tant de haine au las guet, Marque As un sanglier à rebrousse-poil n'aidant tif frise la défense en laie d'heure l'arche au tRideNt en brosse :

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Wat Tyler (? - 15 juin 1381) est un paysan anglais, soldat démobilisé des guerres de France, qui a pris la tête d'une révolte des siens en lutte contre les impôts excessifs. Il n'est pas l'instigateur de la Révolte des Travailleurs mais il en a été certainement le fer de lance.
Le contexte :
Depuis le milieu du XIVe siècle, la situation du paysan anglais a sérieusement empiré. C'est lui qui a la lourde charge de payer la guerre du roi en France. Le Statut des travailleurs de 1351, empêchant une hausse des salaires, a augmenté le mécontentement. En 1380, le Parlement décide la levée d'une nouvelle poll tax et l'envoi de commissaires royaux dans les campagnes pour éviter les fraudes. C'en est trop pour les paysans. Au début de 1381, la révolte éclate en Essex et se répand vite dans le Kent, le Sussex, le Norfolk. Partout, les nobles fuient, les châteaux brûlent. L'un des meneurs, le prédicateur John Ball, prêche l'égalité entre les humains. Arrêté en mai par les gardes de l'archevêque de Cantorbéry, Simon de Sudbury, il annonce: « Il y aura 20 000 hommes qui vont me libérer. »

"Tower of London", l'atour...
 Wat Tyler et la Révolte :
Après la guerre française, Wat Tyler était retourné travailler sur sa terre dans le Kent. Un percepteur royal se présente chez lui et tente de se payer en essayant de violer sa fille, une adolescente de 15 ans. Encouragé par ses voisins, Tyler assassine à coups de marteau l'agresseur de sa fille. Les paysans du Kent, qui connaissent sa valeur, l'élisent chef des rebelles. Celui-ci, qui ne peut plus revenir en arrière, accepte. Leur première direction est Cantorbéry où ils libèrent John Ball. Puis ils décident de marcher sur Londres. Sur leur chemin, ils ouvrent les prisons et décapitent les juges qui tombent entre leurs mains. Le 10 juin, lorsqu'ils arrivent aux portes de la capitale, ils sont près de 100 000 insurgés qui exigent de parler au roi.
Wat Tyler et Richard II :
Wat Tyler ne veut pas renverser le gouvernement mais exige des réformes. C'est pourquoi il veut négocier avec le roi. C'est pourquoi aussi il impose une discipline à ses hommes en interdisant les pillages et en punissant de mort les fautifs. Finalement Richard II accepte de le rencontrer. Le jeune garçon de 15 ans arrive à bord d'une barque sur la Tamise, mais il prend peur et décide de rebrousser chemin. Il va se réfugier à la Tour de Londres avec quelques notables, dont Simon de Sudbury, l'archevêque de Cantorbéry. Tyler assiège alors la Tour qui est prise en deux feux. Sudbury est arrêté et assassiné, peut-être à l'instigation de John Ball. Richard II rencontre Tyler à Mile End, un faubourg de Londres. Le capitaine des insurgés exige l'abolition du servage, de la poll tax et du privilège de la chasse et de la pêche de la noblesse. Le roi veut gagner du temps car il sait que Robert Knolles est en train de lever une armée non loin de là. Il accepte tout et fixe rendez-vous au lendemain pour finaliser les détails de l'entente.
La mort de Tyler :
Le 15 juin, Tyler et le roi se rencontrent donc de nouveau à Smithfield. Richard II s'est entouré de provocateurs qui s'amusent à insulter le chef des insurgés. Celui-ci sort son épée. Prenant prétexte de vouloir défendre son roi, le Lord-maire de Londres, William Walworth, lui porte un coup d'épée qui le renverse. Il est aussitôt achevé par un écuyer.
Richard, qui a belle prestance, parvient à calmer les insurgés présents. Il leur fait croire que Tyler est un traître qui a voulu l'assassiner et que lui, le roi, est leur véritable chef. Il leur promet qu'il respectera sa promesse et leur demande de se disperser.
Ce sera leur faute. Robert Knolles les attend à la sortie de Londres. Ils sont écrasés. Ceux qui ne sont pas tués s'éparpillent dans toutes les régions. Les représailles suivent. Des milliers de paysans sont exécutés. John Ball, capturé dans une ancienne abbaye, est pendu et écartelé. Ce n'est que le 30 août qu'un ordre royal suspend les représailles.
Par la suite, il ne fut plus question avant longtemps d'abolir le servage ni la poll. (source : wikipédia)
La réflexion du Baron : Un boy hard et Boni que ce Mr.Tyler, et plein de talent(s) aussi...in this kingdom by the sea...à party remise si près de la Tamise !

28/12/2010

Dessins innocents qu'un pastel allongé à desseins royaux sans boyard ni boyaux n'aille d'émoi retirer de la boue, Allons sans faons d'ornement ni pied de biche se met l'OS du (grand) Schisme d'Occident à tout vent et soleil de Provence, là papoter futilement d'avis aptes à gravir d'évidence sans bugger son éminence and Co : le Bugarach, Il n'est qu'à suivre paume de ReiNette en tapis volant pour y chapeauter lieues sans sept bottes à verticalement :

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Paix de Dieu
1378, Grand Chisme : Clivage dans l'église romaine
Quand le Loup est dans la bergerie, les ouailles paniquent et le paon urge ?
à trot tirer sur la longe au manège, elle s'est rompue d'écurie en ses nattes,
Un bouvier à boeufs n'est pas une bergère à moutons en peine de pénates,
Il n'est confusion des genres à brouter en garderie frivolilés des rives hier,
L'ire au schéma canon n'agaça qui veut s'absoudre et jappe Aunis bridé;
Le haut ou le bas qui donc luit et sonne le glas pour éclipser dans l'au-delà l'Atlantide, chameau ou dromadaire, devine : éCONOMAt de virilité ou de rivalité bien assis enroché mêle aux anges via le Gong sans flûte de paonne en arôme inouï de silence à entendre une clé dans une coupolle à poussins.
Est-il bien un Provins en province, n'en déplaise à la Provence, et ce serait providence, sans preuve d'évidence à croquer en schème attisé d'arachnide.
Postérieusement quand calera la fille ainée de l'église à devenir exangue de bougeote en frontières ou en exsangue hexagone, voir si beauté il y aurait à rapporter au bercail à ajuster, et que c'en serait bémoliser ?
Prince si pâle étant que tout fût encore bien polissé, taille de guépière n'est nid d'abeille ni miel en LE café.
La réflexion du Baron :
Il s'en est cavalé d'épisodiques stations épiques à curer en ce XIV° siècle, mais fallait-il déterrer la hache de guerre pour un tel clivage en dessein de l'église ?

27/12/2010

Rosaces du zodiaque et autres fantaisies nécessaires et suffisantes à instaurer une société agraire oRgaNisée... Caput sine Cauda nec Coda, partition de cape et d'épée chez Fibo 1358, Prévôt et Grande Jacquerie à préjuger :

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Rosace romane zodiaque de Tournai : une foi (Belgique)
Zodiaque de Denderah exposé au Louvre
Le potentiel intellectuel humain est initialement issu de l'empirique observation des mouvement des astres, et c'était le rôle des druides et autres prêtres des antiques cités que de suivre les circonvolutions célestes,  premiers concepts impliquant et exigeant le développement des facultés de raisonnement et d'abstration allant du devin acheminé au divin et du ça crée au sacré, du culturel (agraire) au cultuel (spiriruel).
L'application et la défense de cette connaissance fut confiée de facto à une élite : la noblesse, qui en ignorait les bases et obéissait à une autre pour l'exécution intrinsèquement divine de LA connaissance sur des fondements interprétatifs idéologiques incluant des notions d' anthropomorphismes pragmatiques dans ses entrepôts : le clergé, qui transmettait et régulait le savoir. Les deux élites minoritaires ainsi constituées détenaient à elles seules le pouvoir sur les exécutants du plus grand nombre :  le tiers état, comprenant lui-même deux secteurs : les paysans et les marchands ou bourgeois.

22 Février 1358 : Chauds les marais !
Ainsi fonctionnait au moyen-âge une société de type  agraire en Occident en toute logique institutionnelle pré-établie de cognition tropique ou saisonnière naturelle associée à la notion céleste, non exhaustive d'un fait culturel élitiste oligarchique de type religieux dit révélé et/ou relevé.
Au fur et à mesure de l'évolution dans la notion de civilisation, la base devenait de moins en moins ignorante et naïve et pouvait se révolter de se sentir ainsi cadrée voire manipulée, d'autant que dans les deux classes dirigeantes ne se trouvaient pas nécessairement que des gens compétents ou compréhensifs et souvent à l'abri et très imbus de leurs privilèges...
C'est ainsi qu'en 1358, n'en déplaise du degré d'inversion obliqué fié à la suite de Fibonacci, et c'est même un signe du destin, deux putschs endossés et clos cette année là par si bon assise des diligents dirigeants, sauf à les déranger tant l'évolution aire ou erre, qu'à jeun et à jeu compris sans doute :

Jacquerie Bonhommique ?
*Le premier par le prévôt de Paris en Février 1358 (voir post du 12/12/10, à titre cliquable)
*Le second par des paysans relativement émancipés : la Grande Jacquerie, et ça chie & raque :
La suite par hérodote.net : Le 21 Mai 1358, cent paysans du Beauvaisis s'attaquent aux châteaux de leur région, violant et tuant les habitants, brûlant les demeures. Leur révolte s'étend très vite à la paysannerie du bassin parisien.
C'est la plus grande des «jacqueries» qui ont ensanglanté les campagnes françaises au Moyen Age. Ces révoltes sont ainsi nommées d'après l'appellation de Jacques ou Jacques Bonhomme donnée aux paysans.
*Noblesse indigne
Les révoltés figurent parmi les paysans aisés de l'une des régions les plus riches d'Europe. Depuis l'épidémie de peste qui a ravagé l'Occident dix ans plus tôt, ils sont en situation de mieux faire valoir leurs droits car les seigneurs sont partout en quête de main-d'oeuvre pour remettre en culture les terres abandonnées. La Grande Jacquerie survient peu après que les chevaliers français aient été écrasés par les Anglais à Poitiers (1356). Le roi (Jean II Le Bon) est prisonnier à Londres tandis que Paris est sous la coupe d'Étienne Marcel, le prévôt des marchands. Les paysans ne supportent pas que les nobles, qui ont lâchement fui devant les Anglais, fassent maintenant pression sur eux pour leur extorquer de nouvelles taxes. Ceux-ci n'en écrasent pas moins les Jacques à Clermont-sur-Oise le 10 juin 1358. Les chefs des révoltés sont impitoyablement torturés et exécutés. En dépit de ce drame, les révoltes paysannes se renouvelleront les années suivantes, notamment en Angleterre, en 1381, avec Wat Tyler, et en Hongrie.
La réflexion du Baron :
Un rendez-vous manqué entre les dirigeants et le peuple...prémices d'une vraie révolution, qui sera...reportée et remportée un peu plus tard dans l'histoire.

26/12/2010

Les vêpres siciliennes : un moment clef de l'histoire de Mare Nostrum et un tournant géopolitique en Europe... Chapeau melon et botte de cuir pour dégâts-dol Néron en longe de cavale paradigme à calisson d'ex-croissance...

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Arrivée des Aragons du roi Pierre III le Grand
Les Vêpres Siciliennes, Francesco Haye
Les « Vêpres Siciliennes ».
Le lundi de Pâques 1282, une émeute éclate à Palerme, capitale de la Sicile. La population s'en prend aux Français installés dans la ville par le roi Charles 1er d'Anjou, qui n'est autre que le jeune frère de Saint Louis, le défunt roi de France, et l'oncle du roi régnant, Philippe III le Hardi. Le massacre de la garnison française débute au moment des Vêpres et les émeutes s'étirent sur deux jours, les 30 et 31 mars 1282. L'événement restera pour cela dans l'Histoire sous le nom de «Vêpres siciliennes» (encore utilisé pour désigner un soulèvement spontané et meurtrier contre une puissance occupante). Le vaincu de ces deux journées, Charles d'Anjou, est chassé de Sicile.
Royaume de Sicile en 1154
L'île, ainsi que la pointe de l'Italie, vont dès lors ne plus cesser d'être convoitées par les puissances étrangères (Aragon, France, Habsbourg....) jusqu'à leur rattachement au royaume d'Italie au XIXe siècle.
*Les Angevins en Sicile

Charles 1er, comte d'Anjou et de Provence, s'est implanté en Italie du sud à la faveur des guerres intestines entre guelfes et gibelins (partisans du pape et partisans de l'empereur d'Allemagne). Celles-ci mettent aux prises le pape Clément IV et Manfred, bâtard de l'empereur Frédéric II Hohenstaufen et lointain descendant des rois normands de Sicile.
De son vrai nom Gui Foulques, le pape, qui est originaire de Provence, se tourne vers le frère du puissant roi de France et lui propose les domaines des Hohenstaufen au sud de l'Italie en échange de son soutien. Le comte Charles 1er accepte son offre et vainc Manfred. Celui-ci est tué à Bénévent le 26 février 1266.
Charles reçoit le salaire promis, à savoir la couronne royale de Sicile. Pénétré de l'idée de reprendre le combat contre les musulmans, il entraîne alors le roi de France, son frère, dans une huitième et dernière croisade. Elle se termine sous les murs de Tunis par la mort de Saint Louis.
Charles 1er n'en poursuit pas moins ses chimères et se fait octroyer les couronnes d'Albanie et de Jérusalem. Il obtient même la principauté d'Achaïe, dans le Péloponnèse, au sud de la Grèce, en 1267, ce qui le pose en rival de l'empereur byzantin Michel VIII Paléologue. Celui-ci, dès lors, encourage les Siciliens à se révolter contre leur suzerain. Il n'y a pas trop de mal...


Philippe III le Hardi, sacre à Reims
Pierre III d'Aragon le Grand
*Des Siciliens récalcitrants
Ambitieux et hardi, Charles veut gérer son nouveau royaume sur le modèle de la France capétienne, avec une administration centralisée et une fiscalité rigoureuse. Mais ses sujets italiens lui en veulent de les accabler d'impôts en vue de financer ses rêves d'Orient et de croisade.
L'émeute de Palerme et l'expulsion brutale des Français consacrent l'échec du royaume angevin. La Sicile passe sous la domination du roi Pierre III d'Aragon, gendre de Manfred, qui s'est empressé d'apporter son soutien aux révoltés.
Le pape Martin IV excommunie le roi d'Aragon pour le punir de sa participation aux «Vêpres siciliennes» et il offre les couronnes d'Aragon et de Valence au roi de France Philippe III le Hardi !
Celui-ci ne reste pas insensible au cadeau. Il prend la route de la Catalogne mais son expédition (La Croisade d'Aragon 1284, 1285 jusqu'à Gérone) aboutit à un échec et lui-même meurt d'une épidémie à Perpignan le 5 octobre 1285, à 40 ans.

*Les deux Jeanne et le «bon roi René»
Le roi René (Aix)
Maître de la Sicile, Pierre III d'Aragon reste le grand vainqueur des «Vêpres siciliennes». Par le traité de Tarascon (1291), son rival Charles 1er d'Anjou voit son royaume réduit à la Sicile péninsulaire (le sud de la botte italienne), avec Naples pour capitale.
Les héritiers du roi capétien se maintiennent dans la péninsule italienne jusqu'au début du XVe siècle. Parmi les derniers représentants de la lignée angevine figurent deux femmes aux moeurs légères et au destin tourmenté, les reines Jeanne 1ère et Jeanne II. En 1442, le roi de Sicile chasse de Naples le dernier roi angevin, René 1er, et réunit les deux parties de l'Italie méridionale sous le nom de «royaume des Deux-Siciles».René 1er, exilé à Saumur puis à Aix-en-Provence, finira sa vie au milieu d'une cour raffinée, pleine d'artistes et de poètes. Pour ses sujets provençaux, il restera à jamais le «bon roi René». De célèbres calissons en cultivent encore le souvenir.
Le roi Louis XI héritera habilement des possessions du duc d'Anjou à sa mort en 1480. En 1494, son fils Charles VIII tentera de faire valoir ses droits sur le royaume de Naples. Il s'ensuivra des guerres épiques qui saigneront la noblesse française pendant trois décennies. (Source : Herodote.net, un peu modifiée)

La réflexion du Baron :
Points stratégiques en Méditerrannée ? aguets combinés tels pointillés en vague et vogue, du coup toujours sous l'influence de la...Papauté comme "un peu partout" à l'époque, laquelle était loin d'être club med usé au collier d'acquis là médaille plussoyante experte en ficelles à poster ou déposer les couRoNnes...

24/12/2010

Nuit de Noël..., et le 25 Décembre : jour de Noël, alors Bon Noël à tous les lecteurs du Baron...et aux autres...

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Nativité
25 Décembre 2010
Croix Badine, grenats de Perpignan



La réflexion du Baron :
La chrétienté ne permettait sans doute pas de fêter le solstice d'hiver à date naturelle exacte, au vu du fait culturel qu'elle imposait, d'où ce décalage...?

Gerber pas de translation, queue d'oisif t'es niée et garde un pouf pour Cléopatre à s'éclater au cabaret des bleus paumés de cette histoire vachement démoniaque jusqu'à la garde de l'épée à moustache et L'Eve toi au zénith...

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Teniers : deux tableaux pour "La Tentation de Saint-Antoine"
Les Trois Grâces de Lucas Cranach
Ermitage Saint Antoine de Galamus, gorges de l'Agly
 Ci-dessus au centre, à flanc de montagne et impressionnant : l'Ermitage et sa "mini-cathédrale naturelle souterraine".
à droite : la dernière acquisition du Louvre fin 2010, réalisée avec un appel aux dons, tableau du XVI°siècle (une clé ?)->
à viser le nombre et la disposition des pieds par terre, un rappel du palindrome "SATOR..." pour une autre signification ?
Par ex. : Espagne, France et Italie représentées ici (entre autres), mais c'est une autre paire de manche...tableau daté de 1531 (1+5=6 & 5+3=8, pour 681 ?)
La réflexion du Baron : L'étroite et longue gorge de l'Agly est orientée Nord-Sud et vaut vraiment une visite, ainsi que l'Ermitage St Antoine de Galamus...

23/12/2010

GaRoNne, DoRdogNe, GiRoNde, ChaReNte, quatre ReiNes en main pour uN pokeR, belle brochette de licoRNe...

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Méduse (sur mosaïque)
Hercule et  l'Hydre...au logis ?
Homère ne parle que d'une Gorgone : dans l’Odyssée, la Gorgone (Gorgố) est un monstre des Enfers. Selon Hésiode, il s'agissait des trois filles des divinités marines Phorcys et Céto : Sthéno « la puissante», Euryale « grand domaine » et la plus célèbre, Méduse, qui était mortelle, contrairement à ses deux sœurs qui ne connaissaient ni la mort ni la vieillesse. Hygin donne une filiation différente : Gorgone serait issue du Géant Typhon et d'Échidna, puis engendra Méduse et ses sœurs. Leur demeure se trouvait de l'autre côté de l'océan occidental, au mont Hélicon et selon d'autres versions, en Libye. Plus tard, Euripide ne mentionna qu'une Gorgone, un monstre conçu par Gaïa (La Terre) pour aider ses fils les Géants dans leur bataille contre les dieux, et qui fut tué par Athéna. Gorgone est l'une des trois sœurs qui ont gagné la guerre contre les cyclopes.
On les représentait comme des jeunes femmes, souvent avec des ailes et de grandes dents, leur chevelure était constituée de serpents.
Constellation de l'Hydre

Selon Ovide (les Métamorphoses), seule Méduse possédait de tels cheveux. Poséidon, attiré par la couleur dorée des cheveux de cette Gorgone, s'était uni à elle dans le temple d'Athéna et cette dernière lui donna cette apparence en guise de châtiment. Les Gorgones avaient parfois des ailes d'or, des serres de cuivre et des défenses de sangliers. Eschyle écrit qu'elles n'avaient qu'un seul œil et une seule dent à elles trois, comme leurs sœurs Grées. Leur regard figeait ceux qui voyaient leurs visages tellement elles étaient laides.
Persée, armé d'un bouclier, dont l'intérieur servait de miroir pour éviter d'être pétrifié par le regard du monstre, et d'une épée offerte par Hermès, put trancher la tête de Méduse. Du sang qui jaillit de son cou émergèrent Chrysaor et Pégase, tous deux conçus par Poséidon. Persée offrit la tête de Gorgone, le Gorgonéion à Athéna. Elle en orna son bouclier, l'égide, qui conserva ce redoutable pouvoir.
Selon certaines versions du mythe, du sang pris sur le côté droit d'une Gorgone pouvait ramener un mort à la vie, tandis que celui pris sur son côté gauche devenait un poison fatal et instantané. On dit aussi qu'Héraclès reçut d'Athéna une boucle des cheveux de Méduse (qui possédait les mêmes vertus que sa tête) et la donna à Stéropé, la fille de Céphée, pour protéger la ville de Tégée contre les attaques. (Source : Wikipédia)
La réflexion du Baron : Gorgone, Méduse, Hydre...tout ce qui est abscon n'est abscisse ou ordonnée qu'en fonction de ce qui reste rose à flamme en devenir ?

22/12/2010

Bouche bée 3x8 de l'huître restée creuse à ma ReiNe au boléro de Léon capable de ligature d'alliance en sauveur :

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Chevalier Bayard, Marignan 1515
Fort Boyard (17)
-> Sa devise est : Accipit ut det (La lune qui éclaire la terre) : elle reçoit pour donner.

à droite : Un Fort construit dans un lagon de vulnérabilité formé par trois îles : Aix, Ré et Oléron, arrow-> ne servira pas, le progrès pendant sa construction ayant allongé la portée des canons depuis ces mêmes îles pour la défense de l'estuaire de la Charente. La vigie n'est de Virgo ni de virgule virile une villégiature en OPERAtion de routine...

Et si le "tombeau" figurant sur le tableau des Bergers d'Arcadie v2 de Poussin n'était finalement que l'ébauche initiale de...Fort Boyard ?
(dispositif défensif sur la « Longe de Boyard » envisagé dès le XVII° siècle) et dont le financement de sa construction serait dopée par l'une ou l'autre partie du ou des trésors de Rennes-le-Château...le tout à la solde de Rome ?

à noter que Bayard (le chevalier) se serait écrit aussi Bayart (comme Dupond-t ?)
La réfexion du Baron :
La langue de bois n'est pas celle des bulles d'une BD, que le don agé fourra en rigolade d'un losange pour un blocus ou blockhaus de blockhouse, un fortin de casemate en l'ego, d'armure ou d'armature d'aventuriers en ovale lit : ET IN ARCADIA EGO, Poussin et Teniers ont-ils tout légué à en perdre pied ou gué ?

21/12/2010

Bases à Hauts des Bahuts font-ils un bon tohu-bouhu en sons graves à aigus en plain-chant de TUyaux D'Orgues à bazarder le hasard des astres du zodiaque de Zoroastre en musique, mû que si l'accord d'arcs égaux emportés d'austral à boréal flanqués d'eau séant à si belle licor (43) ne ment à l'hypothétique hypoténuse en leVée Perse...

Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire de l'occident se concentrent en ce lieu (et concernent entre autres les grands alentours...)
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Bahuts
Temple du Feu de Yazd (centre de l'Iran)
Oiseau VAREGHNA représentant la "Xvarnah"
Selon Viollet-Leduc : Le nom de bahut se donnait primitivement à des enveloppes en osier, recouvertes de peau de vache, renfermant un coffre en bois qui servait à transporter les effets nécessaires aux voyageurs.
Bahuts d'usage pour badauds  ? Mais ut a une signification latine qui s'abat en reine ou en règne, in fine...
Bagages pour ballades d'un lampiste : Bagdad est en Irak, pas en Iran, les deux de Perse, Persée médusée.
La réflexion du Baron : Pourrait-on passer sous silence une doctrine qui influença à ce point l'Occident sur beaucoup de plans ?

19/12/2010

La thématique de la reconquête et le mathème du tréma lent point d'accent circonflexe diacritique aux aurores de l'an 1000, montée en puissance et redescente des sarrazins en péninsule ibérique, l'andalousie sans jalousie :

Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire de l'occident se concentrent en ce lieu (et concernent entre autres les grands alentours...)
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Reconquête progressive 718 jusqu'en 1492
 Wisigoths : 711, bataille de Guadalete, invasion Maure
Al-Andalus : Granada Alhambra, gazelle poterie
La Péninsule Irique n'est pas cap pitonné piqué de Cyrano de Bergerac que ç'en serait tilt à le rendre hagard estrecho de truffer une grenade ou turfer un alambic en la bise d'un fût revenu, grappe romaine de vain banni mal.
La réflexion du Baron : Ci-gît le bras tard en la manche de castille, à la sauce blanquette dévote.

17/12/2010

Le Pari que Pâris n'est Paris mais sans ripaille de ripou n'est risible en périple féérique qu'à si belle faute de goût y'avait là canaille à pimenter miroir aux alouettes pour RossignoL, Chardonneret, canari ou bien encore Poussin, laisser l'onde agir dans l'ombre de la ponte n'est nid orgueil sans l'oisiveté, ni orque bicolore en marin échiquier...

Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire de l'occident se concentrent en ce lieu (et concernent entre autres les grands alentours...)
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Et in orque adia ego ?
Qué Bec pour un orque...qui n'est pas un...dauphin!
Un orque est blanc et noir comme un échiquier...
Un orque n'est pas un arc, quoiqu'en dessinant un en sautant hors de l'eau..., comme une clé dans le pot ?
Orque ressemble à Arc phonétiquement parlant,
Orque est presque Orgue, phonétiquement (-> QG)
Orque commence par OR, lettres Eau et Air et éléments,
Un Orque n'est pas un Panda mais peut y faire penser,
Et si un grand secret était inclus dans toutes ces notions ?
Et qui figurerait bien caché sur le tableau "Les Bergers d'Arcadie" v2 : Et in arcadia ego...
Orque, Panda, Tao...SATOR...et ça tord l'esprit...

La réflexion du Baron : Ce ne doit pas être facile pour quidam ne devine pas la trame, mais ce n'est pas un drame car l'auteur au pis aller épie le poisson pie...

16/12/2010

Apanage et Empennage à peine d'empannage, penne de paonne voilure en rade d'aventure romanesque antique :

Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire de l'occident se concentrent en ce lieu (et concernent entre autres les grands alentours...)
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Roue du paon sillonée de pommes bleues ?
Barque Catalane, à gréement latin
Pésage à la rame ? Une chimère de bel effort rond...
 Air et Eau lèveraient parfois voilage à commun voyage qu'envierait l'élément terre à plat net d'ORchestration ?

La réflexion du Baron : Demandez le panache blanc d'Henri IV... (ça conserve ?  y'a de ces histoires !  voir les actualités), mais panache n'est pas apanage...