Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO

Le blog de ré-fér-ence fixée d'une com-pré-hen-sion relax'ante du lexique l'axat'if de RêneS-LexTAO
Blog laiSsant les autres fins chercheurs de RLC... suR Le Carreau (très é-troit) commis sur PloMBé-lobé de l'un-KoNu sanS Plan B pluS impar-able, en signant et singeant carré-ment sur le bureau un ratiss-age contextuel PluS large, holistique et HIStorique de l'affaire à absoudre l'oint de soucis sordides tel un sang-lier surgissant en tonnant sans sourciller de Chênes Le Râteau à Ras Le Chapeau borsalinO Du turban écru qui n'est f(e)UTre cuit de SerPe hier en lambeaux de rênes façon lex à taux réduit sablé d'un 8 clos mercuriel de lemniscate qui docte obre en carré L'est d'a-nalemme dans les annales de l'espace et du temps, Rainette Le Chat teigneux Nique au LA Poussif ce crêt de voile acté dans l'éther nuitée du sacré au ça crée réciproque-ment admis ton d'out-rage à BI-blIOthèque aire de mots crus sans écarter l'épate, car l'essence ciel pour kiss piqua en l'erse d'épis sûrs est sans tort de faire parler d'écho sans rengaine la déco des toiles et d'étoiles en toute connais-sance de cozze à passer y forme qu'au do(u)ble vaut vert d'alambic en cloche reste un simulacre d'amBiValence ainsi cousu d'un D.on M.ystérieux si cossu en son tuf de spoulga et coque de bruit hier au camail nourri de staff à l'affable et monacal occulte isthme qu'un pOtlatch s'en fAIlle et qu'à cet égoïste et terrible lice égosillée d'invective dualitaire, l'irénisme à l'ET IN ARCADIA E-GhOst lui(t) vaille à l'unisson INDIGO un pré en bulles à l'uni-vers pont y fit cale en file ou tri d'un binoculaire monologue en noir et blanc et en coule oeuvre du vrai éradiqué d'un sablage en vrac filtré-tamisé au travers le chas d'une aigu-ille et versé dans une boîte de paon d'or fourrée à l'air-mine de ver-ité divers-ement grisante à l'enton-noir vertueux de la plu-part des faux-semblants et des monts noirs peu ou prou graalesques de la tête aux pieds comme n'oserait pas un pléon à esmer ras le dia-bolo de pinces envers la transe pas rance de leur capture, abysse à l'aBuS deVenu Sienne...

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Ecclésiaste 1/11 : " On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard."
(Cependant que les plus motivés pourront peut-être retracer le passé à partir d'éléments épars disposés figurativement et intentionnellement ou non par ceux qui auront vécu avant ?)
- FELIX QUI POTUIT RERUM COGNOSCERE CAUSAS ? -
Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire dil.et.tante de l'occident en ce lieu se concentrent et concernent entre autres les grands alentours, ci-dessous les différentes pages de ce blog, cliquables :

04/12/2010

Souris à l'hippo-campe à gnôle, un je veux sur la langue enflammée s'entiche, Arlequin n'épice qu'au pâle envers Label gicle là, Joke ère une fois pas de nid Troie à la foi(s) si rose en patte d'oie à rincer le roi ou bien le dauphin :

Rennes-le-Château : le fond et la forme de l'histoire de l'occident se concentrent en ce lieu (et concernent entre autres les grands alentours...)

23 janvier 1579 *Les Provinces-Unies forment l'Union d'Utrecht
Union d'Utrecht du 23 janvier 1579 : sept provinces des Pays-Bas à majorité protestante se constituent en confédération. C'est la naissance des Pays-Bas actuels. Le sud du pays, catholique, reste sous souveraineté espagnole et deviendra beaucoup plus tard la Belgique.
*Vers l'affrontement
De Groningue, au nord, à Cambrai, au sud, les Pays-Bas appartenaient un siècle plus tôt au duc de Bourgogne, Charles le Téméraire.
Par le hasard des successions, ils échoient à Philippe II, roi d'Espagne. Comme on est en pleine guerre de religion, les catholiques et les protestants s'affrontent aux Pays-Bas comme ailleurs.
Guillaume d'Orange-Nassau 1555
Guillaume de Nassau, qui a hérité de la principauté d'Orange, au sud de la France, reçoit le gouvernement de la province de Hollande.
Avec d'autres nobles néerlandais, aussi bien catholiques que réformés, il dénonce les persécutions contre les protestants calvinistes.
C'est ainsi qu'en 1566, à Bruxelles, leur délégation présente à Marguerite de Parme, gouvernante générale des Pays-Bas, une pétition, le «compromis des Nobles», par laquelle ils réclament davantage de modération dans l'application des lois religieuses et surtout pas d'Inquisition !
Les protestataires, quoique nobles, s'énorgueillissent de l'appellation de «gueux» qui leur est lancée. Ils adoptent pour insignes l'écuelle et la besace.
Le roi Philippe II réagit par un surcroît de répression en confiant celle-ci au duc d'Albe, lequel débarque aux Pays-Bas en août 1567 avec le titre de vice-roi, les pleins pouvoirs et 60.000 soldats espagnols, allemand et napolitains. Marguerite de Parme quitte le pays en décembre 1567.
Le duc constitue sans attendre un tribunal spécial, le Conseil des troubles. La tension culmine lorsque le duc fait juger et décapiter à Bruxelles, le 5 juin 1568, deux chefs des «gueux», les comtes d'Egmont et de Hoorn, en réplique à des agressions contre des lieux catholiques.
Guillaume d'Orange, dit «le Taciturne», s'enfuit en Allemagne. Il revient un peu plus tard aux Pays-Bas avec une armée et devient le chef («stathouder» en néerlandais) de l'insurrection.
Jean Calvin
*Triomphe calviniste
Le nouveau représentant du roi n'est autre que le jeune don Juan d'Autriche, demi-frère de Philippe II et héros de la victoire de Lépante sur les Turcs. Il s'empare de Namur mais comme les armées de Philippe II sont retenues en France dans d'autres guerres de religion, il lui est impossible de restaurer l'autorité royale sur l'ensemble des Pays-Bas.
Son successeur, Alexandre Farnèse, monte habilement les catholiques contre les protestants.
Craignant l'hégémonie protestante, les représentants des dix provinces du sud concluent l'Union d'Arras le 6 janvier 1579. La division du pays devient irrémédiable. Il ne reste plus aux Provinces Unies du nord qu'à confirmer à Utrecht leur propre union autour de la Hollande. C'est chose faite deux semaines plus tard.
Fortifiées par leur révolte, les Provinces Unies deviendront le premier des États modernes, avec une économie capitaliste et un empire colonial très prospère. (Source Herodote.net)

La réflexion du Baron : Il y aurait tant de heurts dans l'histoire d'hier qui jouent les prolongations dans celle d'aujourd'hui ?

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