ET IN ARCADIA EGO, toujours et encore...
Le berger du centre, agenouillé :
(un visage en dernier quartier de lune...pour quart-lit ?)
Comme un cadran solaire...
mais où serait situé le so-cle de l'ombre (mal en lame et rôle en cas) ?
-> un pic, une pointe, une plume taillée, un os, une dent ?
(cadran = cadre ans...K dore ans)
Un jaud est un coq en vieux français.
Ci-contre un coq gaulois doré (un réveil-matin ?)
Suétone (en latin : Caius Suetonius Tranquillus), dans sa Vie des douze Césars (en latin : De uita duodecim Caesarum libri), fit remarquer qu'en latin, coq et gaulois se disaient tous deux gallus...
Même s'il reste un emblème mineur (dans la France de la royauté),
le coq est présent au Louvre et à Versailles.
La Gauloise Dorée est la poule (anagramme de loupe), voir le tableau de la tentation de St Antoine et Ste Germaine de Pibrac.
De là à parler de coq-ille ?, ce serait pimenté...!, ce n'est pas un pygargue à tête blanche...
Conviendrait-il de rajouter ceci ? : les plumes jaunes et bleues du coq rappellent étrangement les habits de la bergère (remarquer le roux du coq également), or en peinture le jaune (haut) mélangé au bleu (bas) donne le vert, peut-être est-ce là un début d'explication à la fameuse expression "Bergère pas de tentation..."
Et même si la gauloise dorée pond des oeufs blancs, il n'est pas encore question de poussin.
(Opoul de Blanchefort ?)
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