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LE LETHE, twist again à Volver, et pas à Vaux-le-Vicomte... |
Après un grand nombre de siècles passés dans l'Hadès, les âmes des justes et celles des méchants qui avaient expié leurs fautes aspiraient à une vie nouvelle, et obtenaient la faveur de revenir sur la terre habiter un corps et s'associer à sa destinée. Mais avant de sortir des demeures infernales, elles devaient perdre le souvenir de leur vie antérieure, et à cet effet boire les eaux du Léthé, qui provoquaient l'amnésie.
Le Léthé coulait avec lenteur et silence : c'était, disent les poètes, le fleuve d'huile dont le cours paisible ne faisait entendre aucun murmure. Il séparait les Enfers de ce monde extérieur du côté de la Vie, de même que le Styx et l'Achéron les en séparaient du côté de la Mort. La porte du Tartare qui ouvrait sur ce fleuve était opposée à celle qui donnait sur le Cocyte.
Il est ordinairement représenté sous la figure d'un vieillard qui d'une main tient une urne, et de l'autre la coupe de l'Oubli. (source : wikipédia)
http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/charles_baudelaire/le_lethe.html
La réflexion du Baron :
Tea for two aux Guinguettes d'Hix ou à Ille-sur-Têt, Léthé n'est pas la Têt, IT mais si Est...? Le Léthé : relation au baptème et laver "l'affront" d'Henri IV ?
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