Bleu nuit au clair-oBScur ? Atour et grandes perches à peine hissées ? (SOT PECH-EUR) |
♪ ♫♪ ... ♫♫♪...SolVe Polluti...(Paul Diacre) Et in arcadia dé-salz-tère ego ? La version 1 des Bergers de Poussin |
13+ 5 = 18 = 3x6 XIII & V = XVIII à sang bleu ensemble disent oui ? |
10+3+4 = 17= 3+4+(5x2) X & V & II = XVII à s'évertuer de mets l'ange ? (en vue de l'an 1666 ?) |
Orage, Aude des ex-poires, boules à paumes bleues à cidre, assidu lait ou laid? Die-V= Vendredi, 5° jour ? |
à ille naguère ?
Marri Manche Cynique de marbre d'écho n'est caune à tonne eau de forAGe décor ?
Comme urne centre à l'arcane XVIII ? écus-son 11-66 ? |
On connaît du XVIIe siècle trois jeux de Tarots, tous de Paris : un Tarot anonyme dit « Tarot de Paris » (créé au début du XVIIe siècle), le deuxième plus ancien exemple de Tarot conservé dans son entièreté avec ses soixante-dix-huit cartes, puis celui de Jean Noblet (dont ne manquent que quatre cartes de la série des épées numérotées VI à X) et celui de Jacques Viéville (également conservé dans l'intégralité de ses soixante-dix-huit cartes) qui apparaissent tous deux vers 1650. Il reste également du XVIIe siècle la plus ancienne règle du jeu de Tarot imprimée, due à la plume de l'abbé Michel de Marolles et imprimée à Nevers en 1637. Si le jeu de Noblet témoigne clairement de l'influence milanaise (XVI°), les jeux anonyme et de Viéville semblent témoigner de certains caractères propres aux jeux bolonais du début du XVIe siècle. La popularité du jeu semble en déclin dans la deuxième moitié du XVIIe siècle. (Source : Wikipédia)
La réflexion du Baron : Le tableau de Poussin vers. 2 paraît bien inspirée du jeu de tarots, plus que la vers. 1, à moins que ce qui semble effet ne fut cause ?!
Le Baron parle :
RépondreSupprimerJe ne doute pas un instant que les deux pays : 11 & 66 contribuèrent à la transformation de ces figurines (nouvelles au XVII°) suite à des histoires vécues par là, réellement...
@+