Graal du nombre d'or : Phi beau et l'addicte dîme mention du ça crée...

titre cliquable
Grandeur et décade-dense du nombre d'or, dit aussi " La Divine Proportion" : Phi=1,618034
Il est déterminant pour la diagonale du carré.
Mais s'agissant d'un nombre avec beaucoup de décimales, dans la pratique celui-ci est souvent arrondi à 1,61, voire 1,60, ce qui explique le faux équerrage dans les maisons anciennes (biais jusquà 1cm au M).
Il est aussi déterminant pour la notion de spirale.
Mais cette question est pour le moins critiquable, dans la mesure ou il est procédé par "tranche" d'un quart de tour pour passer successivement de l'entier 1/1 à la moitié 1/2, au tiers 1/3 (1,2,3 début de la suite de Fibonacci), puis à continuer ainsi à additionner par deux les diviseurs successifs 1/5, 1/8, 1/13, 1/21, 1/34, 1/55, etc...
Cette disposition est arrageante pour l'intellect et assez efficace pragmatiquement pour l'art, elle est communément admise pour la spirale tout en étant pas d'une exactitude rigoureuse. Elle n'est d'ailleurs pas la seule loi dans ce cas, mais pratiquée faute de mieux.

-> Ci-contre le plan du jardin de Saunière à Rennes Le Château (en orange : la partie entre la villa et le parc), reste alors 64 cases blanches (8x8= un échiquier, dont Tour Magdala : case tout en bas à gauche), ce schéma est à rapprocher de celui du dessus (dans sa partie inférieure droite), à noter la clé de Fa horizontale obtenue et déja évoquée sur un précédent post.

Le coup de Gueule du Baron : D'aucuns doivent bien se demander ce que vient faire ici la couverture de Tintin au Congo. Tout simplement, le numéro d'immatriculation est une évocation de la suite de Fibonacci : 1385 (13/8/5). Ce numéro semble plaqué sur le radiateur on ne sait plus comment ; alors qu'il y a 50 ans, lorsque les gamins d'avant 1968 recevaient un album à chaque Noël, sur cette couverture la plaque d'immatriculation était aussi et ainsi disposée en biais mais suspendue par deux brins d'une ficelle qui passait derrière le bouchon de radiateur, insinuant alors un compas ! D'autant que le modèle présenté ici est une Ford T, ce qui n'est pas innocent. La couverture avait alors sa pleine valeur quant au sujet posté ici.
Je ne comprends pas ni n'admets que l'on puisse dénaturer ainsi une oeuvre magistrale et géante de la BD, et j'émets alors publiquement la plus grande protestation.
C'est comme si à RLC, il était enlevé un élément dans l'église...
La réflexion du Baron : Un grand bonjour à la boutique Tintin de Toulouse et à son aimable gérant rencontré récemment : www.espace-tintin-toulouse.fr/